Critique Des Courtisans

Fontaine LECTURE DU TEXTEIntroduction : Les fables sont écrites par  La Fontaine  entre 1668 et 1694 et sont publiées en trois recueils. C'est une dédicace au Dauphin. Dans son œuvre, La Fontaine fait une critique sociale et universelle de l'homme à travers les animaux. Cela lui permet d'éviter la censure. Ici il s'agit de  La cour du lion , extrait du livre VII du deuxième

loup . Celui-ci est obligé de justifier son absence, tout en rusant, pour rester dans les bonnes grâces du roi, il pense à se venger du loup. Et donc invente le moyen de s’en débarrasser astucieusement. Il met en place ses deux stratégies, en bon courtisan, il a l’ambition d’arriver dans les premiers, pour rester dans les faveurs du roi et éliminer le loup, faisant d’une pierre deux coups. Le roi, très imbu de sa personne, ne met pas en doute les ruses du renard, aussitôt dit aussitôt fait. Le milieu

apparue ». Les autres animaux y croient aussi « On se mit à crier : « Miracle ! Apothéose ! » ». Le fait que les courtisans se rendent serviles on le voit par le verbe « accourir » (vers2) qui insiste sur la servilité ridicule. Le symbolisme même des animaux « accoutumé de lire » montre une certaine habitude sachant que les animaux ne savent pas lire. II. Critique de la société. 1. Courtisans. Le fait que les animaux sont Flagorneurs au vers 2 «Aussitôt » complément circonstanciel de temps. La servilité

I. Les caractéristiques du conte. a). Un cadre spatio-temporel mythique et lointain. Voltaire nous plonge dans l’univers du conte, «  Le roi, Babylone, Leurs Majestés, les courtisans, les vizirs.. » On peut voir une personnification où Zadig parle avec un perroquet. Il utilise aussi une hyperbole, «  L’envieux en eut un crachement de sang, et le nez lui enfla prodigieusement. » b). Des personnages peu caractérisés. Zadig est comparé à des personnages emblématiques comme Zoroastre. Seulement

Marivaux. I) La violence morale et psychologique... a)La puissance du roi. b)L’indignation de Silvia. c)Le bon sens d’Arlequin. II)... Provoque le renversement du comportement de Silvia et d’Arlequin. a)Le complot. b)Le venin de la vanité. III) Une critique implicite de la cour. a)La jalousie de Lisette... b)... Symbole de la civilisation corruptrice. La Double Inconstance est une comédie en trois actes et en prose de Pierre Carlet de Marivaux (1688-1763), créée le 6 avril 1723 à l’hôtel de Bourgogne

1674. Il publiera deux recueils qui seront divisés en livres. Dans son œuvre, Lafontaine, en s’inspirant d’Esope, Epicure ou Phèdre, fait une critique sociale et universelle de l’homme à travers les animaux. Cela lui permet d’éviter la censure. Ici il s’agit de La cour du lion, extrait du livre VII du deuxième recueil où il peint la cour et ses courtisans et donne des conseils sur le comportement à avoir auprès de Louis 14. A travers ce texte, nous nous demanderons quelle est la portée satirique

laissée de côté pour la grammaire, jusqu’à la Renaissance. Après, jusqu’au XVII° siècle, la rhétorique prend beaucoup de place dans le savoir religieux et le dialecte. Dans le Classicisme, la rhétorique devient nationale et est très appréciée des courtisans. Enfin, au XIX° siècle, la rhétorique est "abandonnée" face à l’histoire et la poésie, mais encore utilisé principalement au service du pouvoir. Aujourd’hui, la rhétorique est souvent comparée à l’argumentation, et ne ressemble plus tellement à

quitte le récit pour énoncer quelques considérations personnelles à plusieurs reprises. Il décrit ainsi la cour aux vers 17 à 23 notamment par ces mots : « je définis la cour, un pays où les gens / [..] sont ce qu’il plaît au Prince ». De même, il critique certains des personnages dans des propositions indépendantes juxtaposées (« les lions n’ont point d’autre temple » v.14) ou bien dans des phrases non connectées (« Jugez si chacun s’y trouva » v.11). Ainsi, en filigrane, le narrateur commente le

animaux malades de la peste"...) Jean de La Fontaine à travers ces différentes fables critique le procès de la société humaine, et en particulier de la cour. Au travers de l'animal, c'est l'homme qui transparaît ; soit de manière explicite, soit implicitement, dans les rapports des animaux entre eux. λ Une société toute entière Qui a ses grands, son roi (le Lion), sa reine (la Lionne), ses courtisans (le loup, l'ours, le renard, le singe), et ses petits, toujours faibles, méprisés, et

travers ses fables éditées dans douze livres parus entre 1668 et 1694, il nous communique ses idées. Jean de la Fontaine était un homme adroit. Afin d'éviter la censure, dans ses critiques, il la contournait grâce aux animaux qu’il mettait en scène dans ses fables. En utilisant le discours indirect, il réfléchit à la critique et ses animaux le disent à sa place. De cette façon, Jean de la Fontaine ne pouvait pas affirmer qu’il critiquait la monarchie de Louis XIV car ce n’était pas lui qui en faisait