Coutume de Paris

par le mode de vie turque pourrait être négatif pour les pays de l’UE Il ne suffit pas d’être un pays européen, il faut adhérer aussi aux règles culturelles européennes. Ces dites règles sont définies par la langue, la religion, les valeurs, les coutumes et l’histoire. a) La langue : Les langues européennes ont les mêmes origines, à savoir romanes, germaniques, slaves et indo-iraniennes. Le turc, lui, a une origine ouralo-altaïque tout comme la langue de la Hongrie, la Finlande et l’Estonie. La

compilation Novelles. Les 4 compilations sont appliquées jusqu’en 1453. Occident renaissance du droit seulement 12ème siècle, découverte du droit romain de Justinien grâce aux croisades. Création de facultés de droit pour comprendre : Bologne, Montpellier, Paris et Orléans. Puis ouverture partout. Pas de droit national. D’où les origines romaines du droit actuel. Suède 1630 puis France 1679 cours de droit national. Angleterre et Allemagne fin 19ème. Le droit européen est dans l’impasse car impossible de

du droit parce qu’elle redoute des juristes : des moines s’intéressent à l’étude du droit plutôt qu’à la théologie. Les facultés naissent. Le besoin de connaissance juridique ne fait que croitre aussi bien chez les clercs que chez les laïques. A Paris, les écoles se fixent en dehors de la cité : dans le quartier latin. Création de l’Université : association des maitres et des écoliers parisiens : demande de protection royale. Dans le même temps se créent des collèges : ils ont pour but d’accueillir

file du mouvement romantique en France. Son drame Hernani en 1830 déclencha l’affrontement entre les romantiques et les classiques à propos des règles théâtrales. Ses premiers recueils poétiques comme les orientales et ses romans comme Notre-Dame de Paris témoignent du désir de renouvellement des thèmes d’inspiration. Victor Hugo fut aussi un home qui s’engagea pour ses idées, par exemple contre la peine de mort dans le dernier jour d’un condamné. Il prit position contre le coup d’état de Napoléon III

République (754 av J.C.- 27 av. J.C.) 1. La Royauté : les institutions et le droit
2. La République : A. Les transformations sociales B. Les institutions politiques
Les assemblées populaires Les magistratures Le Sénat
La citoyenneté C. Le droit : La coutume
La loi sous la République: La loi des XII Tables L’édit du préteur
La doctrine
La procédure ordinaire Deuxième chapitre : L’Empire (27 av J.C.- 565 ap. J.C) 1. Le haut Empire (27 av. J.C. - 284 ap. J.C.)
A. Les institutions : Pouvoirs et fonctions

culturelle et sociale : introduction (Mondher Kilani) Dorian Nguyen Dissertation : anthropologie ABÉLÈS Marc. 2002. « Les nouveaux riches. Un ethnologue dans la Silicon Valley ». Paris : Odile Jacob COLLEYN Jean-Paul. 1998. « Eléments d’anthropologie sociale et culturelle de l’anthropologie ». Paris Hachette GALLISOT André, Mondher KILANI et Annamaria RIVERA. 2000. « L’imbroglio ethnique en quatorze mots clés. Lausanne : Payot KILANI Mondher. 1996, « Introduction à l’anthropologie

juridiques aux problèmes qu’elle envisage. La troisième loi barbare fut promulguée en 502 : il s’agit de la loi Gombette, donnée par le roi Gondebaud à ses sujets les burgondes et gallo-romains. Les coutumes barbares sont là encore rédigées en loi, et on trouve dans celle-ci du droit romain, des coutumes germaniques avec des ordalies -notamment des duels judiciaires- et des serments purgatoires (qui ont pour effet de purger la faute). Les burgondes utilisent également un système de co-jureurs, personnes

SOMMAIRE Introduction (p. 2) 1 La transgression de l’univers mythique du western classique par l’histoire 1. Le mythe de la frontière (p. 3) 2. Coutumes et lois (p. 5) 3. Le surgissement du Mal (p. 6) 4. La transgression de la nature par la civilisation : la nostalgie d’un monde perdu (p. 9) 1. Le statut du héros et sa place dans le monde 1. Individualisme et société (p. 10) 2. La fêlure (p. 12) 3. Dilemme et rachat (p. 14) 4. La fin de l’épopée (p.

préfectoraux ou même de police et de police municipale… A côté de ces règles de droit d’écrit se maintiennent encore, dans certaines sociétés (plus en occident), des règles orales, qui s’imposent à tous car elles se sont ancrées dans les esprits : coutumes, usages … C’est parce que elles sont en usage depuis très longtemps qu’elles sont ancrées et qu’elle ne peut pas être remises en cause. On peut également parler des principes généraux du droit qui sont de grandes règles et des principes qui s’imposent

le principe essentiel de l’autonomie scientifique du droit, une méthode qui avait déjà donné des fruits féconds dans la Rome classique. A ce propos, je vous invite à lire le beau livre d’Aldo Schiavone, IUS, l’invention du droit en Occident, paru à Paris en 2008 dans sa traduction française. Pas seulement pour nourrir ce cours et celui de droit romain ; mais pour votre culture juridique dans son ensemble. Aldo Schiavone distingue avec clarté la tradition politique et la tradition juridique : la tradition