Courtisans Misanthrope

discours du roi et du cerf déguise son discours (prosopopée de la lionne) il utilise l'argument d'autorité il dresse un portrait pathétique et idyllique de la lionne Satire des courtisans - la rime «être, paraître» montre l'hypocrisie qui règne à la cours - chiasme v.18 - antithèse triste, gais - v.28 => un courtisan flatteur qui ment - dénonciation => «peuple caméléon» - v.49 => changement très rapide de sentiments «à peine» - v.50 => hyperbole et v.22 => 1≠mille : ils pensent en groupe

Devoir Maison I , Question Sur Corpus : Quelle image ces deux textes proposent-ils de la noblesse de cour et des courtisans au XVII eme siècle ? Nous allons étudiez l'image similaire de la noblesse de cour et des courtisan au XVII ème siècle entre Les obsèques de la lionne de La Fontaine et un extrait des Fâcheux de Molières. Tout d'abord, il y a une homogéneité chronologique qui soutient le corpus. Les deux textes ont en effet été publiés dans la seconde moitié du XVII e siècle

: l'une, un roi Lion souhaite détenir l'éternelle jouvence et convoque des charlatans pour parvenir à cela ; la seconde, deux courtisans le Loup et le Renard, rivalisent de cruauté pour s'éliminer mutuellement et s'attirer les faveurs du roi. A travers le travestissement animal et le registre burlesque, La Fontaine fait la satire de l'absolutisme royal et des courtisans. I - Une parodie de conte : un roi crédule, une cour de charlatans et de bonimenteurs 1) Le caprice du monarque : la quête

cour et l’on se lève sur l’intérêt (...): quel moyen de demeurer immobile où tout marche, où tout se remue; et de ne pas courir où les autres courent? (...) question si épineuse, si embarrassée, et d’une si pénible décision, qu’un nombre infini de courtisans vieillissent sur le oui et sur le non, et meurent dans le doute. » « I0I (VI) La ville dégoûte de la province; la cour détrompe de la ville, et guérit de la cour. (I) Un esprit sain puise à la cour le goût de la solitude et de la retraite. »

Caractères : quelle est la fonction de ces références dans les chapitres De la Cour et Des Grands. La question du paraître a une place prépondérante dans l’œuvre des Caractères, et la Bruyère en tant que moraliste insiste sur la façon dont les courtisans et les Grands se montrent. Pour cela, La Bruyère fait souvent allusion à l’aspect théâtral de la vie à la cour, que ce soit implicitement ou explicitement. De ce fait, par quels moyens La Bruyère parvient-il à dénoncer l’attitude des Grands toujours

morale, versification hétérométrique -Pt co ds le fond : leçon sur la liberté, valeur qui n’est pas monnayable et reste plus précieuse que tout (le loup refuse la domestication, le cheval s’est laissé prendre) Allusion sans doute à la condition des courtisans, entretenus par le roi Louis XIV dans une forme de servilité. Motif du lien. Plan de commentaire : I. Un récit vivant A . Le contexte de la fable Une époque mythique qui renvoie à des temps immémoriaux : les animaux parlent, ne st pas domestiqués

me dévouerai donc / s'il le faut" : restriction qui détruit le bon exemple, et invite les courtisans à s'y opposer ! et le "mais" qui suit achève de montrer que le Roi ne tient nullement au sacrifice qu'il propose : il sait pouvoir compter sur sa cour... 3ème partie, v. 34-48 : la réponse des courtisans. "Sire, dit le Renard..." : on s'attend à un pareil examen de conscience, mais le Renard, fin courtisan, s'en garde bien. Il se contente d'un plaidoyer des plus flatteurs pour le Roi, justifiant

sont les courtisans qui sont visés respectivement par La Fontaine et La Bruyère : ils sont désignés par les termes « Messieurs les Courtisans » (v.16), « la cour » (v.17), mais aussi par les impersonnels « chacun » et « on » dans la fable « Les obsèques de la lionne », et par les phrases « Ils ne sont pas les Satellites1 de Jupiter, je veux dire ceux qui pressent et qui entourent le prince, mais ils l’annoncent et le précèdent », et « ils se lancent impétueusement dans la foule des courtisans » dans

lumières.Livre VIII :• 3 «  Le lion, le loup et le renard » où, pour une fois, un renard pour un courtisan flatteur devient bon prédateur et utilisant ses flatteries pour amadouer le Lion et l’utilisant pour parvenir à ses fins. | Livres VII :•3, Les pauvres demandant l’aumône au rat, puis repartirent sans argent.• 6, Dans cette fable, lors du banquet porté par le lion, un Ours en tant que courtisan s’exprime sincèrement d’où son défaut de reprocher au Lion la mauvaise odeur. De plus, un singe très

loup . Celui-ci est obligé de justifier son absence, tout en rusant, pour rester dans les bonnes grâces du roi, il pense à se venger du loup. Et donc invente le moyen de s’en débarrasser astucieusement. Il met en place ses deux stratégies, en bon courtisan, il a l’ambition d’arriver dans les premiers, pour rester dans les faveurs du roi et éliminer le loup, faisant d’une pierre deux coups. Le roi, très imbu de sa personne, ne met pas en doute les ruses du renard, aussitôt dit aussitôt fait. Le milieu