Critique Sur Mme Bovary

plus précis et le plus signifiant possible. D’ailleurs Gustave Flaubert a ouvert cette voie avec son œuvre maîtresse, Madame Bovary. En effet, Flaubert, pour donner de la puissance à son texte et le rendre le plus communicatif possible, a polissé son texte et l’a repolissé suivant en cela les recommandations classiques de Boileau. Pour travailler l’effet sonore de Mme Bovary Flaubert lisait son texte à voix haute dans une pièce de son château qu’il avait nommé son « guelloir ». Le père Goriot hérite

dans l’approche de la réalité dans le roman. Comme son nom l’indique, l’écrivain réaliste va s’attacher à décrire la réalité et va donc s’opposer à la vision idéalisée et à la vraisemblance romantique. Il dénonce le danger du romantisme : Dans Mme. Bovary, Flaubert décrit la vie d’une femme dont les idéo-romantiques tirés de ses lectures se heurtent à la réalité de la vie. Le réaliste s’inspire de faits divers pour écrire ses romans et ses œuvres sont imprégnées du contexte historique et culturel

(temporalité du récit peut s’étendre à plusieurs générations). Pause descriptives. Dialogue -> faire entendre la façon de parler des personnages. Analyse psychologiques (point de vue omniscient). II- Critique de la campagne et mystification de la ville. L’ennuie et la rêverie de Madame Bovary. DIL (discours indirecte libre) : Dans un passage narratif, le narrateur fait entendre la voix du personnage, qui se mêle à la narration sans marques distinctes, comme les guillemets, les verbes de paroles…

l’absence d’étude de procédés de style - les contresens et les confusions auteur-narrateur, personne réelle-personnage On valorisera : - les efforts d’élaboration d’un plan qui ne suit pas la structure du texte - la perception du regard critique sur l’époque (développé dans la 3ème partie des éléments de corrigé) - la perception du caractère programmatique de l’extrait (développé dans la 3ème partie des éléments du corrigé) - la reconnaissances des stratégies d’écriture propres aux récits

(comme Yonville n'existe pas dans la réalité, comme cette abbaye qui n'existe plus dans la fiction, privant le nom du lieu Yonville-l'Abbaye de sa propriété)? Il est remarquable que Flaubert n'utilise le mot, dans ses lettres contemporaines de la Bovary, qu'au sens d'une réalité autrefois idéalisée, désormais à démythifier, ou plutôt à démystifier: "La courtisane est un mythe" [2] ; "Je ne fais qu'un reproche à la prostitution, c'est que c'est un mythe". Le mot ne se trouve pas dans le texte du roman

conclusion - l’absence d’étude de procédés de style - les contresens et les confusions auteur-narrateur, personne réelle-personnage On valorisera : - les efforts d’élaboration d’un plan qui ne suit pas la structure du texte - la perception du regard critique sur l’époque (développé dans la 3ème partie des éléments de corrigé) - la perception du caractère programmatique de l’extrait (développé dans la 3ème partie des éléments du corrigé) - la reconnaissances des stratégies d’écriture propres aux récits

Ca retrace son parcours, jeune provinciale qui arrive à paris, il a une grande passion qui restera toujours platonique. Madame Bovary est Fréderic Moreau (en version Masculin) Il rêve plus sa vie qu'il ne prend pas à l’action. Fréderic Moreau est un anti -héros. La toile de fond de cet extrait est la révolution de 1848 .Fréderic est déçu d'avoir raté le rendez-vous avec Mme Arnoux (son grand amour ) se console avec rossalinette . Tous les deux vont être témoin de la révolution mais sans comprendre

(« étudiants », « ouvriers »).  La volonté dont fait preuve Gavroche, qui se manifeste par ses actions et son mouvement incessant, crée une vision positive du peuple qui se bat pour une noble cause. Dans le texte B, Flaubert propose une vision beaucoup plus critique du peuple qui est présenté comme une masse irréfléchie, incontrôlable et dangereuse. Cette vision est tout d’abord imposée par la description du peuple vue d’en haut (« Hussonnet et Frédéric se penchèrent sur la rampe » l. 1), et qui se voit réduit

Quichotte qui reçoivent l’approbation du Père Mignot. Amédée Mignot a fait autographier l’Éloge de Corneille, la Belle explication de la fameuse constipation, un résumé d’une comédie intitulée L’Avare, et l’analyse d’une épitaphe en vers, Au chien de Mme D. « J’avais raison de dire que [ces œuvres] tourneraient à la postérité. C’est-à-dire au postérieur ». Flaubert ne joue plus la comédie, mais a le projet d’une pièce : L’Amant avare, qui « ne veut pas faire de cadeaux à sa maîtresse et son ami l’attrape

Introduction : amorce > tension spleen et idéal, rôle de la poésie présentation de Baudelaire > (1821-1867) critique d’art, poète de la modernité, précurseur du Symbolisme, qui s’inscrit également dans le Romantisme et le Parnasse. Il écrit : Salons, Le spleen de Paris. présentation de l’œuvre > Les Fleurs du Mal, paru en 1857 (condamné 2 mois plus tard pr immoralité comme Mme Bovary la même année) recueil poétique de 6 sections (spleen et idéal, tableaux parisiens, Fleurs du Mal, le vin, révolte