Cour De Cassation 20 Juin 1961

celle du 12 juillet 1875 sur la liberté de l’enseignement supérieur c’est à dire la possibilité d’avoir des universités privées suivie de près (en 1881) par celle concernant la gratuité de l’enseignement obligatoire. * La seconde est celle du 30 juin 1881 qui prône la liberté de la réunion. Sera suivi par la liberté d’association dans la loi 1er juillet 1901. Puis vient la Loi du 21 mars 1904 pour la liberté syndicale. * Est aussi marquante la Loi du 9 décembre 1905 sur la séparation de l’Eglise

primauté de la Constitution, Hans Kelsen a décrit la pyramide des normes. Le Droit communautaire veut que les traités soient considérés comme supérieurs aux constitutions nationales. En revanche, en ce qui concerne les juges nationaux de la Cour de cassation, Conseil d'Etat et du Conseil constitutionnel, le fondement de validité du traité est la Constitution en elle même. Article 54 de la Constitution : avant la ratification d’un traité, si l’on a un doute sur sa validité avec la Constitution

prévention avec deux grands textes : ● Loi 22 mars 1841 qui interdit le travail aux enfants de moins de 8 ans afin d’arrêter les accidents de travail de ces enfants mais aussi le soucis du législateur était de ménager la circonscription. ● Loi Du 12 juin 1893 : qui va s’occuper de l’hygiène et la sécurité au travail : Hygiène : on va imposer l’éclairage dans les manufactures de même que l’aération et l’assainissement de l’eau Sécurité : on va imposer aux machine un système de protection sur les

vigueur le 1er janvier 1989) créé les Cours Administratives d’Appel qui fait devenir le CE juge de cassation pour les CAA. La pyramide juridictionnelle est à 3 étages. Le CE garde à titre exceptionnel des compétences. Certains actes administratifs comme les décrets du 1er ministre doivent être jugés par le CE. Pour un certain nombre d’affaires, le CE est compétent en 1er ressort. Il est juge de cassation et à titre exceptionnel juge d’appel et juge de 1ère instance. La constitutionnalisation de

PDR est attribué exclusivement à Mac Mahon. Il n’a pas vocation à se transmettre à ses éventuels successeurs. La fonction de PDR conserve donc un caractère provisoire et précaire. Mais la fonction de PDR va être pérennisée avec le vote de la loi du 20 novembre 1873, dite loi du septennat. L’article 1er de ce texte dispose que « le pouvoir exécutif est confié pour sept ans au Maréchal de Mac Mahon … ». L’article 2 du même texte prévoit la nomination d’une commission de trente membre chargée d’élaborer

l’Union européenne) est omniprésent. Le droit européen des droits de l’homme (DEDH) repose lui sur la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales de 1950 (Convention de Strasbourg) et sur la jurisprudence de la Cour de justice de l’UE. Le Conseil d’Etat s’est montré retissant et il a été accusé de nationalisme juridique. Mais fin des années XIX, il s’est rapproprié ses nouvelles sources, de rien avant partie intégrante du Droit administratif. Ex : le droit des

bénéficiaire n’a pas encore été indiqué. En principe, une lettre de change qui ne comporte pas le nom du bénéficiaire ne vaut pas comme lettre de change. Toutefois la chambre commerciale de la Cour de cassation française a admis que la régularisation n’est rejetée qu’en cas d’altération. En effet, la Cour se fonde sur les raisons d’être du formalisme cambiaire, c'est-à-dire qu’à la lecture de la lettre, le porteur doit pouvoir connaître ses droits. Donc, même si le porteur ajoute son nom, la régularisation

coupable de vol au motif qu’il avait appréhendé frauduleusement les documents, dont il n’avait que la simple détention matérielle, « pendant le temps nécessaire à leur reproduction ». Cette solution fut confirmée par la chambre criminelle de la cour de cassation en 1989 dans deux arrêts5. Il semble cependant que cette jurisprudence soit aujourd’hui remise en cause. Par un arrêt en date du 3 avril 1995, la chambre criminelle a considéré qu’ « une information, quelle qu’en soit la nature ou l’origine

exiger la restitution de la somme mais il ne faut pas qu’il y ait d’erreur de la part de celui qui a exécuté l’O naturelle (croire à un devoir moral inexistant : répétition de l’indu). Cf Civ 1ere 22 mai 2007 bull 1ere Part. num 204] Idem selon la Cour de cass  si l’O naturelle a été suivie d’une promesse d’exécution ou d’un engagement d’exécution (Civ 1ere 4 janv. 2005 bull 1ere Part num 4) Dans les 2 cas on peut estimer que l’obligation est fondée sur un AJU (payement ou engagement unilatéral

Un sujet de droit international est assujetti à ce droit et doit pouvoir s'en prévaloir. À l'origine, l'État était le seul sujet du droit international. (Selon Kelsen : « le seul sujet du droit international est l'État »). 11 avril 1949, avis de la Cour internationale de justice : « Les sujets de droit dans un système juridique ne sont pas nécessairement identiques quant à leur nature ou quant à l'étendue de leur droit et leur nature dépend des besoins de la communauté ». Mais cette conception est