Corpus Avec Pour Un Art Poétique

la littérature comparée apparait. Dans cette définition, une première formulation cite l’art méthodique, qui est une formule ambigüe, car on ne peut pas dire un art, ou une science, donc les rédacteurs parlent d’art méthodique, qui renvoi a ce qu’on appelle la critique littéraire ou l’analyse littéraire, souvent montrée comme un art personnel, car le critique écrit de façon personnelle, et en même temps, on dit méthodique car il y a une méthode, une logique à respecter. Très souvent on rapproche

Gabriel Garcia Marquez comme précurseur dans son roman Cent Ans de solitude, le réalisme magique a toujours existé dans la littérature, mais c’est dans le XXe siècle qu’il eut sa part de rayonnement universel dans les productions narratives et poétiques sud-américaine, et donc c’est pour cette raison qu’on l’associe qu’à cette période-là de l’histoire littéraire. On cite l’Albanais Ismail Kadare qui déplore ce qu’il appelle « raccourcis critique » : Les Latino-Américains n’ont pas inventé le

surgissent en cours d’étude est de les affronter d’emblée en invitant les élèves à chercher dans Les Mains libres d’où vient la difficulté d’accès au sens. On aborde ainsi l’œuvre par ce qui fait obstacle à son étude mais qui est aussi au cœur de sa poétique, marqué dans son titre même : les libertés qu’ont prises Paul Eluard et Man Ray par rapport aux règles qui régissent l’ « économie du sens9 ». En effet, la difficulté tient moins aux signes eux-mêmes, linguistiques ou plastiques, qu’à leur « assemblage10 »

peut se construire en se référant à d’autres œuvres, en les imitant comme dans le pastiche, ou en les transformant comme dans la parodie » ; ces deux formes, pastiche et parodie, étant les manifestations les plus visibles de ce vaste phénomène. Le corpus d’étude est constitué de sept textes et d’un document iconographique : La cigale et les fourmis de Esope (VIe siècle avant JC), La cigale et la fourmi de Jean de La Fontaine (1671), La cigale de Jean Anouilh (1962), La fourmi et la cigale de Jean

tirade de Ruy Blas, de « Bon appétit, messieurs – ô ministres intègres ! » jusqu'à « Babel est dans Madrid. » L.A. n°4 (Acte IV, scène 2) : Don César ou l'intermède burlesque L.A. n°5 (Acte V, scène 4) : le dénouement. Documents complémentaires : Art poétique, Nicolas Boileau : les règles de la tragédie classique Extraits de la préface de Cromwell, Victor Hugo, 1827 Mise en scène de Jacques Weber (2002) adaptée pour la télévision Document sur le travail du scénographe autour des costumes et du décor

effet, si La poétique de la tragédie classique 6 et La André Le Gall, Racine, Éd. Flammarion, 2004. Alain Niderst, Le travail de Racine: Essai sur la composition des tragédies de Racine, Éd. Saint­ Pierre du Mont, 2001. 3 Paul Bénichou, Morales du grand siècle, Éd. Gallimard, 1988. 4 Georges Forestier, Introduction à l'analyse des textes classiques, Éd. Nathan Université, 1994. 5 Jean Emelina, Racine infiniment, Éd. Sedes, 1999, p. 40. 6 Bénédicte Louvat, La poétique de la tragédie

projeter à l’extérieur, avec le maximum d’intensité. Théorie du « neuer pathos » : extériorisation violente de soi-même. - Paul Klee : « l’art rend visible les choses » ; Eluard : « donner à voir ». L’acte de peindre est un don, une faveur généreuse. - art non figuratif, mais pas abstrait. Torsion, distorsion des apparences : esthétique de la déformation (Verfremdung) qui donne au réel un caractère d’étrangeté. - déconstruction de l’ancienne armature rhétorique, au profit de la parataxe, de l’absence

; tous deux revêtent un caractère prédictif qui suppose des critères d’analyse préalablement théorisés, voire institutionnalisés, qui font autorité au point de bénéficier d’un effet de Jean Baudrillard, « Modernité », Encyclopaedia Universalis, corpus 15, MessiaenNatalité, Paris, Encyclopaedia Universalis, 1995, p. 554 : « [S]ans doute […] la modernité elle-même n’est-elle qu’un immense processus idéologique ». 2 Voir la définition que donne Hannah Arendt de la notion d’« histoire moderne » et

Perraton @altavista : le regard du décorateur ->http://www.regards.fr/article/print/?id=58&q=author:44 « …. Et lorsque Jacques Rozier dit à propos de Deux frères, d'Olivier Dahan (1994): " Il possède une façon de filmer la banlieue à la fois poétique et irréelle (...) Moi, je serais incapable de filmer la banlieue aujourd'hui, parce que j'aurais un point de vue théorique, pas de regard. Alors que lui arrive avec un point de vue, un regard. Même dans l'image, dans la façon de cadrer " (1), il

titre invoqué par Rancière : non seulement parce que l'esthétique est, comme on le verra, l'un des domaines privilégiés où s'opèrent les ruptures propres à la politique mais aussi parce que la pensée particulière de l'esthétique (on peut l'appeler la poétique) propose des modèles appropriés pour penser la politique. En effet, cette philosophie de la politique (à distinguer toujours de « la philosophie politique ») se déploie dans le réseau d'une vaste métaphore, pas véritablement ni complètement explicitée