Coût de transaction

Dussauge (1991) et celle de Hamel, Doz, Prahalad (1989). Par rapport à la relation entre les partenaires et donc du caractère concurrentiel de l’alliance, trois approches permettent d’aborder le problème : il s’agit de la théorie des coûts de transaction, de celle de l’apprentissage organisationnel et du paradigme éclectique O .L. I développé par Dunning.

l’approche NEI de la firme 1. L’approche de Coase 1937 L’approche de Coase Evaluation de Coase : apports et limites 2. La théorie des coûts de transaction Contenu de la théorie des coûts de transaction Fondements micro Choix des formes organisationnelles Analyse de la firme Evaluation de la théorie des coûts de transaction : apports et limites 3. La théorie des droits de propriété Contenu de la théorie des droits de propriété Introduction Démarche générale

démarche pour des achats dits stratégiques. En effet, le développement de l’offre permet aux entreprises de recourir à des prestataires ayant des compétences accrues. L’approche par la théorie des ressources s’imposent à la théorie des coûts de transaction. En ce qui concerne l’offre, le marché est loin d’être structuré. On assiste à une concentration massive du secteur. Les acteurs sont complémentaires et ne proposent pas des prestations similaires. C’est la structuration de cette offre qui incite

ont un impact direct sur tous les acteurs économiques : influence sur l’emploi, sur les Etats… Enfin la dernière partie reprend les théories qui s’appliquent dans le processus d’internationalisation des entreprises. La théorie des coûts de transaction explique la recherche de la baisse des coûts des firmes qui s’internationalisent. Le modèle éclectique OLI explique les raisons de l’internationalisation des FMN selon les avantages spécifiques de l’entreprise, les avantages du pays de destination

LA THÉORIE DES COUTS DE TRANSACTION La firme alternative au marché pour limiter les coûts LE point de départ de l'analyse (COASE, 1937) L'analyse de Coase répond au départ à une question, elle cherche à comprendre les raisons d'être de la firme comme institution et non plus comme une boîte noire. Il s'interroge sur la question fondamentale de savoir pourquoi la firme existe-t-elle ? Et surtout pourquoi s'est-elle imposée comme une forme d'organisation économique distincte du marché alors

adoptant une « voie médiane » entre domination par les coûts et différenciation («stuck-in-the-middle »), postulée par le modèle de Porter notamment, est discutée : les conditions favorisant un leadership en termes de coûts (réduction des coûts de transaction, économies d’échelle, effet d’expérience) seraient en effet indépendantes de celles rendant possible la différenciation de l’offre (Karnani, 1984 ; Murray, 1988 ; Hill, 1988). Dit autrement, la domination par les coûts et la différenciation ne pourraient

marché étant donné, caractériser les cinq conditions de la concurrence pure et parfaite. | LES CINQ CONDITIONS DE LA CONCURRENCE PURE ET PARFAITE | BROUILLON | | 1. L’intérêt * Les producteurs, produisent à moindre coût et sont assurés d’écouler leur production. * Les consommateursachètent à des prix très bas. 2. Les conditions 3.1 L’atomicité du marché : Les intervenants doivent être nombreux et de petites tailles. 3.2 L’homogénéité du produit :

justifié dans une société de marché ? 13. En quoi les crises peuvent favoriser les processus de réformes économiques et sociales ? 14. Trop de démocratie tue-t-elle la croissance : aspects théoriques et empiriques. 15. En quoi les coûts de transaction expliquent-ils l’existence des firmes comme mode de coordination ? 16. Faut-il limiter le pouvoir souverain ? 17. Dans la théorie des complémentarités institutionnelles, qu’est-ce qui fait que les innovations sur les marchés des capitaux se

d’intégration aval. B INTERETS - L’objectif stratégique est de maîtriser à la fois ses approvisionnements et ses débouchés : attaquer le premier afin d’éviter l’encerclement - «Internaliser » des transactions auparavant marchandes (théorie des coûts de transaction, développée par O.Williamson (1975) à la suite de R.H.Coase (1937)). - meilleure maîtrise de la qualité (en amont, celle des composants; en aval, celle du service au client), et plus grande attention aux anticipations

économiques dans le modèle de Lewis d’une part et dans celui de Harris et Todaro d’autre part ? 3) L’indice de Gini est-il une bonne mesure de l’inégalité des revenus ? 4) Montrez sur un exemple pourquoi la prise en compte des coûts de transaction est importante pour comprendre  les questions de développement ? 5) Le fonctionnement des entreprises est-il toujours amélioré par l’accroissement de la concurrence dans les pays en développement ? Sujet 2 : Peut-on définir le développement