Corpus Fables

les fables de La Fontaine livre 1 La Cigale et la Fourmi La cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle "Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'oût, foi

ce que réfutera Nietzsche, pour qui la belle œuvre est celle qui stimule la vie et la volonté, et nous aide ainsi à vivre. Effectivement de nombreuses œuvres ont bel et bien une portée morale : c´est le cas de certains ouvrages littéraires ( les fables de la fontaine), dans la musique véhiculant des textes souvent explicites, ou dans la religion en représentant des icônes. L'art est une éducation sentimentale, en jouant sur nos émotions, nous pouvons y apprendre à « aimer ce qui est aimable et

regret, la colère, et bien d'autre, chez nous lecteur comme dans Strophes pour se souvenir, des textes qui permettent de mettre des mots sur des émotions. Elle permet aussi de nous instruire, par des moral. C'est d'ailleurs la fonction première des fables de La Fontaine qui amène grâce à ces histoires, une leçon de vie que le lecteur peut adopter ou non mais le but premier est de nous faire réfléchir. Ici vous l'aurez compris, ma poésie est principalement une poésie qui sort des normes du seizième

Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor." Cela dit, maître loup s'enfuit, et court encor. Introduction (les différentes parties de l’introduction sont matérialisées par un saut de ligne, il ne faut pas faire ainsi dans votre devoir). 1 Les fables de La Fontaine apparaissent comme un condensé de la sagesse populaire. Les préceptes qui les accompagnent sont souvent devenus des proverbes ; nous avons tous appris dans notre enfance Le Lièvre et la Tortue ou Le Corbeau et le Renard et nous savons

Introduction :La mort et la Bûcheron, composé de 20 vers, est la fable 16 extraite du premier livre de fables écrit par Jean de la Fontaine. Celui-ci fût publié en 1694, il appartient donc au mouvement du classicism. Long d'une vingtaine de vers et ornée d'une morale située en épilogue, elle s'apparente à l'apologue dont le but est de plaire et d'instruire. La Fontaine, au cœur du mouvement du classicisme met donc en avant, dans cette fable, la vie d'un des métiers dont l'importance se situe au

VII des Fables Q.1/Ésope : Ésope est un écrivain grec (VIIe siècle av. J.-C. - VIe siècle av. J.-C.) qu'on cite comme étant le «père» de la fable. Il avait la particularité d'être laid, bossu et ayant à peine une figure humaine. La Fontaine s'inspira des fables de Ésope pour composer les siennes. Phèdre : Phèdre est un écrivain grec (15 av. J.-C. à 50 apr. J.-C.) qui fut esclave à Rome étant jeune avant d'être affranchi par l'empereur Auguste. Il écrivit ensuite 5 livres de fables et donc

destinataires des récits imaginaires, en particulier ceux des contes et des fables, qu’une tradition scolaire a coutume de réserver aux enfants. Or on sait, par exemple, que Les Fables de la Fontaine ont conquis lors de leur parution un public adulte et lettré, en dépit de la dédicace des six premiers Livres au dauphin Louis alors âgé de sept ans, et en dépit de la Préface, également de 1668, sur le rôle éducatif des fables : « C’est pour ces raisons que Platon ayant banni Homère de sa République y

langue, comparer des textes traitant d’un même sujet, savoir observer un texte et son para texte, construire une réponse argumentée. Supports : - Pour tout l’or des mots, Claude GAGNIERE - Le Renard et le bouc dans le puits, Fables, ESOPE - Le Renard et le bouc, Fables, III, La FONTAINE - Le Renard et le bouc, le Labyrinthe de Versailles, PERRAULT 1. A propos de l’extrait de Pour tout l’or du monde, de GAGNIERE : A. Lecture du texte de GAGNIERE : - De quel genre de texte s’agit-il ? Il

contente-elle seulement de transmettre des émotions ? Nous parlerons dans un premier du temps, de la poésie lyrique, qui permet de faire partager des émotions et des sentiments, et dans un second temps de la poésie engagée, qui transmet des idées et, des fables, qui énoncent une morale. La poésie peut prendre une forme lyrique et ainsi transmettre les sentiments personnels du poète. L'amour est un sentiment récurrent chez les poètes du courant Romantique (XIXeme siècle), comme dans le poème de Lamartine

l’auteur, puisqu’il s’interroge, au moment de ce choix, sur l‘ef? cacité de son argumentation en direction de son lecteur. 3. La littérature offre des formes dialoguées dans le théâtre, mais aussi dans la poésie (Les Châtiments de V. Hugo, les Fables de La Fontaine), dans la prose (romans, contes et apologues qui exploitent les ressources des différentes formes de discours rapportés, v. p. 482), dans le genre spéci? que du dialogue tel que l’a pratiqué Diderot, dans l’essai. 4. Délibérer