Cri Primal

plupart, je n’arrive pas à me hisser dans le wagon. Alors je m’agrippe à une poignée fixée près de la portière, mon épaule battant contre le métal. J’ai les bras qui tremblent. Enfin, une Sincère m’attrape et me tire à l’intérieur. J’entends un cri et je me retourne. Un garçon de petite taille, aux cheveux roux, court de toutes ses forces pour ne pas se laisser distancer. Une Érudite qui se tient près de la porte lui tend la main, mais il est déjà trop loin. Il tombe à genoux avec un air horrifié

plupart, je n’arrive pas à me hisser dans le wagon. Alors je m’agrippe à une poignée fixée près de la portière, mon épaule battant contre le métal. J’ai les bras qui tremblent. Enfin, une Sincère m’attrape et me tire à l’intérieur. J’entends un cri et je me retourne. Un garçon de petite taille, aux cheveux roux, court de toutes ses forces pour ne pas se laisser distancer. Une Érudite qui se tient près de la porte lui tend la main, mais il est déjà trop loin. Il tombe à genoux avec un air horrifié

neige accumule sur le dos de son voisin, ce qui faisait rire les S.S. qui observaient le spectacle. (pages 151-152). Cest parce que le texte a t dulcor au dtriment de la vrit littrale, parce quil ne fut pas, comme le prsenta lie Wiesel, un cri du cur, un lan primal suivant une dcennie de silence, quon peut le considrer comme une uvre littraire, qui, cependant, dfie toute catgorisation. Dj, Franois Mauriac crivit dans sa prface Ce livre est diffrent, distinct, unique un livre auquel nul autre ne pourrait

faisait rire les S.S. qui observaient le spectacle .» (pages 151-152). C’est parce que le texte a été édulcoré au détriment de la vérité littérale, parce qu’il ne fut pas, comme le présenta Élie Wiesel, un «cri du cœur», un «élan primal suivant une décennie de silence», qu’on peut le considérer comme une œuvre littéraire, qui, cependant, défie toute catégorisation. Déjà, François Mauriac écrivit dans sa préface : «Ce livre est différent, distinct, unique […] un livre auquel

dos de son voisin», ce qui «faisait rire les S.S. qui observaient le spectacle.» (pages 151-152). C’est parce que le texte a été édulcoré au détriment de la vérité littérale, parce qu’il ne fut pas, comme le présenta Élie Wiesel, un «cri du cœur», un «élan primal suivant une décennie de silence», qu’on peut le considérer comme une œuvre littéraire, qui, cependant, défie toute catégorisation. Déjà, François Mauriac écrivit dans sa préface : «Ce livre est différent, distinct, unique […] un livre auquel

de son voisin», ce qui «faisait rire les S.S. qui observaient le spectacle.» (pages 151-152). C’est parce que le texte a été édulcoré au détriment de la vérité littérale, parce qu’il ne fut pas, comme le présenta Élie Wiesel, un «cri du cœur», un «élan primal suivant une décennie de silence», qu’on peut le considérer comme une œuvre littéraire, qui, cependant, défie toute catégorisation. Déjà, François Mauriac écrivit dans sa préface : «Ce livre est différent, distinct, unique […] un livre

dos de son voisin», ce qui «faisait rire les S.S. qui observaient le spectacle.» (pages 151-152). C’est parce que le texte a été édulcoré au détriment de la vérité littérale, parce qu’il ne fut pas, comme le présenta Élie Wiesel, un «cri du cœur», un «élan primal suivant une décennie de silence», qu’on peut le considérer comme une œuvre littéraire, qui, cependant, défie toute catégorisation. Déjà, François Mauriac écrivit dans sa préface : «Ce livre est différent, distinct, unique […] un livre auquel

amitiés. Je l'apportai à mon supérieur. Monsieur Saito lut mon travail, poussa un petit cri méprisant et le déchira : - Recommencez. Je pensai que j'avais été trop aimable ou familière avec Adam Johnson et je rédigeai un texte froid et distant: monsieur Saito prenait acte de la décision de monsieur Johnson et conformément à ses volontés jouerait au golf avec lui. Mon supérieur lut mon travail, poussa un petit cri méprisant et le déchira : - Recommencez. J'eus envie de demander où était mon erreur,

l'apportai à mon supérieur. Monsieur Saito lut mon travail, poussa un petit cri méprisant et le déchira : - Recommencez. Je pensai que j'avais été trop aimable ou familière avec Adam Johnson et je rédigeai un texte froid et distant: monsieur Saito prenait acte de la décision de monsieur Johnson et conformément à ses volontés jouerait au golf avec lui. Mon supérieur lut mon travail, poussa un petit cri méprisant et le déchira : - Recommencez. J'eus envie de demander

amitiés. Je l'apportai à mon supérieur. Monsieur Saito lut mon travail, poussa un petit cri méprisant et le déchira : - Recommencez. Je pensai que j'avais été trop aimable ou familière avec Adam Johnson et je rédigeai un texte froid et distant: monsieur Saito prenait acte de la décision de monsieur Johnson et conformément à ses volontés jouerait au golf avec lui. Mon supérieur lut mon travail, poussa un petit cri méprisant et le déchira : - Recommencez. J'eus envie de demander où était mon erreur,