Cortex auditif

et recouvertes de muqueuse). 2 os pariétaux. 2 os temporaux avec pour chacun, l’écaille, l’apophyse zygomatique, le rocher (abritant l’oreille moyenne avec ses 3 osselets : marteau, enclume et étrier et l’oreille interne), le conduit auditif externe, le conduit auditif interne, l’articulation temporo-mandibulaire et la mastoïde (percée de nombreuses cavités contiguës à l’oreille moyenne). 1 os occipital avec son trou occipital et les condyles d’articulation avec la 1ère vertèbre (atlas) de la colonne

modalité. Chaque sens implique un système qui comprend le récepteur, les voies afférentes, les centres d’intégration, et les voies efférentes (Fig.1). Nous avons donc 6 systèmes : le système somesthésique ou somatique, le système visuel, le système auditif, le système olfactif le système gustatif et le système labyrinthique qui représentent les fonctions assurées pour chaque sens, donc chaque récepteur spécialisé. Un système sensoriel comprend des catégories de sensibilités avec des composantes :

strié : volontaire : dépend du SN somatique : motricité du squelette. *Muscle lisse : involontaire : dépend du SN végétatif : motricité viscérale/vaisseaux/peau. *Muscle mixte : strié mais involontaire : dépend du SN végétatif : myocarde/muscles auditifs. II/ Morphologie : 2 types de muscles longs : * Simple  = monogastrique : corps musculaire avec 2 extrémité : proximale et distale + Corps du muscle = ventre = gastre. * Complexe : digastrique, polygastrique : plusieurs corps :

n’ont pas les mêmes fonctions. Dans notre société, et plus principalement à l’école, c’est notre hémisphère gauche qui est sollicité. Cet hémisphère reprend tous les domaines plus rationnels, ce qui touche à l’analyse, au traitement séquentiel et auditif, la logique, des matières comme les sciences, les mathématiques, l’argumentation,… De l’autre coté, on a l’hémisphère droit qui favorise le fonctionnement analogique, le traitement visuel, la pensée divergente, la philosophie, la créativité et l’imaginaire

4 EAV, espace auditif virtuel, développement de lunettes permettant d’entendre les images : Cette technologie permet de s’orienter et de détecter des obstacles grâce à un système de GPS. Ce projet vise à synthétiser des sons capables de stimuler le cortex visuel. Cela prouve qu’il n’est pas nécessaire d’utiliser la rétine pour créer des sensations visuelles. L’objectif étant d’utiliser une interface susceptible de capter l’information et de codifier un son qui stimule le cortex visuel. 4 Pendentif

liquide reproduisant les caractéristiques de conductivité de la tête humaine, appelé « fantôme ». D’après des essais expérimentaux, on constate que la majorité de l’énergie est absorbée par les 2 premiers centimètres sous la surface de la peau et que le cortex cérébral, plus sensible absorberait beaucoup les ondes. Depuis quelque temps, depuis l’arrivé des portables, ordinateur wifi et toutes sortes de technologie, certains d'individus signalent divers problèmes de santé qu'ils attribuent leur symptômes

années 70, le LSD était aussi courant que le coca-cola aux Etats-Unis. Le fonctionnement synaptique Les neurones de la rétine transforment les images (énergie lumineuse) en message électrique puis dirigent ce message vers le cortex cérébral via un réseau de neurones. Cependant la connexion entre 2 neurones s'effectue grâce à des synapses et la propagation du message nerveux se fait par l'intermédiaire de substances chimiques. Cette propagation nécessite donc l’intervention

électrique a lieu dans la région limbique du cerveau. L'électricité qui reste confinée dans " l'hippocampe " de la région limbique produit des sensations élémentaires : par exemple la sensation d'un goût amer. L'électricité qui se propage dans le cortex du lobe temporal produit des sensations plus spécifiques et élaborées : par exemple le goût d'un gâteau au chocolat. Enfin, il a été découvert qu'une stimulation électrique du lobe temporal uniquement, provoque le phénomène synesthétique. 1 Ensemble

un stimulus renforçateur (prise de nourriture pour un renforcement positif, choc électrique pour une punition positive). Elle simplifie l'étude des mécanismes de conditionnement, grâce à l'automatisation de la présentation des stimuli (visuels, auditifs, nociceptifs – par exemple choc électrique), des renforcements (nourriture et eau, notamment), de l'enregistrement des réponses de l'animal (le plus souvent rat ou pigeon), et des associations prévues par l'expérimentateur entre eux. Ainsi l'expérimentateur

systèmes sensoriels humains entament leur développement selon un ordre qui se retrouve chez nombre d’espèces de vertébrés et qui est le suivant : systèmes somesthésiques (sensibilité tactile), chimiosensoriels (olfaction, gustation), vestibulaire, auditif et, enfin, visuel. Nous résumerons les connaissances disponibles en suivant cet ordre. Les modalités auditive et chimiosensorielles qui ont fait l’objet des travaux les plus approfondis seront présentées de façon plus détaillée que les autres modalités