Corneille Tite Et Bérénice

Date de la première représentation, 1er janvier 1677 II – BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR Jean Racine, né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699. Poète tragique français considéré, à l'égal de son aîné Pierre Corneille, comme l’un des deux plus grands dramaturges classiques français. Jean Racine est né dans une famille de petits notables ayant hérité de titre de noblesse. Orphelin dès quatre ans (sa mère décède en 1641 et son père en 1643), il est recueilli

une force qui les dépasse la Fatalité/Destin/Dieux et dont le dénouement est malheureux, issue toujours fatale. ╚►Auteur ? Racine : tragédien à succès du XVII° (2° moitié du XVII°), auteur d'Andromaque, Bérénice ╚►autre tragédien du XVII° ? Corneille (1° moitié du XVII°) Le Cid, Tite et Bérénice, Cinna 2° Remarques sur la forme Rimes et vers ╚►nombre de syllabes ? Alexandrins (12 syllabes) en rimes suivies, ton élevé ou « sublime ». RETENONS : Forme proche du poème pour toucher, émouvoir d'où nécessité

............................................................................7 . 3. L’Art poétique....................................................................................................................................7 . III. PIERRE CORNEILLE.............................................................................................................................7 . A. Sa naissance : ...................................................................................................

lecteur (ou le spectateur, si on a affaire à une pièce de théâtre, un film, etc.) des 'sentiments nobles' : pitié, admiration. Beaucoup de tragédiens désirent que le lecteur trouve un enseignement dans son œuvre. Exemples : Phèdre de Racine, Tite et Bérénice de Corneille, Antigone de Sophocle… Le spectateur peut ainsi atteindre la catharsis (purge des passions), l'élève plutôt la catalepsie. Le registre polémique implique le lecteur dans un débat d'idées. L'auteur s'efforce de rallier le lecteur à sa cause

morale et psychologique. Principes : - Etablir des règles strictes. - Instruire tout en distrayant. Genres/formes de prédilection : Théâtre, fable, portrait Thèmes privilégiés : - le naturel des caractères et des passions. Auteurs : Corneille (Tite et Bérénice) Racine (Phèdre) Artistes : Le Brun (Peintre) Claude Perrault (Architecture) Christopher Wren (Architecture) LES LUMIERES (1710 – 1790) Contexte historique : Ce mouvement est celui de la

Exposé de français : livre de lecture LE CID de Corneille Date de parution : 1637 Edition utilisée : Jean Serroy Durant cet exposé, nous allons vous parler du Cid qui est une pièce de théâtre composée par corneille. Nous allons donc essayer de vous présenter cette œuvre en commençant par une introduction dans laquelle nous vous parlerons notamment de l’auteur et de sa bibliographie. Dans cette introduction, nous vous ferons également le résumé succinct de l’ouvrage. Dans un deuxième temps, nous

quelquefois souffre qu'on le contraigne, Il souffre rarement qu'une autre ardeur l'éteigne. », écrit Racine dans « Bérénice ». La tragédie est un type d’œuvre qui a inspiré beaucoup de grands auteurs tel Racine qui écrit des œuvres où les héros sont condamnés par la fatalité, enfermés dans un destin qui révèle l'absurdité de leur existence et ne peut les mener qu'à la mort. Corneille qui, au cours de sa carrière, évolue du « baroque » au « classique ». Ses tragédies valorisent beaucoup plus le

théoriciens, confondue avec le « plaire et instruire d’Horace » et de plus atténuée. Racine en propose une autre interprétation dans la préface de Bérénice : « une tristesse majestueuse ». Or, pour Aristote, les mots violents accentuent l’effet cathartique, ce que remet en cause la préface de Bérénice en étant une sorte de début de mélange des genres. Corneille en est le grand représentant. Il écrit trois Grands discours sur la tragédie (cf nouvelle édition G-F) et l’Epître à Don Sanche , « comédie héroïque »

l’effet secondaire qu’on va trouver formulé par Corneille : « la comédie se peut passer du ridicule », elle peut se définir par une fonction, la représentation de mœurs moyennes, et non plus par un effet, le rire. 2/ Symétriquement, le comique ne concerne pas forcément la vie ordinaire des gens ordinaires ; il peut permettre d’aborder les sujets les plus sérieux. C’est Molière qui va le plus loin dans ce sens. Il suit parfois la voie ouverte par Corneille, mais ce n’est qu’une virtualité de son œuvre

DOSSIER D’UN PROF DE LETTRES SUR CORNEILLE-MOLIÈRE HELENE FERNAC d’après les ouvrages de Denis Boissier et le site www.corneille-moliere.org Réflexions d’une enseignante. Je vous empêcherai bien de vous endormir dans la certitude, qui est l’inertie de l’intelligence. Louis Ménard Depuis peu, j’évoque l’Affaire Corneille-Molière en classe. La lecture de deux ouvrages "officiels" m’a fait franchir le pas : La Fortune littéraire de Molière (1970) de Maurice Descotes, qui montre comment la