Critique Des Courtisans

rappelle-t-il en creux l’honnête homme ?Intro : Auteur  : Jean De La Bruyère est un moraliste écrivain classique français du 17ème siècle. Ayant été le précepteur du petit-fils du Grand Condé, LB a pu observer et étudier la cour et ses courtisans. Son œuvre la plus connue est Les Caractères ou Les Mœurs de ce siècle (publié en 1688) d’où est tiré l’extrait que nous allons étudier. Enjeu de l’œuvre : L.B présente ses Caractères

1678. La fable prête à l’animal les qualités et les défauts de l’homme et le monde animal crée par La Fontaine est la représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste. C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7. les animaux malades de la peste Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes

que l’épidémie s’arrête. À la fin, il y a une morale sur l’injustice qui caractérise les relations entre les puissants et les faibles. En premier lieu, nous verrons que cette fable est un apologue et un texte argumentatif qui dénonce, critique et fait la satire de la société, pour cela il utilise le cadre spatio-temporel imprécis, les animaux et la morale. En deuxième lieu, nous verrons que cette fable est persuasive, La Fontaine emploie le pathétique, le drame, le comique,

qu’ils n’ont plus de virilité, mais surtout tend à prouver à Usbek qu’ils changent les hommes puissants, par leur misère même, comme s’ils les contaminaient. La violence de l’intervention et la force de l’argumentation de l’Occidental, muni d’esprit critique, fait voler en éclat la pâle exposition du bonheur des femmes persanes qui inaaugurait la lettre. Les femmes persanes sont peut-être plus belles que les Françaises, mais les sentiments éprouvés par les eunuques sont contagieux : leur jalousie et

Analyse linéaire n°2Mouvement 1 : premier paragraphe, lignes 1 à 5, enjeu : Panphile, un courtisan prétentieuxMouvement 2 : ligne 6 à 10, enjeu : un singe de cour qui imite les Grands Mouvement 3 : ligne 10 à 23, enjeu : hypocrite opportunisteIntroduction : reprendre intro Arrias, le portrait de Panphille se trouve dans le livre XI « des Grands » en critiquant l’aristocratie. Il cherche à se faire aimer uniquement par intérêt personnel. Il n’est pas altruiste, il est guidé

détestable, déplaisant et grossier. Phédon, au contraire, est un personnage trop timide, réservé et transparent aux yeux des autres. La Bruyère essaie à travers ces deux portraits, de refléter l’inégalité sociale qui servent de miroirs avec pour but la critique sociale. Les qualités morales sont souvent corrompues. Nous verrons donc, Comment ces portraits dénoncent-ils les injustices sociales et l’inégalité sociale de la vertu ?Nous analyserons d’abord (I) le portrait de Giton, puis (II) le

leurs écrits. A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire, il veut dénoncer les défauts des hommes, leur en faire prendre conscience ; il critique aussi des faits de société (ex : Les Précieuses ridicules). Prendre l'exemple d'une pièce et développer-le dans ce sens (L'Avare, L'École des femmes, Le Misanthrope...) B- La lutte des Lumières Philosophes des Lumières ont préparé

implicite sur la fête c. Le lion, ses traits de caractère : orgueil, irréflexion, impulsivité... 2. Des courtisans a. Un ours trop franc b. Un singe flatteur c. Un renard habile (image traditionnelle du goupil) 3. Une chute (fin inattendue) et une morale double a. satire des courtisans (morale explicite) b. et surtout du roi qui favorise ce système (morale implicite) Une critique audacieuse significations de l'expression "Qui ne fut ail au prix" : Le Singe présente ce qui est désagréable

ETUDE DU SINGE ET DU LEOPARD Le singe est présenté par La Fontaine avec une diversité de l’esprit. Il joue sur la multiplicité des sons. Le léopard est présenté par un courtisan dur roi qui profite de sa beauté pour plaire au roi (v4-5, v10). La beauté est éphémère et l’on finit par s’en lasser ; ici, le léopard profite de son atout physique pour plaire mais les gens se lassent tout de même. V10-11 : « partant chacun le vit. Mais ce fut bientôt fait. Bientôt chacun sortit ». On connaît les

philosophiques V- Le personnage de Zadig page 6 VI- Le regard sur les femmes page 7 VII- La vision de l’amour page 7 VIII- La recherche du bonheur page 8 IX- Le destin page 8 C) Critique des institutions X- Critique du pouvoir politique et de la cour page 9 XI- Critique de la justice page 10 XII- Critique des religions page 10 XIII- Le registre satirique page 11 A) Présentation générale de l’œuvre et de son auteur I- Biographie de Voltaire François Marie Arouet nait à Paris