Cours Sur La Laideur

poème toute une série d’inversions qui donnent une vision dégradée de cette étrange Vénus : * Elle est vieille et laide, et non jeune et belle comme la déesse de la beauté → Citer les exemples du texte : cf le cours et la fiche remplie en classe. * La vieillesse * La laideur Remarque. La chevelure, attribut traditionnel de la femme, célébrée notamment par Baudelaire, ne suscite ici aucune rêverie : l’adjectif prosaïque « pommadé » modifié par l’adverbe « fortement » évoque une odeur

est un véritable engagement pour une cause sociale. Baudelaire va rompre les codes de la poésie en célébrant dans quelques uns de ses poèmes la vie à travers la mort. On note alors l’exemple parfait d’Une Charogne de Baudelaire, dans laquelle au cours d’une balade amoureuse, un couple tombe sur une charogne. Baudelaire décrit alors la charogne de façon vivante alors que celle-ci est en décomposition. La description de celle-ci dépasse la simple observation de la réalité. Le poète l’amplifie jusqu'à

souvent sous-estimé au XVIIIe, loué mais mal interprété au XIXe, pour enfin ces dernières décennies apparaître dans toute sa grandeur et sa complexité.  » C’est ainsi que Mathilde Landrain qualifie le regard sur les œuvres de Marivaux au cours du temps ; Bien que aujourd’hui, il soit considéré comme l’un des plus grand dramaturges du siècle des Lumières, ses œuvres figurant parmi les plus jouées par la Comédie-Française, Marivaux connaît un succès mitigé de son vivant. Pourtant, journaliste

S2 Lecture de textes philosophiques P. ZaouiHumain trop humain , Nietzsche Cours 1: Introduction - Nietzsche, « de la dynamite » ( Ecce homo , 1888) ? > parution du premier volume : 1878 > ouvrage qu’il écrit à la fin de sa vie , résume sa vie, dans laquelle on retrouve le ton

écrit par Alejandro Amenábar (Tésis,Les autres..) avec Eduardo Noriega, Pénélope Cruz, Chete Lera. L’histoire commence dans une unité psychiatrique carcérale, on y trouve le héros césar qui y est «interné » pour avoir commis un meurtre. Au cours du récit, sous forme de flash back que nous fait le protagoniste, la confusion s’installe et la frontière entre le réel et l imaginaire, la raison et folie, devient infime. Si bien qu’on ne distingue plus le vrai du faux. L’histoire se dessine peu

passionné pour celle des autres. Bruno Bettelheim est né à Vienne en 1903, il se suicidera en 1990. Deux blessures indélébiles marqueront cet homme : la première, c’est celle d’une enfance traumatisée, le regard déçu et frustré de sa mère par la « laideur » de son fils, la maladie « honteuse » et inéluctable de son père, une sœur « rivale », sa propre fragilité physique qui fera de lui un enfant renfermé, sa perspective précoce de la responsabilité de soutien de famille, les tourments de l’adolescence

est une couleuvre, L'araignée un gueux; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit... Passants, faites grâce à la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, Oh ! Plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un œil moins superbe, Tout bas, loin du

typographique qui la met en évidence, une étoile marquant le changement de partie, et par l’identification à des animaux aquatiques répugnants. « Poulpes » est répété quatre fois. L’auteur utilise de même un mot-valise « crapautard » qui combine la laideur du crapaud à l’insignifiance du têtard et à la dérision du suffixe agentif péjoratif -ard. Le narrateur est devenu un habitant de la « vase » nauséabonde. Il a renoncé à la verticalité de l’homo sapiens, il se transforme en porc qui « renifle » et

les coups de feu ; l’odeur de l’invasion ; … quelques cadavres d’Allemand gonflé dans son uniforme ; figures pâles ; odeur de chair gâtée et d’infamie ; la vision pessimiste de la société…tout cela personnifie le Prussien et ses comportements. La laideur et l'hypocrisie humaine (figure l’hypocrisie face à l’ennemi — le récit révèle la contradiction qu’implique le système social et les principes de l’humanité ; figure la bassesse morale de certains personnages qui inspirent le mépris, d’une certaine

ce " blanc sourire ", symbole de pureté, de candeur. -Se dirige-t-elle vers un mariage, son propre mariage, une cérémonie religieuse ? peut-on se demander en essayant d’imaginer ce " blanc sourire ". Et plus le doute s’installe, plus l’objet de sa course s’éclaircit, plus la candeur de Dorothée se précise : sa prédisposition au bonheur ne sera pas dérangée, elle est résolument heureuse, peu importe la raison du " rendez-vous avec quelque jeune officier ", peu importe la réputation qu’on lui a faite