Corneille Racine Comparaison

grand capitaine, ni un grand avocat, ni un grand médecin. Remplissez la salle du spectacle de ces pleureurs-là, mais ne m’en placez aucun sur la scène. Voyez les femmes ; elles nous surpassent certainement, et de fort loin, en sensibilité : quelle comparaison d’elles à nous dans les instants de la passion ! Mais autant nous le leur cédons quand elles agissent, autant elles restent au-dessous de nous quand elles imitent. La sensibilité n’est jamais sans faiblesse d’organisation. La larme qui s’échappe

nécessairement sur un seul poème ou sur un seul auteur, mais nous vous demanderons de comparer les poèmes de deux ou de plusieurs auteurs. U Écoutez le CD1 pour FRC3703 sur lequel on a enregistré la lecture de plusieurs poèmes. Textes dramatiques: RACINE MOLIÈRE Bérénice (Paris, Bordas) Le malade imaginaire (Paris, Bordas) 13 IONESCO BECKETT Textes narratifs: LAFAYETTE VOLTAIRE FLAUBERT PROUST Attention ! La Princesse de Clèves (Paris, Gallimard/Folio) Candide ou l’optimisme (Paris, Folio) Les

et Racine D'une origine modeste, Euripide reçoit cependant une éducation sophiste de qualité. Il commence à écrire des tragédies en -454 avec les Péliades. Bien qu'ayant un succès très modeste auprès du public, il remporte quatre fois le premier prix du concours tragique. Ses pièces revisitent les mythes avec une grande liberté de ton : Médée (-431), Alceste (-438). Considéré comme l'un des plus grands poètes tragiques de la Grèce Antique, il inspirera de nombreux dramaturges, dont Racine et Corneille

possédant des décors en trompe-l’œil pour donner l’illusion de la profondeur. La salle, en forme de fer à cheval, permet d’accueillir un grand nombre de spectateurs. 6 La tragédie : Corneille et Racine LUF172 – 173 La tragédie classique est illustrée par Pierre Corneille (1606 - §684) et Jean Racine (1639 – 1699). La situation tragique ü A l’aide de ton LUF p. 191 (encadré bleu), complète le texte à trous. Définition La tragédie est écrite en vers. Elle emprunte ses sujets à l’histoire

« Disproportion de l’homme » Un topos du théâtre baroque : « la vie est un songe » Shakespeare, La Tempête (V, 1) Shakespeare, Hamlet (III, 2) Calderon, La Vie est un songe (deuxième journée) Rotrou, Le Véritable Saint Genest (IV, 7) Corneille, Clitandre (III, 3) Corneille, L’Illusion comique (V, 6) ( lecture cursive Le Matin L’aurore, sur le front du jour, Sème l’azur, l’or et l’ivoire, Et le soleil, lassé de boire1, Commence son oblique tour. Ses chevaux, au sortir de l’onde, De flamme

« Disproportion de l’homme » Un topos du théâtre baroque : « la vie est un songe » Shakespeare, La Tempête (V, 1) Shakespeare, Hamlet (III, 2) Calderon, La Vie est un songe (deuxième journée) Rotrou, Le Véritable Saint Genest (IV, 7) Corneille, Clitandre (III, 3) Corneille, L’Illusion comique (V, 6)  lecture cursive Le Matin L’aurore, sur le front du jour, Sème l’azur, l’or et l’ivoire, Et le soleil, lassé de boire1, Commence son oblique tour. Ses chevaux, au sortir de l’onde, De flamme et de clarté

Le Classicisme 17ème siècle Cette période a été appelée classique parce qu'elle se donnait comme idéal l'imitation des Anciens (=auteurs de l’Antiquité) dans la continuation de l’Humanisme. Les grands auteurs de l'époque classique, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s'inspirent des Grecs et des Latins. Au culte des Anciens s’ajoute le souci de plaire et d'instruire (exemple les Fables). Il s’agit de transmettre agréablement une morale, de dire comment bien se comporter. Par ailleurs

Objectifs culturels : Comprendre l’importance et l’intérêt de la reprise d’œuvres antiques à travers la comparaison de deux textes traitant d’un même sujet, savoir définir le genre de la fable et les registres merveilleux et comique. Objectifs méthodologiques : faire une recherche lexicale afin d’établir des nuances de sens ou de niveau de langue, comparer des textes traitant d’un même sujet, savoir observer un texte et son para texte, construire une réponse argumentée. Supports : - Pour

créant un lien entre les spectateurs et les acteurs qui regardent sur scène. Mais Gilles Aillaud, scénographe de Bérénice à la Comédie Française pense plutôt qu’il existe des « pièces qui ne sont pas à représenter mais à lire », telle que Bérénice de Racine. La lecture d’une pièce de théâtre peut aider les lecteurs à percevoir au mieux l’aspect poétique d’une pièce en vers comme Bérénice. Le lecteur est appelé à se plonger dans les lignes d’écriture, en essayant de comprendre le message qu’on a voulu

|Troupeau |Elèves |Comme |Comparaison | |2 |Troupeau |Elèves |Û |Métaphore 1 | |3 |troupeau |Û |Û |Métaphore 2 |   • Définition : Une comparaison est une image dans laquelle le Ca, le Cé et l’outil sont présents. Une