Critique Des Courtisans

l’auteur pour faire passer un message bien précis aux lecteurs. Malgré la forte présence du monde animal, on remarque qu’il est organisé de la même manière que celui des hommes et plus particulièrement de la cour de Louis XIV (le Roi, la Reine, les Courtisans …). Dans ses fables, La Fontaine fait souvent allusion à la noblesse du XVIIème siècle mais il utilise l’ironie qui est un art permettant de dire le contraire de ce que l’on pense et l’on peut ainsi ce moquer de personnes sans le dire directement

élogieux / dépréciatif, âne franchise) · Contraste foule / certains animaux précis II - Une scène critique de la justice et du pouvoir 1. Le pouvoir : le roi et les courtisans · Personnages : lion brutale et injuste · Utilisation de modélisateurs / de verbes d’actions qui expriment la brutalité (« dévorer ») · Nombre de vers consacrés au Roi important · Courtisans : rhétorique, pouvoir de la parole, figure de style, énonciation (pas à la première personne) · Certains

tiennent un discours critique. Le Fontaine critique le plus souvent la politique dans ses fables. Ainsi, dans “Les Animaux malades de la Peste” La Fontaine critique le pouvoir. Celui-ci remplace le roi par le lion brutale et injuste et utilise des verbes d’actions qui expriment la brutalité: “dévorer” (V29) ; “tondis” (58) ; “étaient frappés”(V7). De même, dans “Le Lion et le Moucheron” le lion renvoie à un personnage royale. Le fabuliste critique non seulement le roi, mais les courtisans également. En

porte. Ne pouvant en croire à leur yeux, certain ont trouvé pour consolation de s’en prendre à l’entourage du ROI .Là encore c’était notre nature d’hypocrisie habituelle, de peur, et d’individualisme mortel ; car personne, vertement ne voulait critiquer le ROI. « On a dit que l’akassa n’est pas bon et tu rétorque que c’est chez le roi qu’on l’a acheté ». Bien aussi conscient de cet état de chose … Le complot savamment ourdi contre les masses suivait sans faille le plan établi et la feuille de route

se fait appeler seigneur sire roi. Cp : Le lion ainsi, est le juge suprême qui prend les décisions, on peut comparer son discours avec celui d’un roi dictant ses lois. II Un regard critique sur la Cour 5) Le défaut principal mit en avant par le discours du renard est la flatterie excessive des courtisans envers leur roi. L34 : « Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi »=> hyperbole, il exagère pour impressionner le lion. Il excuse tous les tords du roi : « et bien, manger mouton, canaille

Contraste foule / certains animaux précis II - Une scène critique de la justice et du pouvoir 1. Le pouvoir : le roi et les courtisans • Personnages : lion brutale et injuste • Utilisation de modélisateurs (appréciation subjective de la part de celui qui l’emploie « Sans doute, peut-être, certainement ») / de verbes d’actions qui expriment la brutalité (« dévorer ») • Nombre de vers consacrés au Roi important • Courtisans : rhétorique, pouvoir de la parole, figure de style,

pas ce qu'il a. _ sur le plan professionnel: il a rencontré des echecs avec ses dernieres pièces (notamment Tartuffe). De plus Molière n'arrive plus à supporter les gens autour de lui: les médecins qu'il trouve incompétents ; les courtisans , hypocrites , il critique les précieux et les bourgeois qui veulent égaler les allures et les privilèges de la noblesse; l'Eglise: «faux devots» , directeurs de conscience... Molière porte un regard dur sur son siècle, il lui reproche son hypocrisie. Le

Ainsi, le recours à l’argumentation indirecte permet de mettre en place des critiques qui ne seraient pas admises dans un registre plus sérieux, tel que l’essai. Par exemple, on retrouve à nouveau le moraliste de La Fontaine. Il critique, au fil de ses fables, le monde, la cour, l’asujettissement, la bassesse des courtisans, la flatterie. Dans  Les Obsèques de la Lionne, une des moralités dénonce l’hypocrisie des courtisans, mais surtout la vanité et la naïveté des rois « Flattez-les, payez-les d’agréables

renard contraste élogieux / dépréciatif, âne franchise) ·  Contraste foule / certains animaux précis II - Une scène critique de la justice et du pouvoir 1. Le pouvoir : le roi et les courtisan ·  Personnages : lion brutale et injuste ·  Utilisation de modélisateurs / de verbes d’actions qui expriment la brutalité (« dévorer ») ·  Nombre de vers consacrés au Roi important ·  Courtisans : rhétorique, pouvoir de la parole, figure de style, énonciation (pas à la première personne) ·  Certains ne font

n’y en avait pas et qu’on ne plaidait jamais ». Candide par son optimisme peut avoir tendance à idéaliser l’El Dorado mais au-delà de sa candeur, cette perfection est présentée avec instance comme excessive, ce qui invite le lecteur à une lecture critique. La mention de l’abondance des fontaines mais aussi la répétition de « mille » qui finit par ne plus avoir de sens sont révélatrices d’un univers idéal montrant en creux les insuffisances de la société et de la politique française du XVIIIè siècle