Cortex prémoteur

émotion dans l'amygdala Striatum ventral et motivation Striatopallidum ventral Troubles de la motivation chez l'homme Mécanisme physiopathologique Portions corticales du système limbique Aire cingulaire antérieure et " système prémoteur mésial " Cortex insulaire Cortex orbitofrontal Définition de la motivation La motivation est une émotion, c’est un mixte de plusieurs émotions, composée de la joie, du désir et de l’enthousiasme. Sans cette recette émotionnelle, nous ne pouvons pas agir tant

frontal possede une region prefontale= specialise dans les activités intelectuel , on retrouve une zone occulaire frontale comporte cortex prémoteur aire 6 , impliqué dans les mouvements visuellement guidés , fournit un cadre de réference, on y trouve des neurones mirroires impliqués dans l'apprentissage par imitation/observation. comporte le cortex moteur primaire : aire 4 declenche les actions volontaires, points de depart de la motricité volontaires , cette voie si elle est lésé

v Néo cérébellum : présente le reste des hémisphères. d'après son nom c'est la partie nouvelle du cervelet; permet la coordination des mouvements. 5- Configuration intérieur : v Cavité épendymaire : représenté par V4. v Substance grise : formé du cortex et les noyaux. v Substance blanche : disposé en ramification en dedans de la substance grise. elle est en continuité avec les pédoncules cérébelleux. c) Le Prosencéphale : 1- Généralité : Il est constitué par le diencéphale, et le télencéphale ou

nerveuses afférentes qui conduisent les potentiels d’action (influx nerveux) vers des centres nerveux (le thalamus notamment). Ceux-ci relaient les informations en les transmettant à d’autres neurones par contacts synaptiques. - Des zones du cortex dites zones ou aires de projection (aires sensorielles spécialisées). Tous les éléments mis en jeu peuvent interagir entre eux ainsi qu’avec d’autres structures nerveuses impliquées dans la vigilance, le sommeil, les émotions, la mémoire, etc. Autrement

la mémoire ; au cortex frontal, un des centres de décision ; au système visuel, un des lieux de sélection des messages. Si le cerveau était un cube, le lobe frontal serait la face avant, le lobe pariétal la face arrière, les lobes frontaux les faces latérales et le lobe limbique la face inférieure. © Groupe Eyrolles Les neurosciences pour percer les secrets de l’intelligence 35 1. Cortex préfrontal : mémorisation, déduction, planification 2. Hypothalamus : joie 3. Cortex limbique : émotions

» Une fois que l'amygdale a détecté le danger, elle communique avec les autres régions du cerveau, notamment avec le cortex préfrontal qui évalue l'ampleur de la menace, souligne le psychologue tout en spécifiant que cette dernière structure s'allumait également durant l'écoute de scènes de violence. Le chercheur n'avait toutefois pas prévu l'activation du cortex prémoteur, qui contrôle non pas les mouvements eux-mêmes, mais la planification du geste avant même de l'esquisser. «Les enfants étaient

point celles-ci sont complexes : » Le troisième lien vient de l’évolution de l’homme. « Les parties anciennes du cerveau, en bas, s’occupent de la régulation biologique fondamentale, tandis qu’en haut le néo-cortex réfléchit, avec sagesse et subtilité. Dans les étages supérieurs, au sein du néo-cortex, il y a la raison et la volonté, tandis qu’en bas, il y a les émotions et tout ce qui, banalement, concerne le corps. » « La nature semble avoir construit les mécanismes sous-tendant la faculté de raisonnement

momentanée de la respiration, pour écouter les gestes du belligérant, ou encore la concentration de la circulation sanguine, pour p rotéger les organes vitaux. L’amygdale va ensuite activer le « cortex préfrontal » pour sonder l’intensité de la menace. Puis, le cerveau va envoyer un stimulus au « cortex prémoteur », dont le rôle est d’anticiper le mouvement de l’ennemi dans le but de l’esquiver. Enfin, une dernière zone du cerveau va se trouver mobilisée : il s’agit de la « c i rconvolution cingulaire

aussitôt par projection vers d’autres cortex, sensoriels ou moteurs. Ainsi, ce que nous appelons le grain, écho lointain de l’oreille tactile, se mue en caresse. Un « simple câble » issu du cortex auditif débusque les irrégularités sonores et les projette au cortex tactile pour y éveiller la sensation d’un attouchement, d’un frisson. Les différentes zones du cortex cérébral Aire motrice supplémentaire Cortex prémoteur Cortex moteur Cortex somato-sensitif LOBE FRONTAL Aires

Simulations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122 Chapitre 5 Critique du mod`le et discussion e 5.1 5.2 5.3 5.4 Retour sur le paradigme symboliste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135 Du cortex ` Cortexionist . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137 a Un mod`le r´aliste de la m´moire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138 e e e Proposition d’´volution du mod`le . . . . . . . . . . . . . . .