Cost Killer

SOMMAIRE  INTRODUCTION o Marketing mix et politique de prix o La notion de crise o Le low cost  I - STRATÉGIE DE PRIX o Eléments de construction d’une politique tarifaire o Spécificités de la construction du prix dans le domaine de l’hôtellerie o Gestion interactive de l’offre par le prix et le taux d’occupation  II – STRATÉGIE LOW COST o Le low cost : approches sectorielles comparatives o Low cost et hôtellerie 2 INTRODUCTION STRATÉGIE TARIFAIRE : DU POSITIONNEMENT AU MARKETING

Qu'entend-on par « low cost » ? Il y a deux types d'offres low cost. Celles créées de toutes pièces, à l'image des « purs low cost » comme les compagnies aériennesRyanair, Easyjet ou les supermarchés Lidl et Aldi. Celles proposées par une marque déjà existante en parallèle de ces produits classiques. Elles ont malgré tout les mêmes caractéristiques : - le prix inférieur à celui du marché, et dans le cas d'une marque déjà existante, inférieur au prix des produits initialement proposés. - les

surtout en veillant à assurer une cohérence entre tous les éléments constitutifs. L'image de marque est un actif de l'entreprise, elle a une valeur, même si celle-ci est difficilement quantifiable. * Quelle est la signification du terme « low cost » ? Concept économique et marketing basé sur la pratique de prix plus bas que la moyenne du marché. En effet, les coûts de production sont réduits au maximum pour préserver les marges. De plus les produits sont simplifiés. Il s’agit un peu du hard

mondiale défavorable, influence le comportement du consommateur, surtt des middle range, mais également des hauts revenus (dans une moindre mesure). 15 % de la population recherche des séjours plus courts 14 % sont à la recherche de formules low cost Pessimisme des français liés au PV D’ACHAT, le budget vacance est régulièrement amené à la baisse. * Hausse des exigences de la clientèle * Augmentation du late booking * Risque de perte d’identité du Club Med pour les clients historiques

ferroviaires, au sein des grandes chaînes d'hôtellerie, dans la restauration dite "de masse" et même dans les entreprises de téléphonie lorsqu'elles proposent des plans tarifaires. Ensuite, le degré de sophistication varie par exemple pour les compagnies low-cost, le système de yield management mis en oeuvre est assez simple parce qu'il coûte cher et parce que les offres qu'elles proposent sont simples. Les autres compagnies nécessitent une gestion plus fine, car leurs offres sont plus complexes. Par exemple

depuis la mise en place de la délocalisation, les populations des pays occidentaux comme ceux des pays low cost en profitent sous diverses formes, elles subissent également ses effets négatifs sous un aspect économique et social…………………………………………………………………………………………………………13 A- L’effet de la délocalisation dans les sociétés occidentales………………………………………………………………………………….13 B- Les pays low – cost sous tutelle de la délocalisation économique…………………………………………………………………………………16 CONCLUSION……………………………………………………………………………………………

chère, * S'affranchir de toutes les contraintes des pays occidentaux (taxes diverses, normes environnementales, investissement dans la protection des salariés sur le poste de travail,...) * Bénéficier d'avantages offerts. Certains pays Low Cost, en plus de la main d'œuvre moins chère, offrent des prestations supplémentaires aux grandes entreprises qui s'implantent. Terrains offerts, construction d'usine financée par les communes, exonérations d'impôts sur les bénéfices pendant 10 ans,...

Et pour cause, dans le seul mois d’août, PSA compte 9,2% de baisse des ventes alors Renault qui tire largement son épingle du jeu, avec un peu moins de 4% de ralentissement. Cette faible baisse s’explique par le remarquable succès de sa filiale low-cost Dacia dont les ventes ont progressé de 22% pour le seul mois de juillet. Celle-ci est aujourd’hui la 5ème marque la plus écoulée en France et sa citadine “Sandero” est déjà la 3ème plus vendue en France. Du côté des marques étrangères c’est Volkswagen

fonctionnent sur le même principe que le vélib’ (vélo en libre-service sous condition d’un abonnement et très peu chère).Elles sont appelées Blue-car ou auto lib’. Les constructeurs veulent attirer un public plus large en proposant des voitures low-cost tel que la Dacia Logan et en proposant des voiturettes sans permis (il faut tout de même le bsr et être majeur). 3-objectif d’expansion technologique (conquérir tous les espaces et diversifié pour plaire à tous) Les contraintes environnementales

elles à la montée en puissance des compagnies low cost ? I. Le contexte actuel et les dangers de la montée en puissance des compagnies low cost pour les compagnies régulières. 2 1. Bref rappel des différents business model 2 2. Contexte actuel 2 3. Quelques chiffres pour montrer cette montée en puissance 3 I. Les réponses des compagnies régulières à la montée en puissance des compagnies low cost 3 1. Optimisation de la distribution