Corpus Muse Malade

sculpture centrale de Guillem Galmés et peintures latérales de Ricard Anckermann en 1890) La Chapelle Saint-Benoît (retable de Saint-Benoît attribué au sculpteur Andreu Carbonell en 1738) La Chapelle du Corpus Christi (Située dans l’abside de la nef latérale nord, elle contient un retable du Corpus Christi du XVIIème siècle, c’est une œuvre baroque réalisée de 1626 à 1642 par le sculpteur Jaume Blanquer, enterré derrière le retable. Cette chapelle renferme également la tombe gothique du premier évêque

Poitiers. Poursuit ses études au collège de Coqueret où il rencontre Ronsard. Tombe malade 1550 à 1552 et commence à devenir sourd. Il accompagne son cousin à Rome de 1553 à 1557 fréquente les humanistes romains, chante sa passion pour une jeune romaine en vers latin, philosophe. Mais il est déçu dans ses ambitions.- Son cousin le charge de l’intendance de son palais, ce qui lui déplaît : « Je suis né pour la Muse, on me fait mesnager. » • Il souffre du mal du pays • Il est déçu par les mœurs

ANTHOLOGIE LITTERAIRE : LE ROMANTISME LES ALLEAS DE L’AMOUR ET DE SES SENTIMENTS Table des matières  Préface -Définition personnelle du Romantisme -l’amour et les sentiments, pourquoi ce choix de thème ? Corpus de texte -Présentation du Corpus -Organisation du recueil -Textes et poèmes par ordre alphabétique de l’auteur (cf. ci-dessous) -Confrontation entre les textes -Confrontation entre les auteurs Liste alphabétique des auteurs : - Balzac Honoré de – Le Lys dans

Comment identifier un héros de tragédie classique ? P. CORNEILLE, Le Cid, I, 6, 1637 J. RACINE, Britannicus, II, 3, 1669 J. RACINE, Phèdre, I, 3, 1677 Image : J. RACINE, Britannicus, mise en scène de B. Jaques-Wajeman, 2004 194 194 195 195 Corpus ⁄ ¤ ‹ › ∞ 6 ‡ EURIPIDE, Les Troyennes, 415 av. J.-C. P. CORNEILLE, Horace, IV, 5, 1640 P. CORNEILLE, Cinna, III, 4, 1642 J. RACINE, Andromaque, III, 6, 1667 J. RACINE, Bérénice, IV, 5, 1670 J. ANOUILH, Antigone, 1944 OUVERTURE CONTEMPORAINE

En te quittant je chante tes attraits, Bord adoré ! De ton maître fidèle Si les talents égalaient les regrets, Ces derniers vers n'auraient point de modèle. Mais aux pinceaux de la nature épris, La gloire échappe et n'en est point le prix. Ma muse est simple, et rougissante et nue ; Je dois mourir ainsi que l'humble fleur Qui passe à l'ombre, et seulement connue De ces ruisseaux qui faisaient son bonheur. Les adieux, François-René de Chateaubriand, Mémoires d’Outre-tombe. 1849-1850

« La boue et l’or »Corpus extrait des Fleurs du Mal « Au lecteur » La sottise, l’erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste

6. On avaitvolé Mme Lefèvre. 7. Que feraient -elles d’un gros chien ! Il les ruine en nourriture. · Le professeur lira le corpus et demandera à quelques élèves de lire les phrases tout en expliquant les mots difficiles. II. Conceptualisation :- Relevez les verbes des phrases, soulignez-les.- A quels temps sont conjugués ?- Faire un rappel des terminaisons

TEXTE A. Jean de La Fontaine, « Les obsèques de la Lionne », Fables, VIII, 14, 1678. TEXTE B. Emile Zola, Germinal, IV, 1, 1885. TEXTE C. Alfred Jarry, Ubu roi, acte III, scène 2, 1896. ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) Dans ces trois textes, que veulent dénoncer les auteurs ? Quel registre essentiel chacun de ces textes mobilise-t-il au service de cette visée ? NB. Rappel 2de : les registres. Le

Etudes Francophones. En effet, nous travaillons sur l’espace et le temps de l’éducation populaire. Aussi nous avons saisi l’occasion de ce séminaire pour aborder ces notions d’espace et de territoire, avec un corpus inhabituel pour nous, celui de la littérature. 1- Présentation du corpus 1-1- L’auteur Jean François Vilar appartient à cette génération qui avait vingt ans à la fin des années 60 et qu’on peut qualifier de “ soixante-huitard ”. Il est né en 1948. Il a fait des études de philosophie

politique et l'on ne peut faire un pas sans marcher sur quelque chose de sale. L'atmosphère est lourde de vapeurs nauséabondes. De l'air ! de l'air ! Aussi j'ouvre la fenêtre et je me tourne vers vous. J'écoute passer les grands coups d'ailes de votre Muse et j'aspire, comme le parfum des bois, ce qui s'exhale des profondeurs de votre style. Et d'ailleurs, Monsieur, vous avez été dans ma vie une obsession charmante, un long amour; il ne faiblit pas. Je vous ai lu durant des veillées sinistres et, au