Cour Syllogisme

Les paradoxes de la philosophie africaine Ernest-Marie Mbonda Maître de Conférences Université catholique d’Afrique centrale Faculté de philosophie Yaoundé-Cameroun Pendant longtemps, les travaux de « philosophie africaine » sont restés centrés sur les mêmes interrogations : existe-t-il une philosophie africaine ? Et si elle existe, se trouve-t-elle dans les sagesses ancestrales ou dans les textes des auteurs contemporains ? La question même de l’existence d’une philosophie africaine n’est-elle

-C. (Stagire) Décès 322 av. J.-C. (Chalcis) École/tradition Fondateur du Lycée, aristotélisme, péripatétisme Principaux intérêts Physique, métaphysique, biologie, éthique, politique, langage, logique, poétique, rhétorique Idées remarquables Syllogisme, Puissance/Acte, Matière/Forme, Substance/Accident, Catégorie, Phronèsis Œuvres principales Catégories, Métaphysique, Physique, Politiques, Poétique Influencé par Démocrite, Homère, Héraclite, Parménide, Anaxagore, Empédocle, Socrate, Platon

d’arguments et d’exemples qui défendent un point de vue. Aristote dans Organon dénonçait les démonstrations illogiques des Sophistes quand il affirmait : « par démonstration, j’entends le syllogisme scientifique, et j’appelle scientifique un syllogisme dont la possession même constitue pour nous la science. » Un syllogisme est selon lui « un discours dans lequel certaines choses étant posées, quelque chose d’autre en résulte nécessairement par le fait de ces seules données. » Autrement dit, deux propositions

Etude de texte Jaucourt. Louis Jaucourt, est un philosophe français, né à Paris en 1704. Il étudia la théologie, les sciences exactes et naturelles, la médecine. Il a fréquenté les sociétés mondaines et philosophiques. . Il fut l'un des principaux rédacteurs de l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de Diderot et d'Alembert. Il écrit surtout des articles scientifiques. C’était un homme d’esprit et de savoir qui n’était pas attiré par la renommée L’Encyclopédie

Montesquieu utilise enfin la construction du syllogisme: raisonnement déductif tirant une conclusion à partir de deux informations, majeure et mineure. Ainsi, l'auteur légitime l'esclavage en expliquant que les chrétiens sont tous frères, or les noirs ne sont pas traités de cette façon, donc ils ne sont pas des hommes. Le lecteur intelligent, lui, comprend: les esclavagistes ne sont pas de bons chrétiens, ils manipulent la religion. Un deuxième syllogisme annonce que l'or est une valeur majeure. Or

d'une proposition comme l'affirme Leibniz « la démonstration est un raisonnement parle quel une proposition devient certaine, »Lettre à Corning ,Mars 1878 . Le syllogismes d'Aristote est aussi une forme de démonstration par exemple : Tous les végétaux sont verts,Or les carottes sont des végétaux, Donc les carottes sont vertes, c'est un syllogisme cela nous démontre une vérité en suivant un raisonnement mais c'est une vérité absurde . D'après moi l'action première pour arriver à démontrer que ce que l'on

Camus et Sartre Je pense, entre Camus et Sartre il y a 3 dimensions. La politique, la philosophie et la dimension personnelle. Dans chaque une il y a des petites différences. Mais je crois que la différence majeure est leur passé. Ils sortent de Milieu tout différents et ils ont eu des différentes carrières scolaires. Et ce sont ses différences qui ont l’influence sur toutes les 3 dimensions. Au niveau philosophique Camus était contre chaque philosophie qui acceptait la souffrance pour un meilleur

présenter aux yeux de son époque comme étant un raisonnement tt à fait subversif (=provocateur). Il renverse les idées reçues. III/ Le caractère subversif du raisonnement A/ L'efficacité du raisonnement = le syllogisme Le rasionnement prend la forme de la logique. # Syllogisme = raisonnement en 3 étapes : - 1ère phrase = vérité générale = prémice ou majeur - 2ème phrase = la mineur - 3ème phrase = la conclusion Conclusion donnée par la Maréchale : On peut faire dire n'importe quoi à

être parfait peut être la cause de l’idée de la perfection. Cet être parfait, c’est « Dieu ». Avant tout, entendons-nous sur la fait que si « Dieu » existe, il est réellement parfait. Car, de dire automatique que « Dieu » est parfait, c’est un syllogisme : sans même savoir s’il existe, on lui donne la perfection comme attribut de départ, cela ne prouve rien, c’est une affirmation. La première étape de la méthode cartésienne de Descartes est de n’accepter aucune affirmation comme étant vraie à moins

encore, deux énoncés contradictoires ne peuvent être ni simultanément vrais, ni simultanément faux. Le syllogisme, objet central de la logique d’Aristote, est un enchaînement de trois propositions, la dernière (ou conclusion) étant déduite des deux premières ou prémisses (la majeure et la mineure). On peut représenter un syllogisme par des cercles emboîtés. Il existe différents types de syllogismes. Exemple : Majeure Tous les hommes sont mortels Tout B est C Mineure Socrate est un homme