Critique Des Courtisans

Célimène, et les deux marquis. La jeune femme, aussi en compagnie de sa cousine Eliante, Philinte, et Alceste, s'amuse à dresser un portrait satirique de plusieurs courtisans qu'elle dit « ses amis », à qui elle accorde ses bonnes grâces : cela se déroule dans l'acte II, scène 4. Les marquis s'amusent avec elle à se moquer des autres courtisans (« Cléonte, au lever, Madame, a bien paru ridicule achevé » ; Adraste est dit d'un « orgueil extrême ! […] gonflé de l'amour de soi-même. », etc.) En outre, il

GITON ET PHEDON LA BRUYERE Double portrait construit à priori sur une opposition, opposition prise en compte par le lecteur dès le début du deuxième portrait. S’agit-il alors d’une critique des inégalités ? Faut-il lire ces portraits comme la démonstration du poids de la fortune ? Comment un portrait peut-il servir une argumentation ? Quelles sont les visées de La Bruyère ? Contre qui ou contre quoi est dirigée la satire ? 1 L’opposition qui charpente les portraits est trompeuse et insatisfaisante

Seigneur, cour" + courtisans : "flatteurs, petits saints, ces gens-là, autres puissances" Le roi manipulateur a le pouvoir de la parole. D. Présence du fabuliste Situation initiale : pas de position "Les moins pardonnables offenses" -> prise de positions, il porte un jugement sur les courtisans et est du coté de l’âne. "Mange l’herbe d’autrui ! Quel crime abominable !" -> Ironie "On le lui fît bien voir" -> mort de l’âne (= euphémisme, périphrase) Axe 2 : Critique de l’injustice

Misanthrope, une partie des Caractères de La Bruyère intitulé « De la société et de la conversation » puis pour finir un extrait de ROMAN de M. Proust : Le Coté DE Guermantes. Ce corpus est une satire de la vie en société. Tout d’abord Du Bellay critique les courtisans capables de tout pour plaire au roi. Puis dans le texte de Molière, Alceste lutte contre ceux qui se comportent aimablement avec tout le monde. La Bruyère fait le portrait du personnage de Théodecte qui veut toujours être au centre de l’attention

écrits.             A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire, il veut dénoncer les défauts des hommes, leur en faire prendre conscience ; il critique aussi des faits de société (ex : Les Précieuses ridicules). Prendre l'exemple d'une pièce et développer-le dans ce sens (L'Avare, L'École des femmes, Le Misanthrope...)               B- La lutte des Lumières Philosophes des Lumières ont préparé

sourira très discrètement, puis redressera la tête) et les allusions : tout est dans le demi-mot. L'abbé de Vilecourt est tout en gestes maniérés et en moue doucereuse, mais c'est un serpent qui ne cherche qu'à piquer. Il jouera tous les airs du courtisan : superficiel, ennuyé, faussement intéressé, mais surtout vil comme son nom le dit si bien. Citer les Écritures est pour lui l'occasion de faire un mot d'esprit et de souligner indirectement qu'il n'a que l'apparence d'un religieux (pour le jeu

contrairement à son habitude, par Odette de Crécy, une courtisane qui se dit souffrante et ne laisse pas entrer son amant chez elle, pour cette même raison. Alors, quels effets ce refus va-t-il avoir sur le comportement de Swann ? Répondre à cette question supposera que nous analysions comment se manifeste la naissance de la jalousie dans le cœur du jeune homme puis la manière dont le narrateur confère à son récit une visée critique. La jalousie ne tarde pas à envahir le cœur de Swann, à

Honoré de Balzac La Comédie Humaine Honoré de Balzac est né à Tours le 20 mai 1799 où il est issu d'une famille bourgeoise. Tour à tour romancier, dramaturge, critique littéraire, critique d'art, essayiste, journaliste, imprimeur, il a laissé une œuvre romanesque qui compte parmi les plus imposantes de la littérature française, avec 91 romans et nouvelles parus (137 prévus) de 1829 à 1852. Biographie de Balzac Honoré de Balzac est né à Tours le 20 mai 1799 où il est

ces raisons, on voit bien que le lion dans l’esprit de La Fontaine, n’est autre que le roi. 2. Le renard. Il représente le courtisan et apparaît comme un personnage rusé comme souvent dans les fables ou histoires où il est question de renard. a. Hypocrite. Le renard est très hypocrite : il cherche à obtenir les bonnes grâces du lion, tel le courtisan avec son roi, et pour cela il commence par le flatter : l’apostrophe du début annonce la couleur : « sire, vous êtes trop bon roi », de

trouve dans le regard que les étrangers portent sur la France matière à réflexion sur la rencontre entre les cultures et sur la nature humaine. Nous montrerons d’abord comment Montaigne présente cette anecdote. Nous dégagerons ensuite son contenu critique avant d’envisager en quoi la rencontre avec l’étranger nourrie la réflexion humaniste. I. Un dialogue entre deux mondes : 1. Une rencontre mise en exergue (=qui attire l’attention) : - De façon redondante Montaigne insiste sur la durée