Cour De Cassation Chambre Commerciale 23

"titre" peut être défini comme la qualité attachée à la source d'un droit ou un ensemble de droits. Cette source peut se présenter sous la forme d'une disposition légale, ou administrative, ou sous la forme d'une convention ou d'un jugement. En droit commercial, le mot "titre" a désigné l'écrit qui consacrait le droit des titulaires de valeurs mobilières, qu'il s'agisse de parts, d'actions, de certificats d'investissement, de titres participatifs, ou d'obligations émises, par lessociétés. Depuis la loi

enregistrement clandestin de la femme reconnaissant qu’il s’agissait d’un emprunt et non d’un don). Autre exemple, arrêt chambre commerciale, 3 juin 2008 : entrepreneur qui avait porté plainte pour entente illicite par ses concurrents en apportant comme preuve un enregistrement illicite. Le droit de la concurrence reçoit cette preuve pour le bien de l’économie, contesté par la cour de cassation. B. Le fondement international du principe de loyauté : CEDH et JP : art. 6 CEDH consacre le principe du

Document n° 1 : Arrêt de la Cour de Cassation, Chambre Commerciale, du 15 janvier 2002, Vente du fonds : protection de l’acheteur par le droit commun ; Document n° 2 : Arrêt de Cour de Cassation, Chambre Commerciale, du 3 mars 1992, Vente du fonds : respect des mentions obligatoires Document n° 3 : Arrêt de Cour de Cassation, Chambre Commerciale, du 16 janvier 2001, Vente du fonds : clause de non-rétablissement Document n° 4 : Arrêt de la Cour de Cassation, Chambre Commerciale, du 13 octobre 1998, Nantissement

mai 2009 • Bulletin d’information Communications Communications Fiche méthodologique en matière civile Comprendre un arrêt de la Cour de cassation rendu en matière civile Par Jean-François Weber, président de chambre à la Cour de cassation (m.a.s.) Depuis la création du Tribunal de cassation, en 1790, des générations de conseillers à la Cour de cassation ont affiné une technique de rédaction des arrêts très sophistiquée, dont les principales caractéristiques sont la concision, la précision

régime le plus favorable et d'éviter le bref délai de l'action en garantie des vices cachés, il a été proposé d'admettre un cumul ou une confusion d'actions en faveur de celui-ci, jusqu’à cet arrêt rendu le 14 mai 1996 par la première chambre civile de la cour de cassation qui n’admet que l’action en garantie des vices cachés. En l'espèce, M. X avait décidé de procéder à la restauration de sa maison et de poser lui-même des tuiles qu'il avait précédemment acheté à la société Lambert distribution.

électronique, on les trouve sur les sites dédiés, sur abonnement ou dans le cadre de la bibliothèque de l’université. – Décisions de jurisprudence Elles sont de plusieurs ordres (on parle ici des décisions qui font jurisprudence, celles de la Cour de cassation et des cours souveraines de manière plus générale). - Les décisions non publiées. C’est la grande majorité : près de un million de décisions sont rendues par an rien qu’en matière civile. - Les décisions publiées - Les décisions publiées en

la loi Dailly. Ce qui nous intéresse dans notre rapport c’est le deuxième cas appelé aussi « bordereau de cession de créances professionnelles ou bordereau Dailly » qui est considéré comme un nouvel instrument de crédit de crédit auquel la cour de cassation a refusé la qualification d’effet de commerce, alors que ce procédé permet à une entreprise, souhaitant obtenir du crédit, de transférer globalement ses créances à termes sans avoir à respecter le formalisme lourd et pointilleux des effets de

banque AFB Association française des banques AFEC Association française des établissements de crédit APB Association professionnelle des banques Bull. civ. Bulletin civil des arrêts de la Cour de cassation CEDH Cour européenne des droits de l’homme CES Conseil économique et social CJCE Cour de justice des communautés européennes CNC Conseil national du crédit D. Recueil Dalloz DH Dalloz hebdomadaire DMF Revue de droit maritime français Gaz. Pal. Gazette du Palais JCP -G -E

la plupart des hypothèses en matière contractuelle la nullité n’est pas de « plein droit » ; il appartient dès lors au juge d’apprécier si la condition requise est réellement défaillante ou non, et quelle est la gravité de ce manquement. Cass. com., 23 novembre 2000 ANNEXE 3. Il appartient donc au demandeur d’exercer une action en justice ayant pour finalité d’obtenir une décision annulant tout ou partie du contrat (action en nullité) ou d’exciper, à titre de moyen de défense, d’une « exception de

employeurs et salariés mais également à la protection sociale des travailleurs • Le droit des affaires concerne toutes les règles applicables à l’exercice d’une profession. Il comprend de nombreuses branches : le droit commercial (vise l’exercice des professions commerciales), le droit des sociétés (définit toutes les règles relatives à l’exercice d’une activité éco sous la forme d’une soc), le droit des procédures collectives (ens des règles qui visent l’entreprise en difficulté) … - Le