Critique Du Cogito Nietzsche

Qu'est ce que la philosophie ? Discipline intellectuelle qui suppose une confrontation avec les auteurs des textes philosophiques. Méthodes rationnelles et critiques ( car il ne s'agit pas d'avancer des opinions toutes faites, des préjugés mais au contraire de les critiquer ). Descartes peut nous aider pour assimiler les méthodes car il dit qu’il faut combattre 2 choses: -La précipitation, consistant à juger avant d'avoir atteint l'évidence que nous donne l'intuition de la vérité. -La

il oriente lui-même son devenir. C’est donc lui qui élabore son progrès, son devenir. 1ère question : Comment une liberté individuelle peut-elle s’inscrire dans le destin collectif sans aliéner ? Réponse : sans aliéner sa liberté individuelle. -> Critique de la raison dialectique de Sartre, p.466. Sartre a été très affecté par Bergson, notamment l’Essai sur les données immédiates de la connaissance et ensuite par Edmund Husserl (père de la phénoménologie) ; enfin par Martin Heidegger qui écrit

système politique dans lequel il vit ne va pas, et Socrate sait que des personnes vivent dans des à priori, des préjugés, des fauxsavoirs, …) Socrate et Nietzche Nietzsche est non croyant, Socrate est croyant. Pour Nietzche, Dieu est mort. Donc il ne s’intéresse qu’à l’Homme (übermensch sur terre). Il n’y a pas d’au-delà pour Nietzsche, il faut profiter de la vie sur terre. Socrate est dans le réalisme. Nietzche reproche à Socrate d’avoir tué l’imaginaire ; pour Nietzche, avant Socrate, il y avait

Conception générale du réel, qui cherche à expliquer les phénomènes selon des processus mécaniques, selon des données strictement mécaniques, physico-chimiques. Monde des idées accessible seulement à l'intelligence. Du latin nihil, rien. Pour Nietzsche, le nihilisme caractérise les sociétés modernes. Les hommes ne croient plus en rien, les valeurs se sont effondrées. Les fins manquent et l'on se demande: à quoi bon vivre ? Idée sans contenu démontré par la raison. L'opinion s'oppose, dans la philosophie

sentir au moins confusément dans l'assemblage. » Leibniz, Nouveaux essais sur l’entendement humain. C’est Leibniz qui le premier a démontré l’insuffisance de la conception cartésienne de la conscience (ou cogito). Pour Descartes, conscience et pensée étaient intrinsèquement mêlées dans le cogito de telle manière que tout ce que nous pensions nous en avions immédiatement conscience. Leibniz dissocie quant à lui pensée et conscience en affirmant que bien que nous pensions toujours nous ne sommes pas

Péguy. Ce doute est alors justifié chez le franc maçon qui se doit de s’acclimater avec un nouveau monde tout en épluchant ses mystères. Ensuite, le doute chez l’homme ou particulièrement chez les francs-maçons induit une réflexion critique et l’impulsion du cogito sur son essence et ses fondements moraux. Le doute est alors provoqué par un conditionnement collectif visant à influencer nos pratiques sociales et nos habitudes ; ce qui à l’image du « bizutage » éthique et morale dans la franc maçonnerie

 Fiche de philosophie Conscience : Capacité à faire un retour sur soi-même pour se juger « La conscience est la manière dont un homme perçoit ce qui se passe dans son propre esprit »  John Locke Descartes : Le cogito, la conscience se découvre elle-même à partir d’un doute radical. « Je pense donc je suis » Sartre : Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même. Inconscient : Ensemble des désirs et des souvenirs douloureux de la petite enfance qui

comme une interrogation, pouvant aller de la simple prise de conscience qui schématise nos observations à un jugement réfléchi et basé sur des connaissances. La pensée est une preuve d’éveil, de vigilance. Peu à peu, l’Homme acquiert une notion de la critique, de la contradiction raisonnée, de l’esprit déductif et nous nous voyons posséder d’une métaphysique, un au-delà de nous-mêmes, et nous pensons sans même l’apercevoir, nous désirons, conceptualisons et surtout voyons les choses telles que le manifeste

change doit néanmoins demeurer d'une certaine manière permanent. Et il n' y a que le permanent qui change, le changeant n'éprouvant pas le changement, mais une variation puisque certaines déterminations cessent et que d'autres commencent ( selon Kant, Critique de la raison pure ). Quant à l'homme, en quoi serait-il différent de n' importe quel autre sujet / suppôt ? Être homme, c'est changer, c'est devenir quelqu'un d'autre, un autre moi -première hypothèse ; ou -deuxième hypothèse-, devenir autre

ordinaire ? le langage savant ? le langage poétique, musical ? le langage mathématique ? Exemples de développement. « Suis-je ce que j’ai conscience d’être ? » (Version 1) I/ Oui, je suis pleinement ce que j’ai conscience d’être. (Descartes). COGITO (je pense donc je suis). Même si mon corps était une illusion, rien ne pourrait que mon esprit n’existe pas lorsqu’il a cette illusion (cf. « Malin génie »). Je suis essentiellement esprit/cs/pensée. Je suis une substance pensante (thèse métaphysique)