Coutume de Paris

de la guerre de cent ans en 1453. Depuis le temps qu’ils en rêvaient les Francs sont là, ils se sont répandus en Gaule du nord surtout, le sud étant Wisigoth. Et ces francs arrivent avec une coutume qui va, à maintes reprises, faire se battre entre eux des frères, ou des pères et des enfants, car la coutume veut que le royaume soit partagé entre tous les descendants mâles de celui qui gouvernait. 2) La famille Mérovingienne Son arrière-grand père s’appelait Clodion, son grand-père Mérovée et

il fait un séjour à Paris et peut-être des études à Toulouse. En 1557, il est nommé conseiller au Parlement de Bordeaux. En 1558, début de son amitié avec Etienne de la Boétie qui meurt en 1563. En 1571, il vend sa charge de magistrat et se retire dans son château. Il fait publier les œuvres de La Boétie. Sa vie se partagera entre lecture, écriture et voyages. Entre 1576 et 1580, il écrit une trentaine de chapitres des deux premiers livres des Essais. En 1588, il séjourne à Paris pour faire éditer

réaliste et satirique, sont considérées comme une des premières formes du roman moderne. Rablais est né en 1485 à la Devinière, commune de Seuilly en Touraine en royaume de France, fils d'Antoine Rablais, avocat à Chinon et est mort le 9 avril 1553 à Paris. François Rablais étudie le latin, le grec, et correspond avec le célèbre humaniste Guillaume Budé. Il a d'abord été moine et traducteur avant d'exercer les fonctions de médecin puis d'écrivain. Homme de la Renaissance, il a allié, sa vie durant, foi

COMMENTAIRE (HISTOIRE DE L'ETAT) Arrêt du parlement de Paris dit « Arrêt Lemaistre » ou « Arrêt de la Loi salique » (28 Juin 1593). Le document que nous nous apprêtons à commenter est un arrêt rendu par le parlement de Paris datant du 28 Juin 1593. Ce texte a un pouvoir normatif puisqu'il s'agit d'un arrêt de règlement énonçant des principes généraux de dévolution de la couronne effectifs au XVIème siècle. Cet arrêt s'inscrit dans un contexte historique difficile. En effet la France, comme

ceci n’était pas le cas, personne ne savait à qui reviendrait la couronne. C’est ainsi que Claude Leprestre (1611-1694), magistrat au Parlement de Paris, composa son ouvrage Question notable du droit, décidées par plusieurs arrêts de la cour de parlement écrit en 1663. Ce dernier rassemble les arrêts de la cinquième chambre des enquêtes du Parlement de Paris, qu’il présida pendant plusieurs années. Dans cette œuvre, il soulève les problèmes posés par la succession de Louis le Hutin, décédé sans héritier

palais 786 Charles exige des hommes libres du royaume serment de fidélité 800 Charlemagne est couronné empereur par le pape 814 mort de Charlemagne 834-Raids des Vikings sur la Frise 842 Raids normands 885 Les Normands arrivent devant Paris 911 Traité de Saint Clair sur Epte : Rollon, chef des Normands, reçoit l’administration et la défense des comtés de Rouen, Evreux et Lisieux contre un serment d’allégeance 912 Rollon est baptisé 962 Otton 1er est sacré empereur du Saint Empire

codification du droit français. Ce projet est soutenu par le grand homme d’état de l’époque, qui est le chancelier Michel de l’Ospedale. Ce projet est donc de réaliser une codification qui devrait fondre le droit romain avec les meilleures suppositions des coutumes. Ce travail devrait être effectué sous l’autorité du roi par une réunion de jurisconsultes, de praticiens et d’hommes d’état. Ils devaient faire un choix parmi les livres de Justinien, s’inspirer de la philosophie mais également de l’expérience des

SECTION 3/ LE DROIT A L’EPOQUE ROYAL PARAGRAPHE 1/ LA COUTUME La coutume est un droit oral qui provient de la répétition d’un acte et qui n’est pas contesté par ceux qui l’applique. Dans le cadre de la formation de la coutume il faut : - la répétition d’un acte - la répétition de décision judicaire - idée de l’acceptation par le peuple A l’époque royale la coutume est la source essentielle du droit, les coutumes sont d’abord celles des groupes familiaux, elles gèrent : - Le

la réduction du droit à la loi et aux Codes; jusqu'à aujourd'hui où émerge, ds la confusion, un nouveau pluralisme. I- Du droit dit par les dieux au droit fait par les hommes. 1- Le droit dit ou dicté par les dieux. Ds un 1er temps, les coutumes ou régles coutumières st d'origine sacrée. Un réseau de rites obligatoires ou d'interdits enserre la vie des hommes. Ds un 2nd temps, ici ou là, la parole des dieux se fait + précise grâce aux rois-prêtres, qui communiquent avec la divinité et

de l'homme et de la femme ». 6(*) Cette convention, à son article 2 oblige les Etats parties à prendre toutes les mesures appropriées y compris des dispositions législatives pour modifier ou abroger toute loi, disposition réglementaire, coutume ou pratiques qui constituent une discrimination à l'égard des femmes. Face à cette nouvelle considération des valeurs humaines et particulièrement celle de l'égalité des droits entre l'homme et la femme, le législateur congolais édicte plusieurs