Crise Religieuse 14eme Siecle

largement, une histoire sociale et une histoire politique, au sens large. difficulté de cette étude : * porte sur la longue durée : de la chute de l’E.R (476) à la codification révolutionnaire et napoléonienne. Soit plus de 13 siècles (1328 ans exactement), riches de faits nombreux et capitaux, qu’il s’agira d’exposer dans un volume horaire modeste. D’où l’importance fondamentale d’une imprégnation chronologique (cf. chrono + biblio.) * concerne une nouvelle discipline, le droit

et la classe ouvrière est traitée autrement), on Commence aussi à développer l’optique du rendement à long terme du capital. * Stabilisation de la main-d’œuvre et nouvelle organisation du travail : main d’œuvre extrêmement mobile jusqu’au 19ème siècle, nouveau système = domestication * Effets secondaires : ils sont nombreux B. Interprétation : * Rupture ou continuité ? : Il existe différentes interprétations ou approches pour l’analyse des révolutions. On ne sait pas s’il y a une rupture

autorité légitime. La loi est irriguée et représentative de la morale. Il peut y avoir un lien entre les deux. Règle morale est une règle intériorisée, elle nous appartient. En république, il est rigoureusement interdit pour une communauté religieuse donnée d’imposer une morale à ses sujets. On voit bien que la règle morale est une règle mais ce n’est pas une règle de droit par le fait que la règle de droit s’impose à la règle morale. Elle lui est supérieure et elle lui est en termes de hiérarchie

sociétaux internes. Ces grands systèmes ont pu se développer à partir d’une matrice sociopolitique assez féconde à savoir l’Etat/nation2. L’Etat et la Nation apparaissent dès lors comme deux réalités étroitement liées, au point qu’à partir du XIXème siècle la notion d’Etat-nation s’impose, justifiant tantôt l’unification de certains territoires ou la dislocation d’Empires englobant plusieurs entités nationales. L’Etat se caractérise alors par la congruence d’une entité politique souveraine avec un ensemble

Fondation nationale des sciences politiques (FNSP). Il est l’auteur de Indonésie, la démocratie invisible. Violence, magie et politique à Java (Paris, Karthala, 2002), et de Etat colonial, noblesse et nationalisme à Java : la Tradition parfaite ème ème siècle) (Paris, Karthala, 2005). Son prochain ouvrage à paraître porte sur les controverses et les (17 -20 mobilisations politiques autour de la Loi du 23 février 2005 : Mémoires d’empire. La controverse autour du ‘‘fait colonial’’, Paris, Editions du Croquant

finalité sociale (le droit, la liberté sont donnés aux individus pour obtenir une solidarité sociale) - les deux grandes philosophies des droits de l’Homme : une philosophie religieuse, qui trouve son origine dans le judéo-christianisme, et une philosophie laïque, celle des Lumières, centrée sur l’Homme (XVIIIème siècle). - un intérêt pour tout citoyen : cette étude peut avoir pour ambition de mieux former le citoyen. Il est évident que les droits et libertés ont été conquis progressivement

en réalité, les spartiates ont pu être corrompus par le commerce. Mais dans l'histoire des idées politiques, Sparte va rester comme cette cité modèle du civisme, du patriotisme et du don de soi. Ces idées vont être véhiculés jusqu'à Rome et les siècles suivants. C'est un système aristocratique car il y a peu de citoyens (9000) et c'est un système hiérarchisé car il y a les spartiates (homoïs), et ceux qui travaillent, les inférieurs. En dessous des inférieurs, on a l'esclavage. Sparte valorise

1ère PARTIE : Les origines (1er – 10ème siècle) TITRE 1 : LA GAULE DE L’INVASION ROMAINE AUX INVASIONS GERMANIQUES (1ER -> 5EME SIECLE) La Gaule était habitée, avant les romains, par la civilisation des Celtes, très brillante. Les Celtes sont en Gaule aux environ du 4ème siècle av. JC, ce qui forme la Gaule celtique. Les Celtes s’installent aussi dans le nord de l’Italie. Ces peuples celtes sont nombreux, et portent des noms précis (les plus connus : Les Arvernes et les Allobroges). Chaque

l'ordre public. → Les droits naturels de l'homme ne sont pas applicables sans la complicité de la loi. B)La fin de non-recevoir positiviste 1.Les ambigüités de positivisme légaliste Après la rédaction du Code Civil, nous entrons au 5ème siècle dans l'ère du réductionnisme légaliste : le droit c'est la loi. Le réductionnisme légaliste aura une traduction dans l'enseignement du droit mais aussi dans les institutions. Des lois vont s'imposer, celles de protéger la rigueur de la loi de tous

l’univers). Le problème du droit divin c’est de le connaître car ce sont toujours des hommes (prêtres, rois, illuminés…) qui nous disent la volonté de dieu. On parlera de droit révélé ou transmis. Condillac (philosophe français du XVIIIème siècle) dit que l’être humain est emprisonné sous sa carapace, et il ne peut concevoir les choses qu’à travers le « prisme déformant » de ses sens. Les religions principales ont admis ce droit divin, l’existence d’un corps de règles idéales et immuables