Corneille Racine Comparaison

l’unité à travers la perfection formelle Raison et modération dressées en vertus suprême Harmonie et régularité de l’écriture Corneille (Théâtre, idée d’un dilemme présent dans Le Cid) Racine N.Poussin (peinture) Château de Versailles (architecture classique) Molière, La Fontaine Lumières XVIIIeme Ce mouvement voit le jour à la mort de Louis XIV, en 1715 et débouche sur une effervescence politique et intellectuelle

STYLE Métaphores, comparaisons, allégories Musicalité et rythme Du Bellay (15221560) Ronsard (15241585) Le comique bas et grossier (Rabelais) Le style didactique et philosophique (Montaigne) Rabelais (1483-1553) Montaigne (15331592) Formes complexes et fioritures Théâtre dans le théâtre (L’Illusion comique) Antithèses, contrastes Corneille (L’Illusion comique : comédie) Recherche de la perfection dans le langage, d’une poésie pure AUTEURS Molière (1622-1673) Racine (1639-1699) La Fontaine

La langue commune vise la communication. La parole poétique est une création qui s’intéresse aux mots eux-mêmes. Les poètes classiques ont codifié une « langue poétique » distincte de la prose et fondée sur l’utilisation d’images (métaphores, comparaisons, allégories, personnifications), sur un lexique particulier (registre soutenu) et sur une syntaxe particulière (importance de l’inversion). Les conceptions modernes se détachent de l’esthétique classique en utilisant toutes les ressources du langage

religieux Sensibilité, le Moi Infini L’homme et la nature Mal de vivre (le Mal du siècle = la mélancolie) Recherche d’harmonies (sonores et visuelles) Chatoiement et formes travaillées : le bijou et la sculpture STYLE Métaphores, comparaisons, allégories Musicalité et rythme Le comique bas et grossier (Rabelais) Le style didactique et philosophique (Montaigne) Formes complexes et fioritures Théâtre dans le théâtre (L’Illusion comique) Antithèses, contrastes Equilibre

Tristesse  qu’elle  ressent  à  cause  de  son  exil.  (Corneille,  Cid)     4.  De  BUSSY-­‐RABUTIN,  23  décembre,  à  Chaseu   Ê Réponse  =  véritable  leçon  de  stoïcisme  :  il  ne  faut  pas  se  préoccuper  des  revers  du  sort.  Bien-­‐être   et  grande  forme  hors  de  Paris.     5.  COULANGES,  24  décembre   Ê Comparaison  de  la  mésaventure  du  mariage  manqué  avec  le

accentuée. Dans l'alexandrin ou vers de douze syllabes, on doit, en principe, observer un repos au milieu du vers, c'est-à-dire entre la sixième et la septième syllabe. Chaque moitié du vers se nomme hémistiche: La fille de Minos | et de Pasiphaé. (Racine) Dans ce vers comme dans presque tous les vers, le repos de la césure est faible, et n'est marqué par aucune ponctuation, mais il n'en est pas moins sensible, grâce à l'accent qui porte sur la dernière syllabe du mot Minos. L'alexandrin classique

influence sur la vision du monde et de la philosophie des Jansénistes dura plus que le monastère lui-même. En effet, de grands esprits fût formés par cette pensée tels que Pascal en tant que moraliste, La Rochefoucauld, La bruyère, Mme de La Fayette et Racine. Le Classicisme fut extrêmement influencé par l’abbaye de Port-Royal et sa pensée janséniste. Cette influence nous ramène à nous intéresser à l’horreur du moi se rattachant aux Jansénistes sur la pensée religieuse de ce siècle. Ils insistent sur

des principes élémentaires de l’esthétique classique. C’est à partir de la fiction des « quatre amis » que met en scène ce roman qu’on a spéculé sur l’amitié qui unirait La Fontaine, Molière, Boileau et Racine, sans grande preuve : si La Fontaine est lié de façon éloignée à la famille de Racine, leurs relations sont épisodiques ; les rapports avec Molière ne sont pas connus si tant est qu’ils existent ; quant à Boileau, il n’y a guère de trace d’une telle amitié. Après sa participation à un Recueil

des phrases-types de phrases -rythme des phrases -procédés d'insistance -modes et temps | Le texte descriptif | Le dialogue de théâtre | Entrées (outils d'analyse)-indices spatiaux-focalisation-champs lexicaux-lexique dépréciatif/appréciatif-comparaisons et métaphores-connotations-expansions du nom-temps grammaticaux-tonalité (s) | Entrées (outils d'analyse) -structure du texte -double énonciation/énonciation : jeu des pronoms ; apartés ; monologues ; didascalies -structure et types des phrases

occidentale. Le troisième poème, « A la marquise », a été écrit par Pierre Corneille en 1658. Il est dédié à Thérèse Gorla -dite La Marquise-, une comédienne courtisée par de nombreuses personnalités de l’époque. S’étant fait rejeté, le poète écrit ce poème peu flatteur afin de convaincre sa bien-aimée de lui donner son amour. Ce texte a un lien direct avec les poèmes de Sonnets pour Hélène écrits par Ronsard. En effet, Corneille réitère le thème de la fuite du temps afin de faire pression sur Mme Gorla