Courir Au Trépas

passion pousse ce héros, si orgueilleux pourtant, à des démarches déshonorantes et humiliantes. Elle lui inspire le mensonge, le fait recourir à des ruses diaboliques et atroces, aussi infamantes pour lui que pour ses victimes. D’abord, il fait courir le bruit de sa mort. Puis, soupçonnant que Monime est amoureuse de Pharnace, il charge Xipharès, en qui il a pleinement confiance, dont rien ne trahit l’amour, de sonder le cœur de la jeune fille, et de le lui rendre favorable. Plus loin, il feint

sautant d'un faîte à l'autre faîte. Puis, quoiqu'il eût horreur des ailes de la bête, Quoique ce fût pour lui l'habit de la prison, Comme un oiseau qui va de buisson en buisson, Hideux, il prit son vol de montagne en montagne, Et ce forçat se mit à courir dans ce bagne. Il courait, il volait, il criait:Astre d'or! Frère! attends−moi! j'accours! ne t'éteins pas encor! Ne me laisse pas seul! Le monstre de la sorte Franchit les premiers lacs de l'immensité morte, D'anciens chaos vidés et croupissant déjà

m'arrêter cette coquine-là ? Angélique Eh ! mon père, ne vous faites point malade. Argan Si tu ne me l'arrêtes, je te donnerai ma malédiction. Toinette Et moi, je la déshériterai, si elle vous obéit. Argan se jette dans sa chaise, étant las de courir après elle. Ah ! ah ! Je n'en puis plus ! Voilà pour me faire mourir ! Scène 6 Béline, Angélique, Toinette, Argan Argan Ah ! ma femme, approchez. Béline Qu'avez-vous, mon pauvre mari ? Argan Venez-vous-en ici à mon secours. Béline Qu'est-ce

salutaire(31c-34b). a) Socrate en a été dissuadé par son signe divin (31c-d) ; b) Il est impossible de rester honnête homme si l’on se mêle de politique à Athènes : on ne peut se conduire en accord avec la justice dans une cité injuste sans courir le risque de perdre la vie. Socrate évoque également les raisons qui l’ont amené à préférer la philosophie à la participation aux affaires publiques : il montre à ce propos qu’il y a incompatibilité entre la Justice et la Politique. Il s’appuie alors

moins avoir, Et ne vous pas mettre en dépense3 Pour ne me donner que l’espoir. 1 7 4 • CHAPITRE 8/COMIQUE ET COMÉDIE AU XVII e SIÈCLE : MOLIÈRE 4. termes galants : mots élégants. 5. morbleu : juron, déformation de « Mort de Dieu ». 6. trépas : mort. 7. distraire : détourner. 35 8. chute : vers qui termine le poème. 9. ouï : entendu. 10. grand empire : grande domination. 11. ce faible : cette faiblesse. 40 12. à décrier un homme : pour qu’un homme soit critiqué

Chambre générale d’assurances. L’assurance Vie va se développer beaucoup plus difficilement parce que considérée pendant longtemps comme immorale, le décès de l’assuré procurant un avantage au bénéficiaire ou parce que susceptible d’accélérer le trépas de l’assuré. C’est dans le domaine de l’assurance maritime que l’assurance Vie va commencer avec les cargaisons d’esclaves considérés comme marchandises, puis l’assurance du capitaine et de l’équipage. On terminera avec l’assurance des passagers

Parce qu’on n’alerte pas la police pour dénoncer quelqu’un qui n’a encore commis aucun délit. Comme on ne dit pas aux gens qu’ils sont sur le point de mourir. Meena l’avait appris à ses dépens. Avec un nouveau soupir, elle songea qu’elle allait devoir courir pour attraper le prochain métro. Elle espérait qu’il ne serait pas trop bondé. CHAPITRE TROIS 18 h 00, heure de l’Europe de l’Est, mardi 13 avril Faculté d’histoire Université de Bucarest Roumanie — Professeur ? Lucien Antonescu leva la tête

un cri, un cri horrible, suraigu, déchirant, un cri de femme passa dans la nuit, et deux mansardes s’ouvrirent ! J’avais oublié mes domestiques ! Je vis leurs faces affolées, et leurs bras qui s’agitaient !... Alors, éperdu d’horreur, je me mis à courir vers le village en hurlant : « Au secours ! au secours ! au feu ! au feu ! » Je rencontrai des gens qui s’en venaient déjà et je retournai avec eux, pour voir ! La maison, maintenant, n’était plus qu’un bûcher horrible et magnifique, un bûcher monstrueux

Mais un cri, un cri horrible, suraigu, déchirant, un cri de femme passa dans la nuit, et deux mansardes s’ouvrirent ! J’avais oublié mes domestiques ! Je vis leurs faces affolées, et leurs bras qui s’agitaient !… Alors, éperdu d’horreur, je me mis à courir vers le village en hurlant : « Au secours ! au secours ! au feu ! au feu ! » Je rencontrai des gens qui s’en venaient déjà et je retournai avec eux, pour voir ! La maison, maintenant, n’était plus qu’un bûcher horrible et magnifique, un bûcher

C’est, dit-il, afin de m’aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère Le trépas viens tout guérir ; Mais ne bougeons d’où nous sommes :