Critique de la raison pratique

toutes les idées que nous avons, ou que nous pouvons avoir naturellement (essai sur l’entendement humain, livre 1 chapitre I). Le problème, pour l’empirisme, c’est la nature et le pouvoir de cette seconde source d’idées : « penser, douter, croire, raisonner, connaitre, vouloir, et toutes les différentes actions de notre âme, de l’existence desquelles nous sommes pleinement convaincus, parce que nous les trouvons en nous- mêmes et par lesquels nous recevons des idées aussi distinctes que celles que les

nature de la religion ? Ne peut-on pas dire notamment qu'elles ont toutes un point commun dans la mesure où elles reposent sur un sentiment (la croyance ou parfois la foi) et non pas sur la raison ? Mais, si tel est le cas, n'y a t'il pas cependant un moyen de concilier ou du moins de faire dialoguer la foi et la raison ? I. Nature de la religion A. La religion comme administration du sacré Mircéa ELIADE, Le sacré et le profane (Texte 1). 1. ''En manifestant le sacré, un objet quelconque devient

s’accordaient pour reconnaître la réalité : ce n’était pas le groupe mais l’individu qu’engendrait l’histoire en marche ; pas la corporation mais l’entrepreneur, pas la classe ou l’Etat mais le citoyen ; par la tradition corporative ou liturgique mais la raison individuelle. » Plusieurs idées importantes apparaissent dans ce texte : - La modernité est un processus et non un état, elle fait référence à une dynamique (partie 1 ci-dessous) ; - La modernité est au cœur de la réflexion des sociologues à

c’est qu’il n’y a pas de problème ». Ou en citant un politicien célèbre des Troisième et Quatrième Républiques, Henri Queuille : « il n’y a pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout ». 1 J’ai mené ailleurs l’analyse critique de la sociologie du champs littéraire, de manière plus argumentée et moins expéditive qu’ici : voir Alain Vaillant, L’Histoire littéraire, Paris, Colin, « U », p. 209-227. 1 Journée CPGE – Université Paris Ouest Nanterre – 4 octobre 2014 Mais

Séminaire de philosophieSéminaire de philosophie juin 2004 Kant : Critique de la faculté de juger D. Sorenti Professeur : R. Glauser davidsorenti@bluewin.ch Quatrième moment du jugement de goût considéré d’après la modalité de la satisfaction résultant de l’objet (Paragraphes 18-22) Les enjeux du quatrième moment de la Critique de la faculté de juger sont de deux ordres : examiner qu’elle est la modalité du jugement

affirme que les philosophes des Lumières « combattent pour la vérité par le biais des armes que les sciences peuvent fournir à la raison ». Ils usent de toutes sortes de formes et de tons pour éclairer les Hommes ; ils font passer leur message à travers toutes sortes d’écrits en déguisant leurs attaques contre les préjugés et, « prennent pour cri de guerre, la raison, la tolérance et l’humanité ». Nicolas Condorcet fait ici l’éloge du combat des Lumières contre l’obscurantisme. La vérité est une

dans leur quartier (p. 290). Selon les théories de Jacobs, les systèmes de transport doivent faire partie intégrante de la ville. Elle est d’ailleurs en faveur de l’automobile, mais remet en question sa prédominance dans la ville (p. 300). Elle critique notamment les infrastructures

religion comme objet d’analyse ........................................... 14 La religion comme élément des mutations modernes.............. 14 1. Foi et raison : qu’est-ce que croire ? ................................... 15 Croire ou savoir ? ....................................................................... 15 Le statut de la raison ................................................................. 16 Fidéisme ou rationalisme ? ........................................................17

la réduction des coûts unitaires de production en raison de l'augmentation de la taille des structures productives. L'__________________________________________________________________________ a été mis en évidence par le B. C. G. (Boston Consulting Group). On appelle expérience, __________________________________________________________________________. Le développement de l'expérience se traduit par une meilleure maîtrise dans la pratique de l'activité ou du métier, ce qui a pour conséquence

populations, les techniques, les idéologies… Or tous ces éléments sont bouleversés à l’âge industriel. D’où la problématique : Comment les transformations sociales de l’âge industriel ont-elles influencé les pratiques culturelles et artistiques de l’époque ? I – De nouvelles pratiques culturelles et religieuses. A – De nouveaux publics apparaissent. La société a beaucoup changé lors de la RI : croissance démographique, apparition de nouvelles classes sociales (bourgeoisie, ouvriers…)