Croyance

inconditionnellement parfois à tord), la religion (croyance en un dieu divin auquel beaucoup d'homme ne croient plus) mais aussi des domaines comme le sport (exemple: supporters d'une équipe de foot prêt à en découdre physiquement avec l'adversaire pour représenter son équipe: hooligan). Généralement un fanatique méprise les opinions ou les idées autres que la sienne. Son comportement se manifeste par une confiance aveugle et dans certains cas par une croyance inconditionnelle envers ses propres opinions:

impossible dans la mesure où croire est nécessaire pour savoir et enfin on se demandera si un tel choix est impossible en ce que croire et savoir appartiennent à des domaines différents. Croire et savoir ne s’opposent quant à la vérité, car une croyance peut être vraie, mais du point de vue de l’esprit. En effet, qui croit tient pour vrai ce dont il ne sait pas si c’est vrai ou faux. Ainsi que Socrate dans son Apologie selon Platon, lorsqu’il se rend chez les poètes avec leurs œuvres, les interroge

que, s'il n'y avait pas de croyance, il ne pourrait y avoir rien de faux ni rien de vrai, dans le sens où le vrai est un corrélatif du faux. Si nous imaginons un monde uniquement matériel, il n'y aurait là aucune place pour le faux et bien qu'il dût contenir ce qu'on peut appeler « des faits », il ne contiendrait pas de vérités dans le sens où le vrai est une entité du même ordre que le faux. En réalité, le vrai et le faux sont des propriétés que possèdent les croyances et les affirmations ; par conséquent

s’appuyaient massivement sur les croyances et les règles de leur société sans trop se poser de question. Ils se conformaient ainsi aux impératifs de la culture ambiante. Cela permettait à la société de se reproduire en perpétuant l’héritage culturel des générations antérieures. Aujourd’hui on glorifie moins le passé qu’autrefois et la tradition a été en bonne partie remplacée par la publicité et la désinformation de toutes sortes. Mais quelle que soit la source de nos croyances, nous pouvons nous interroger

Est-ce un progrès de ne pas croire ? Bien souvent, lorsque le terme croire est employé, nous nous dirigeons immédiatement vers la croyance religieuse or, au sens large du terme, croire, c'est donner son assentiment à une proposition qui est tenue pour vraie sans avoir la certitude objective de sa vérité. Il s'agit d'une opinion. Croire vient du latin credere, "ajouter foi". C’est une certitude sans preuve. Elle correspond à tous les degrés de probabilité, de l’opinion la plus vague à la vérité

(Projet de dissertation sur le sujet) Cette question laisserait sous entendre qu’il serait – parfois- impossible de combattre nos croyances par la raison. En d’autres termes, il laisse sous- entendre qu’en certaines occurrences (qu’il conviendrait de déterminer) nos croyances – ou certaines d’entre elles ou pour certains d’entre nous – seraient aveugles ou sourdes (ou les deux à la fois) à la raison ou plus précisément au raisonnement ce qui ne relève pas nécessairement du même

point de vue de Diderot. Nous pourrions définir avec lui la croyance comme un acte dans le quel la raison s’éprouve elle –même dans sa capacité à établir la vérité. Communément, nous appelons croyance, l’adhésion à une idée de façon incertaine et infondée : ce qui correspondrait aux deux premiers degrés éprouvés par Diderot. Cependant, nous pourrions préférer le terme de connaissance pour désigner le degré le plus haut de la croyance selon le philosophe. Après avoir expliqué le texte, nous nous

horizontale ( gens de même croyances ) Les religions monothéistes ont des caractères communs = 1 Dieu créateur du monde , transcendent ( à l'extérieur du monde ) , juge Il est omniscient , omnipotent , et moralement parfait Ce sont des religions du livres faisant références aux textes sacrés I )LE BESOIN RELIGIEUX Freud : «L'avenir d'une illusion» ( Illusion # Erreur ) Erreur : jugement faux ; Illusion : croyance motivé par un désir Toutes les croyances religieuses sont des

La religion Types de sujets Foi et raison - La raison est-elle nécessairement en conflit avec la croyance religieuse ? - Croire, est-ce renoncer à l’usage de la raison ? - La vision religieuse et l’explication scientifique du monde sont-elles compatibles ? - Pourquoi le progrès scientifique n’a-t-il pas fait disparaître les religions ? - La croyance n’est-elle qu’une illusion rassurante ? - Est-ce faiblesse que de croire ? Dimension anthropologique du fait religieux ? Diversité

pouvons nous poser la question suivante : peut-on être communiste après la chute du mur de Berlin ? Dans les pages débats du Monde, apparaît alors un article, le complexe du moine. Ce texte dit que ce n'est pas l'ignorance qui est à l'origine de la croyance mais c'est le besoins de croire, et ce audela de tout les démentis que peut apporter les réalités. Croire à l'histoire comme processus providentielle c'est croire que l'histoire va pourvoir à tout ses besoins. Le fondement du totalitarisme c'est