Courtisan

LES OBSEQUES DE LA LIONNE Les obsèques de la lionne attaque les puissantes en dénonçant le caractère tyrannique du roi parce que il est injuste et bet. Encore il dénonce l’hypocrisie des courtisans. Donc il fait de la satire de la société du XVII siècle. Dans cette fable le plus faible est le cerf qui est vainqueur grâce à son intelligence et à sa vivacité d’esprit. La fontaine traite ce sujet parce qui il croit en les hommes honnêtes et en la morale par rapport à une société corrompue. Ce pensée

mort de la reine et la réaction des courtisans. 1/ L’annonce du décès. Le décès est annoncé en seul vers (V1), annoncer sans détails, l’objet de la fable compte pas sur la mort en elle même mais sur la réaction des courtisans. 2/ La réaction des courtisans (V2 à 16). Le V2 montre aussitôt la réaction des courtisans, ils accourt pour être bien vu par le roi et pour avoir des avantages. L'adjectif "aussitôt" met en évidence une immédiateté des courtisans. Au vers 2 "chacun" met en évidence

cour s’y installe définitivement, une fois que la gigantesque aile du Midi de Mansart est achevée (elle abritait les courtisans). Le château reste néanmoins un chantier permanant, où les agrandissements successifs du château s’accompagnent de transformations et d’aménagements du parc. En 1682, la cour enfle et compte environ 10 000 personnes (à la fois gens de passages et courtisans). Loger à Versailles constitue alors un privilège immense, du fait de la proximité du roi. Ces sujets sont les logeant

d'éviter la censure, dans ses critiques, Jean de la fontaine représente les hommes - notamment Louis XIV et ses courtisans - par des animaux. Nous nous sommes ainsi demandé en quoi La Fontaine fait il la satire du pouvoir royal et de ses courtisans. Dans une première partie, nous verrons donc la satire du pouvoir royal. Nous verrons par la suite, la satire de la cour et de ses courtisans enfin, nous finirons par étudier la structure de la fable. Un monarque absolu A l'inverse, le roi est

dénonce les différents personnages de la société dans laquelle il vit, se moque et ridiculise même les courtisans grâce à une idée ingénieuse. Il utilise la fable au service de ses idées en mettant en scène des animaux qu’il personnifie subtilement ; c’est-à-dire qu’il leurs attribue des caractéristiques humaines, des pensées, des sentiments... Ils représentent les défauts des courtisans ou les courtisans eux même tel que dans La Cour du Lion Livre VII, où l’Ours représente la maladresse et la lourdeur

commencerons donc par étudier la visée argumentative que comporte Les Obsèques de La Lionne puis nous verrons ensuite comment l’apologue et les registres sont mobilisés au service de celle-ci. La Fontaine dresse une satyre de la cour et du roi . Les courtisans sont décrits comme n’ayant pas d’individualité ( « on dirait qu’un esprit anime mille corps »l.22).Ils sont une masse anonyme et servile (« les gens […]sont ce qu’il plaît au Prince »17 et 19). Le vocabulaire de l’apparence montre leur hypocrisie

peut-elle instruire en plaisant comme La Fontaine s’y attache souvent ? I. Un récit tragique a) Les ravages de la Peste b) Un châtiment divin c) Le sacrifice II. Une société inégale a) Une parodie de procès b) Les discours faussés des courtisans III. Une ironie satirique a) L’hypocrisie du lion b) La loi du plus fort dialogue : lion, renard, âne → discours direct loup → discours indirect Chaque personnage représente un groupe de la société de l’époque. Schéma narratif : 1) vers

Dauphin. Dans son œuvre, La Fontaine fait une critique sociale et universelle de l’homme à travers les animaux. Cela lui permet d’éviter la censure. Ici il s’agit de La cour du lion, extrait du livre VII du deuxième recueil. Il peint la cour et ses courtisans et donne des conseils sur le comportement à avoir aux prés de Louis 14. Annonce des axes     Nous étudierons dans un premier temps la structure du texte, puis la peinture de la société faite par Rimbaud et pour finir la critique de la religion

Cette thèse, Montaigne va la justifier par toute une série d'arguments et d'exemples, qui sont développées jusqu'à la ligne 10. A partir de la ligne 10, Montaigne s'attaque à ses adversaires qui sont 2 catégories : Les mauvais voyageurs, puis les courtisans. Or, si ces 2 catégories sont la cible, c'est parce que les 2 expliquent une thèse commune ; Seul leur propre monde est valable, et tout ce qui est différent est sans valeur. Il consacre un paragraphe à chacune des 2 catégories. Il fait exprès

(de l'auteur latin Horace) . La satire vient moduler et contrecarrer le constat douloureux de l’élégie . Du Bellay force le trait pour évoquer la corruption de la société romaine, dénoncer les vices de la cour pontificale et l’hypocrisie des courtisans. Il utilise volontiers des infinitifs intemporels pour caricaturer les agissements des « vieux singes de cour » en une galerie de portraits qui soulignent la fausseté d’un lieu où il convient de « cacher sa pauvreté d’une brave apparence ». Mais