Courant de conscience

en métaphysique : le sujet est l'être réel doté de qualités et qui produit des actes. Le sujet est à la fois ce qui est objet de la pensée et de la connaissance (on dit un sujet de dissertation) et le support de certaines autres réalités (actes, conscience, perception, droits, etc.). Le présent article traite de ce dernier sens, bien que tous ces sens soient liés au point que l'on puisse faire la critique du sujet en l'assimilant à un être purement logique voir à une fiction logique, fiction elle-même

La conscience de soi est-elle une connaissance de soi? La conscience est la connaissance que l'Homme a de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. Elle permet a celui-ci de réflechir sur le monde qui l’entoure. On connait différents types de conscience; la conscience morale, celle qui permet de distinguer le bien et le mal et d’apprécier ses actes et ceux des personnes qui nous entourent. Le deuxième type de conscience est la conscience psychologique, qui permet de percevoir ce qui se passe

faits, “ les courants sociaux ”, qui ne sont pas institutionnalisés, c’est-à-dire qui ne présentent aucune forme cristallisée : il en est ainsi des comportements des foules ou des courants d’opinion que les statistiques appréhendent à travers des taux de nuptialité, de fécondité ou de suicide, par exemple. Entre ces faits, il n’existe que des différences de degré et non de nature. Ils se situent sur un continuum dont les deux extrêmes sont les faits d’ordre morphologique et les courants d’opinion.

d’accidents de la vie courante. Sur une année, on estime à près de 740 000 le nombre d’accidents de la vie courante dans cette tranche d’âge (1 700 000 parmi les enfants de 0 à 15 ans) qui entraînent une consultation aux urgences hospitalières. Pour les jeunes enfants entre 0 et 4 ans, l’intérieur de la maison (accident domestique) représente le principal lieu d’accident (plus de 80 %)1. En 2002, 308 enfants âgés de 0 à 15 ans sont décédés des suites d’un accident de la vie courante (AcVC) et parmi ces

| |de réflexion, une conscience doutant et, par cela même, existant. Je pense, je suis. Théoriquement,| | |tout au moins, l'attitude de Descartes pourrait être dite solipsiste. Bien évidemment, Descartes | | |n'est nullement solipsiste, mais il se produit chez lui une sorte « d'insularité de la | | |conscience ». La réflexion philosophique

 par l'emploi de certaines  méthodes physico­spirituelles, notamment érotiques. Son but n'est pas le contrôle des désirs, mais la prise de  conscience de son unité fondamentale, c'est­à­dire l'union de son corps et de son esprit avec l'univers.  Le tantrisme a en effet une incidence sur la sexualité mais elle n'est qu'un aspect secondaire de celui­ci. Les  pratiques tantriques mènent à une prise de conscience de l'instant et de son unité avec le monde présent tout le  temps et durant chaque activité de la vie.    Le Tantra 

en lien la connaissance avec la réalité, Vygotski discute dans l’un de ses ouvrages, deux groupes de méthodes permettant cette mise en lien. Dans un premier temps, nous parlerons de la méthode directe. Celle-ci étant un élément essentiel dans deux courants psychologiques importants : la psychologie du conscient et la psychologie du comportement. Dans un deuxième temps, nous discuterons de la méthode défendue par Vygotski lui-même, à savoir la méthode indirecte, en se référent aux sciences naturelles

d'action et d'exotisme. 2) Du roman psychologique à l'analyse approfondie de la conscience du personnage: Toujours dans cette tradition réaliste, il ne faut pas omettre l'oeuvre de Proust ou celle d'Aragon qui prolongent elles aussi la fine description de la société, en se rapprochant de la description balzacienne ou stendhalienne. Néanmoins, l'analyse psychologique prend davantage la forme d'une aventure de conscience. Cet approfondissement est initié par Maurice Barrès et Paul Bourget.

liberté c’est pouvoir choisir. Mais le choix ne peut se faire qu’en ayant la connaissance. L’absence de connaissance ne peut donc que limiter ou réduire notre droit à la liberté. Les plus grandes révolutions ont toujours été guidées par la prise de conscience (et donc la connaissance) de l’injustice. Si les hommes ont longtemps empêché les femmes d’avoir accès à la connaissance, c’est pour les maintenir dans une forme de soumission et de « non liberté ». C’est en se battant pour avoir le droit d’étudier

(intérieur du corps). • L’âme sensitive, informe l’âme végétative sur ce que fait le corps. • L’âme raisonnable, elle informe l’âme sensitive. Selon Aristote, c’est la pensée. Pour Aristote l’âme est complètement différente de la notion de conscience. Bien sur la psychologie n’existe pas encore (même le mot n’existe pas). Il faut attendre l’évolution de la pensée et des méthodes d’investigation pour voir apparaître cette notion de psychologie. La psychologie est née de l’interaction entre la