Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi

Hollande a expliqué que le pacte de responsabilité couvre 4 chantiers : Premier chantier, la poursuite de l’allégement du coût du travail. François Hollande précise que ce programme a été engagé avec la mise en place du CICE (crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi), un avantage fiscal qui concerne les entreprises employant des salariés. Le nouvel objectif est la fin des cotisations familiales pour les entreprises et les travailleurs indépendants d’ici 2017. Deuxième chantier, donné de la

active (raison démographique), moindre mobilisation des ressources en travail. Augmentation du coût du travail, du capital. Dégradation des systèmes de recherche, d’enseignement. Ralentissement de la croissance de la productivité Baisse de la compétitivité vis-à-vis du reste du monde. a. Conséquences  Si la productivité a baissé et que se maintient la quantité de facteurs de production, alors le niveau de production diminue : réduction du PIB réel. Si de plus le niveau de la demande ne diminue

Providence( dév élevé) à ouvert à other préocupat° + immatérielles. Dev donc des aspirat° hédoniste= relativisat° de la place du L ds vie quotidienne. III) Les controverses de la compétitivité 1) Le cout du L • L’approche Classique & néo. : nivo élevé charges soc+ on maitrise progréssion des W= frein à compétitivité éco. Si coût L progresse + vite que productivité : entreprises ↗° prix de vente afin maintenir marge de rentabilité.But 2 risques : perdre parts de marché et nourri « spirale inflationiste

pme et eti ………………………………………………………………………… p. 68 FINANCEMENT…………………………………………… p. 85 1. situation financière Des pme …………………………………………………………………………………………………………… p. 86 2. haut De bilan …………………………………………………………………………………………………………………………………………………p. 110 3. créDits et gestion De trésorerie ………………………………………………………………………………………………p. 136 4. moDèles De croissance et investissements D’avenir……………………………………………p. 160 5. comparaisons internationales ……………………………………………………………………………………………………p. 178 THÉMATIQUES ……………………………………………

d’implication explicatif. B) Les politiques économiques conjoncturelles Politiques conjoncturelles Politiques structurelles De réglementation (po de la concurrence, fiscale…) Politiques monétaires Politiques budgétaire Politique de l’emploi, de la protection sociale, de santé… Sectorielles (transports, agriculture, énergies, grande distribution… ) De relance (ou expansionniste) De relance (ou expansionniste) De rigueur (ou restrictives ou d’austérité) Les POLITIQUES ECONOMIQUES

l’implantation des banques étrangères sur les marchés locaux. Dans tous les pays la première difficulté a été des difficultés de liquidité pour deux raisons : * Le rapatriement des capitaux vers les pays industrialisé qui a réduit les possibilités de crédit au pays d’Amérique latine * La hausse des couts des emprunts sur le marché des capitaux internationaux. De plus, pendant la crise dans les pays du monde, les investisseurs ont choisi de placer leur capitaux dans des obligations d’état notamment

chiffres officiels du chômage sont donnés par des études statistiques. Deux définitions du chômage donnent deux mesures du chômage: le chômage au sens du BIT (Bureau international du travail) et le chômage au sens de l’ANPE (Agence nationale pour l’emploi). La différence entre les deux portes principalement sur le fait d’exercer une activité réduite (autorisée par l’ANPE et pas par le BIT). Comment expliquer le chômage ? • Il n’y a pas une explication unique du chômage : les économistes apportent

Chapitre 15 Quelles politiques pour l’emploi ? Introduction Le marché du travail est facteur d’inégalités. Le chômage touche les jeunes, les moins qualifiés. La politique de l’emploi est l’ensemble des mesures prises par l’Etat à propos du marché du travail et de son fonctionnement, pour réduire et rendre plus tolérable le chômage. Le travail reste un élément central de l’intégration sociale. 1 Les grandes évolutions de l’emploi et du chômage A L’évolution de l’emploi L’évolution de la population

celle que nous traversons aujourd'hui. Dans une société où la question de l'emploi reste toujours l'une des plus grandes préoccupations, il était clair que les PME feraient moins de dégâts dans la mesure où le nombre de salariés restait moindre face à celle des grandes entreprises, rendant la gestion du personnel plus efficace et plus économique. Mais le nombre de PME n'a cessé d'augmenter et représente en 2010, 52% de l'emploi. Elles ne peuvent donc plus être ignorées. En outre, les grandes entreprises

Le Système Fiscal Tunisien Le Système Fiscal Tunisien est constitué essentiellement de deux branches d'impôts : • Les impôts directs qui s'appliquent aux revenus ou bénéfices au stade de leur réalisation par les personnes physiques ou morales (IRPP, IS) ; • Les impôts indirects qui s'appliquent à la consommation ou à la dépense de ces revenus ou bénéfices et plus particulièrement aux affaires faites en Tunisie (TVA, Droit de Consommations), aux opérations particulières qui sont soumises à une