Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi

de l’Etat est juste d’assurer un environnement stable pour permettre le bon déroulement du marché. Les banques centrales doivent être indépendantes, assurer la discipline monétaire. La dépense publique doit être stabilisée. Pour Laffer, « trop d’impôts tuent l’impôt » : au bout d’un moment, les gens risquent de ne plus déclarer leurs impôts. Le monétarisme va inspirer des thérapies de choc : au Chili, au R-U avec Tchatcher, aux USA avec Reagan… ← Ecole des anticipations rationnelles Cette

longue durée affectant les phénomènes économiques). Cette croissance est ainsi composée de plusieurs phases : La théorie des cycles économiques : L'expansion : phase ascendante de la production, de l'emploi et des profits donc de la croissance La crise : baisse de la production, de l'emploi et des profits donc de la croissance La dépression(long terme) ou récession (court terme) : phase inverse de l'expansion, fléchissement de la production et hausse du chômage. La reprise : c'est le moment

ou les cotisations sociales de personnes privées (physiques ou morales). Les dérogations peuvent prendre des formes diverses : taux réduits d’imposition, exonérations, abattements sur le revenu imposable, déductions de charges, réductions et crédits d’impôts. Ces dispositifs dérogatoires se sont multipliés en France, surtout au cours des dernières années. Le manque à gagner pour l'Etat se calcule en milliards d'euros, le coût est estimé à près de 75 milliards d'euros. Ces mesures ont souvent

harmonie entre la croissance économique et les dépenses sociales. Le projet de budget 2013 au Maroc va ainsi veiller au rétablissement des équilibres économiques et financiers, à l’amélioration de la compétitivité du pays, de nouveaux dispositifs sont par exemple prévus pour renforcer l’emploi. Mais dans le même temps, cette loi de finances 2013 au Maroc va aussi veiller à la réduction des disparités sociales. Pour cela, les ressources du fonds d’appui de la cohésion sociale seront renforcées

consommateur et le producteur (bien de production bien l’intermédiaire)./effet de concurrence : les prix et niveau de la production seront plus efficient car plus proche de la situation de concurrence./ de plus le libre-échange permet d’augmenter la compétitivité des entreprises. Limite du libre-échange Il y a dégradation des termes de l’échange pour les pays spécialisé dans les produits primaires : les termes de l’échange permet de mesurer l’évolution comparée des prix des produits importés et exportés

sociale. * L’inflation: elle se traduit par une hausse des prix, ce qui va entraîner une baisse du pouvoir d’achat pour les ménages (la demande se réduira), une baisse de la compétitivité des entreprises et de leurs profits et enfin une baisse des investissements (l'offre ralentira). Rien de bien bon pour la croissance et l'emploi ! * Le solde extérieur: c’est l’écart entre les exportations et les importations, c’est à dire, la balance commerciale. Un déficit entraîne un endettement et la dévaluation

-Relation entre croissance économique et développement économique ? -Maîtrise des effets non désirés de la croissance économique ? -Favoriser la création d’emplois. Variables concernées par la politique économique Principales variables : -Le PIB -L’emploi -L’inflation -Les taux de change -La balance commerciale Ces variables sont en interaction. Comment représenter l’interaction ? Modèle Macro-économique : 3blocs Politique budgétaire Croissance étrangère | Secteur réel (production et emploi)___________

ont menés des politiques monétaires et budgétaires plutôt accomodantes pour faire face au ralentissement de l'économie mondiale, ce qui a vigoureusement soutenu leur croissance. Les capitaux ont alors afflué vers ces pays, favorisant l'expansion du crédit et l'assouplissement des conditions monétaires. Les pays producteurs de matières premières ont également stimulé leur croissance grâce à la hausse du prix du pétrol et des produits de base et la forte demande chinoise. Les pays émergents font face

faiblement depuis la crise 2009, car il y a une forte augmentation du taux épargne (15 % en 2007, 17 % depuis 2009) c'est une épargne de précaution devant l'insécurité de l'emploie avec le taux de chômage élevé. En période de crise les ménages ce désendettes, ils recourt beaucoup moins au crédit à la consommation (en 2009 les crédits à la consommation on baissé de 15 %) b) L'investissement (noté I) : Il y a celui des ménages et celui des entreprises. Pour les ménages on compte seulement l'investissement

être revues à la baisse depuis quelques années. L'Insttut natonal de la statstque et des études économiques évoque même la possibilité d'arriver à 0,9% de croissance pour 2014, en sachant qu'il faudrait environ 1.5% de croissance pour créer de l’emploi. En dehors du gouvernement, personne ne prévoit de tels chifres avant 2015 voire 2016. Il est urgent pour la France de réagir face à sa perte de vitesse économique par rapport à un certain nombre de pays, perte de vitesse dont le chômage est un