Copiste

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laissaient entrer les rayons de soleil. À l’aide d’une lampe à pétrole, ils marchèrent vers un bureau très poussiéreux. Sur celui-ci, étaient disposé un encrier, une plume et des centaines de manuscrits écrits aussi soigneusement que par des moines copistes. Pendant que Lauren regardait les manuscrits, Diego observa la pièce. Un tas de paille gisait à même le sol. Il était imbibé d’eau et remplit de cafards. Il déplaça le tas de paille, puis, il découvrit une trappe. Il appela Lauren ; Diego l’ouvrit

revoir la rose. L’Amant dit ses plaintes et exprime son regret. (vers3767-3794). Aux vers suivants, le narrateur fait une description du château de Jalousie. Le texte qu’on trouve dans ce livre est bien éloigné de sa tradition. Peut-être le copiste n’a pas compris l’architecture du château. (Notes dessous du texte) Jalousie a installé une garnison dans le château. Danger, Honte, Peur et Malebouche sont responsables pour la protection du château. Ils sont les gardiens du château. Le jeune

Paris centre culturel de l’Europe ? Paris est la ville la plus importante au XIII siècle et on peut y dénombrer environ 10 000 étudiants. De plus le secteur de l’écriture est largement amorcée (librairies, marchands de parchemins, papetiers, copistes…). La Sorbonne a été fondé vers 1150 ce fut une des toutes premières en parallèle à celle de Bologne 1088 et d’Oxford 1116). A Paris il y avait aussi l’Ecole Notre Dame, l’Abbaye Sainte Geneviève, l’Abbaye de Saint Germain des Près et puis l’Abbaye

chançons. Dès cette époque, les manuscrits se multiplient; un grand nombre de personnes qui savaient écouter apprirent à lire, même si leur mémoire devait s’affaiblir quelque peu par manque d’exercice, et l’intermédiaire ne fut plus le récitant, mais le copiste. Les cantilènes, poèmes fort courts, qu’elles soient d’inspiration pieuse ou guerrière, ont précédé les Vies de saints en vers et les Chansons de geste, ouvrages plus développés. Ainsi La Chanson de Roland a donné naissance à la ´ Geste du Roi ª

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Que il est, Dieu merci, parfais et consumez. » Les Grandes Chroniques s'ouvrent sur ces vers. L'auteur offre à son roi, Philippe III le Hardi, le fruit de son travail. Il se nomme lui-même : Primat. On a longtemps cru que Primat n'avait été que le copiste. Au contraire, Primat était un des historiographes de l'abbaye de Saint-Denis. Il sût écrire et composer des œuvres originales. Chargé par son supérieur, Mathieu de Vendôme, de la composition des Grandes Chroniques, ce travail lui demanda de longues

de la Genèse et des Prophètes », ils devaient « lire les modèles du bon langage », comme Virgile, Stace, Juvénal, Horace, Lucain ou Térence. Telle est, exprimée dans ce texte du haut Moyen Age, la motivation « fonctionnelle » du travail des moines copistes sur les auteurs « païens » ( à l’époque d’Abbon, l’abbesse Hrotswitha de Gandersheim s’était essayée, pour ses religieuses, à donner une version « expurgée » des textes, un peu libres, de Térence). Vint ensuite le temps des « chasseurs de manuscrits

presque identique au Lancelot du lac. Cette transcription permet au poète de doter son récit d’une dimension anonyme et intemporelle et d’établir un lien avec le récit Arthurien. En paraphrasant le texte médiéval, Apollinaire se met dans la peau du copiste qui transcrit les romans au temps des récits de la table ronde. Le second personnage le plus important du récit est la Dame du Lac, autre protagoniste tirée des romans Arthuriens. Le récit fait également référence à Gauvain, qui possède les mêmes

la nature n’est pas Dieu. Les hébreux par ex étaient les seuls dire que le soleil et la foudre n’étaient pas Dieu. Il avait aussi une conception du temps différente (linéaire) et c’est à partir de cette conception que la science à décollé. Les copiste, les moines d’occident nous on transmis les savoirs des Anciens à travers la copie des manuscrits ancestraux. 2)1ère RA : sédentarisation des hommes => création de la société agricole (Jéricho : première forteresse alimentaire ( 9000 av. J.-C)