Critique Des Courtisans

Malades de la Peste fait partie du livre sept du second recueil de La Fontaine. Il est d’autant plus connu car, à travers ses fables, Jean de La Fontaine a pour habitude de dissimuler une critique derrière l’apparente simplicité et la morale. On peut donc se demander par quels procédés La Fontaine fait une critique de la société dans cette fable ? Nous verrons tout d’abord la description de la peste et sa symbolique, puis l’hypocrisie du Roi soutenue par le parti pris de la Cour et pour finir l’injuste

force mouton même parfois berger' : ses péchés le rendent cruel, féroce, sans scrupules • Exagération amusée. 'Appétit de glouton, force moutons' • Manie ironie: 'me dévouerai donc/s'il le faut': sous-entend qu'il ne le fera pas et invite les courtisans à s'y opposer. Convaincre : • Discours construit logiquement : lg 15 (il expose la situation) lg 20 (il invite les autres) lg 24 (il fait propre confession) lg 29 (il invite les autres) lg 33. Marqué par des connecteurs • Avoue lui-même, donne

manière à viser la monarchie de Louis XIV. Les personnages de la fable sont des animaux anthropomorphes, et La Fontaine propose un apologue dans lequel est souligné, sur un mode comique, l'importance des codes sociaux qui règnent dans le milieu des courtisans. ( Pb possible) En quoi cette fable est-elle un apologue satirique ? (annonce de plan) Voir explication 1ère mouvement (v. 1-14) : l’annonce d’une grande fête royale (a) La solennité des

1678. La fable prête à l’animal les qualités et les défauts de l’homme et le monde animal crée par La Fontaine est la représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste. C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7. Lecture de la fable Annonce des axes de lecture Analyse : I - Une fable habilement menée 1. Une Fable qui rappelle

1678. La fable prête à l’animal les qualités et les défauts de l’homme et le monde animal crée par La Fontaine est la représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste. C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7.Analyse : I - Une fable habilement menée            1.Une Fable qui rappelle les récits mythologiques   Récit  

surprend Saval dans les bras de sa mère qui lui avoue, ou plutôt qui revendique avec fierté, son statut de courtisane (3). Yvette décide de mourir, "pour ne point devenir une fille entretenue", mais le chloroforme la grise au lieu de la tuer, et provoque en elle "une envie forte, impérieuse de vivre, d'être heureuse, n'importe comment, d'être aimée, oui, aimée": elle enlace Servigny (4). Critique Dans des lieux que l'auteur connaît bien (les "temples de la chair" des salons interlopes, Bougival

sera finalement acceptée au salon. Désormais, la peinture sur toile, Olympia, de Manet, est exposée au musée d’Orsay. II. Description de l’œuvre Ce tableau représente une courtisane bourgeoise dans sa chambre qui reçoit, par l’intermédiaire d’une servante noire de peau, un bouquet de fleurs d’un de ses amants. Au premier plan, pose une femme nue portant des bijoux, le pied gauche encore chaussé d’une claquette, allongée sur

très originale et mystérieuse. C’est une sorte de fourre tout critique sur la société avec une histoire d’amour impossible et fatale. - ll y a 2 parties. Paris est décrit et critiqué dans la 1ère partie. Dans la 2 ème partie, l’histoire d’amour tragique est racontée. - Balzac a un regard sans pitié sur la population de Paris. Seules les courtisanes qui vivent à l’orientale sont heureuses. Les autres groupes sociaux sont critiqués avec énormément de détails. C’est très réaliste et courageux.

plusieurs fois un message, afin de faire passer une idée. Ici le refrain n’est pas toujours identique, il exprime à chaque fois une idée différente. Commentaire linéaire :     Au début du texte l’auteur s’adresse aux courtisans, par le biais d’une apostrophe. On apprends que les courtisans sont en train de manger, notamment avec le mot « attablé », et le vocabulaire du festin :  « attablés, la bouche, la soif, buvez, coupe, verre, mangez… ». Le mot « orgie », signifie « Débauche », « profusion = abondance »

la comparaison. Les bons poètes se différencient des mauvais poètes anciens, des mauvais poètes contemporains, mais aussi des dames, des courtisans et des mauvais comédiens. En revanche, ils sont par certains cotés semblables aux bons comédiens. Ces exemples sont d’une part des métaphores illustratives. Le travestissement est le point de jonction. Les courtisans, les comédiens novices, les dames, tout comme les mauvais poètes utilisent font preuve d’artifice pour arriver à leurs fins. Ces derniers