Cour d'appel de Douai

était invitée, si l’action en nullité de la convention tendant à l’octroi d’une indemnité de fin de carrière mise en oeuvre dix années après la conclusion de la convention n’était pas prescrite, la cour d’appel a privé sa décision de base légale au regard du texte susvisé ; » La Cour d’appel d’appel de Douai, dans son arrêt en date du 26 novembre 2009, avait accueilli l’action en nullité en estimant les contrats d’assurance non révélés avant le  9 décembre 1998, soit la date de paiement des indemnités

Civ. 1re 10 sept. 2014, 13-19015, inédit Sur le moyen unique : Attendu, selon l'arrêt attaqué (Douai, 4 mars 2013), que, le 28 juin 1974, le syndicat des copropriétaires de la résidence Les Jardins du bourg (le syndicat des copropriétaires) a conclu avec la société Schindler cinq contrats d'entretien portant sur les ascenseurs de la résidence ; que ces contrats ont été conclus pour une durée initiale de dix ans, renouvelable par tacite reconduction par périodes successives de cinq ans, sauf avis

Selon Léon Bourgeois, il n’est pas toujours facile de concilier la solidarité, la liberté et la justice. Le juriste y parvient avec difficulté, comme en témoigne cet arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation, du 11 février 2010, qui fait néanmoins prévaloir, au nom de l’ordre, de la justice et du progrès, le principe d’autonomie de la volonté sur celui de « solidarité », au sens juridique du terme. Cet arrêt a été rendu par la 1ère chambre civile le 11 février 2010. Il traite d'une

Annexe A : Recours abusif aux CDD : La Poste condamnée PARIS, Pau, Rennes, Toulouse, Nantes, Quimper, Grenoble, Douai, Rouen… La Poste continue son tour de France des juridictions avec cette fois-ci une nouvelle étape à Reims où la cour d’appel l’a condamnée à 35.000 € en réparation du préjudice subi par une ex-employée embauchée illégalement en contrats à durée déterminée (CDD) de 1997 à 2003. Il s’agissait à l’époque d’une grande spécialité de La Poste. La requérante est une jeune Marnaise

 COMMENTAIRE D’ARRET DE DROIT PENAL Arrêt de la chambre criminelle de la Cour de cassation du 8 janvier 2003 La chambre criminelle de la Cour de cassation a dû se prononcer dans un arrêt du 8 janvier 2003 sur la nature du lien juridique unissant l’auteur d’une infraction principale à son complice. En effet, la question fut de savoir si la relaxe de l’auteur d’un fait principal punissable pouvait exclure la culpabilité de son complice ? En l’espèce, Yannick Y… et Ali X… furent poursuivis,

Le : 20/09/2015     Cour de cassation   chambre criminelle   Audience publique du 30 juin 1999   N° de pourvoi: 97-82351   Publié au bulletin   Cassation sans renvoi   Président : M. Gomez, président   Rapporteur : M. Blondet., conseiller apporteur   Avocat général : M. le Foyer de Costil., avocat général   Avocats : la SCP Richard et Mandelkern, M. Le Griel., avocat(s)       REPUBLIQUE FRANCAISE   AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS   CASSATION sans renvoi sur le pourvoi formé par :  - X...,   contre

va donc se retourner vers le tireur, après l’établissement d’un titre judiciaire de condamnation à l’encontre du tiré. La Cour d’appel de Douai, dans un arrêt du 29 septembre 2005, fait droit au porteur en condamnant le tireur a versé le montant de ces lettres de changes au Crédit du Nord. Mr X va former un pourvoi en cassation et fait grief à la Cour d’appel de Douai d’avoir ignoré que la banque n’avait pas recherché à poursuivre le tiré accepteur. Mr X se prévaut de sa qualité de débiteur subsidiaire

Question 4 : Quel est le problème de droit posé à la cour de cassation ? La question posée à la cour de cassation est le fait de savoir si bien qu’il y a eu un dol lors de la conclusion d’un contrat est il pour autant illicite sachant que les deux parties ont exécutées les obligations naissant de celui-ci et que les deux parties en ont tiré un bénéfice. Question 5 : Etes-vous d'accord avec la solution de la cour de cassation ? La cour de cassation précise que l’enrichissement sans cause ne

seuls moyens de mettre fin au mariage étaient le décès de l’un des deux époux ou de voir prononcer la nullité de son mariage. Ainsi, en cas de désaccord les époux n’avaient pas de réel recours pour se séparer. Dans l’arrêt de rejet étudié rendu par la Cour de cassation le 24 avril 1862, il est question de la nullité du mariage. Cet arrêt de principe est aussi connu sous le nom d’arrêt Berthon. En l’espèce, après s’être mariée, une femme a découvert que son époux avait purgé une peine de 15 ans

Travaux dirigés Droit de la famille Séance 7 La filiation Fiches d’arrêt documents 4 / 7 / 8 / 10 Document 4 : Référence : Il s’agit d’un arrêt rendu par la Cour de cassation en Assemblée plénière le 23 Novembre 2007, portant sur la filiation. Numéro de pourvoi 06-10039. Faits : En l’espèce, un homme souhaite effectuer une recherche de paternité et demande l’expertise biologique d’un individu dont il pense être son fils. Procédure : L’homme, demandeur, assigne alors l’individu afin d’effectuer