Coutume Et Loi

surgissent le droit selon Gérard Cornu. Il existe 4 sources du droit actuel : - LA LOI (sources qui émane du législateur c’est à dire l’Assemblée et les députés qui élaborent et votent nos lois car ils sont nos représentants, ainsi la loi est faite indirectement par les individus qui vont être soumis à celle-ci). La loi est la source du droit qui a l’autorité la plus forte. - LA COUTUME (habitudes, usages, pratiques qui se sont répétées dans le temps et qui du fait de cette répétition

Hammurabi qui indique que ce sont des droits religieux, ce n’est pas la volonté du peuple ni du roi mais d’un dieu. Ces droits sont donc immuables, on ne peut y toucher. Mais les droits mésopotamiens sont un droit religieux et non pas une loi religieuse. La loi religieuse essaye de donner un comportement moral a l’homme vers la pureté tandis que le droit religieux concerne des règlements de paix politique et social. Ces droits religieux sont des droits pragmatiques, empiriques. Sur le codes les

procédure et à la force de la constitution et dans c’est condition celle ci est a lors considérée comme l’ensemble des règles juridique élaborés et révisés selon une procédure particulière différente de celles utilisés pour la loi ordinaire et disposant d’une autorité supérieure. La loi ordinaire c’est celle qui est reconnu comme tel, les lois banales que vote régulièrement le parlement, différent des lois organiques. En outre la règle constitutionnelle à une autorité supérieure à l’ensemble des autres

Correction de la dissertation :La compilation justinienne Sous l'empire l'empereur va tout mettre en œuvre pour être l'unique source du droit. Cette quête s'achève sous Justinien qui se présente comme la loi animée ( la lex animata ). L'empereur désormais créé la loi mais tout comme Rome ne c'est pas fondé en un jour, l'empire romain a connu bien des crises avant que cette expression prenne tout son sens. En effet au troisième siècle après JC , Rome connaît un période de crise , crise économique

l’Antiquité : ( ordre d’importance normative et quantitative décroissante ) 1. La loi, c'est-à-dire la règle promulguée par l’autorité souveraine (Parlement) 2. La jurisprudence. Ce sont les décisions rendues par les tribunaux, les cours de justices, susceptibles d’acquérir autorité de précédent. Une décision rendue par une cour de justice qui pose ou interprète va être reprise par une autre cour de justice. 3. La coutume : usage reconnu par l’ensemble du corps social, qui acquiert avec le temps force

pas obligés de se marier, ils peuvent se pacser et avoir les mêmes avantages fiscaux que les personnes mariées. L’ordre public et les bonnes mœurs C’est l’ensemble des droits auxquelles la volonté privée ne peut déroger. La mesure prise par la loi semble suffisamment importante pour la collectivité toute entière pour qu’elle s’impose à tous et en toutes circonstances. L’ordre public s’attache : à la protection de la personne, la sauvegarde de la société, les mesures de direction économique

de règle ne suffit pas à elle seul pour faire le droit. Pour le romains, le droit est l'art du bon et du jus : « jus est ars boni et aequi ». Les grecs avaient distingué la loi positive (la règle édictée par l'autorité) et la justice. Si l'autorité est juste, elle va appliquer une loi juste, mais si on les sépare, une loi positive n'est pas forcément juste. Aujourd'hui, le droit distingue les règles édictée par l'autorité mais aussi des droits subjectifs (ressentis comme juste). On est protégé

chaque sujet du droit des droits subjectifs. LES SOURCES DU DROIT Histoire d’un long bouleversement des sources * 1804 : Code Civil Un bouleversement politique, en article du Code Civil (art. 1), il y eut abrogation de toutes les coutumes du royaume pour imposer une seule règle commune à tous les français. Un bouleversement économique car abrogation des anciennes règles. * 1957 : Le traité de Rome Multiplication des sources internationales avec trois niveaux *

La notion de coutume Selon Pathier, on appelle coutume la loi que l'usage a établi et qui s'est conservée sans écrit par une longue tradition. La coutume est une règle de droit non écrite. Quand un usage est devenu suffisamment constant et régulier, les Hommes considèrent qu'il doit être obligatoirement suivi. I - Définition: éléments constitutifs de la coutume Comme la loi, la coutume est un phénomène collectif, mais elle n'émane pas de l'Etat: elle provient de la vie du groupe social. Néanmoins

longtemps encore le foyer principal de sa diffusion. L’école d’Orléans, parallèle aux glossateurs, préconisait l’idée que le texte romain n’était plus la source mais le prétexte des solutions. Elle préfigurait la transaction du droit romain et des coutumes proposés par Pothier et consacré par le code civil de 1804. Contexte de la réception du droit romain par la France et l’Allemagne 1. . France La Gaule fut conquise par Rome, elle devait se plier au droit romain du vainqueur qui est le résultat