Croyances Et Valeurs Dans Le Monde Occidental

entamée par Guy Debord, repose sur l'analyse de la « disparition du réel », auquel se substitue une série de simulacres qui ne cessent de s'auto-engendrer. Toutes ces idées défendent le principe général selon lequel la signification - et donc la valeur - sont interprétées, selon la sémiotique structuraliste, en termes d'absence. Ainsi « chien » signifie « chien » non en raison de ce que le mot indique mais parce qu'il n'indique pas « chat », « chèvre », « arbre » etc. Les mots sont ici « auto-référentiels

disqualification. La culture c'est hériter de la philosophie des Lumières, ensemble du patrimoine c'est à dire des œuvres accumulées depuis l'antiquité à part duquel, la civilisation occidentale, prétend fondé son excellence, sa prééminence sur le reste du monde. La culture est liée à la civilisation occidentale qui se montrent grâce à l'exhibition. => délocalisation du grand Louvre à la fois sur le territoire national et en même temps en des territoires étrangers. C'est l'école qui prétend

fermeture) * Tourisme de masse = 810M (2005) contre 25M en 1950 mais 12%pop b/ Les échanges continuent leur expansion rapide * Essor des échanges internationaux : Echanges de biens : 11.800Mds $ & Echanges de services : 2.700Mds $ (2006) = ¼ PIB Monde *Hausse de 60% du trafic maritime et aériens, Hausse de 500% trafic téléphonique. Cause : Levé des obstacles douaniers, progrès technique, baisse coûts de transport… * Des flux polarisés par la Triade : 15 états réalisent 70% des services de transports

RTA INTRODUCTION En Afrique comme partout ailleurs, l’homme a senti depuis toujours le besoin d’aller au-delà de la réalité concrète, visible, de s’interroger sur le sens de la vie, de la mort et du monde, de découvrir ce qui est derrière l’aspect matériel de la réalité. Il est vrai aujourd’hui qu’aucun travail pour une véritable inculturation en Afrique ne peut être entrepris sans au préalable connaître le patrimoine religieux de ce continent. Ce dernier sert de base à toute réception de

Le choc des civilisations Fiche de lecture sur l'ouvrage de Samuel Huntington -------------------------------------------------------------------------------- Depuis la chute du mur de Berlin et la fin du monde bipolaire, les conflits et les affrontements n’ont cessé d’augmenter si bien qu’il est possible de considérer la guerre froide comme un facteur de paix. C’est dans ce contexte de l’après-guerre froide que Samuel P. Huntington a écrit « Le choc des civilisations ». L’auteur, qui dirige

réflexion sur les valeurs et les commandements des différentes religions. Selon lui, la rationalité occidentale est due à l’influence des préceptes puritains. Weber nous explique que l’essor du capitalisme est accompagné de l’apparition de nouveaux systèmes de socialisation autres que celui de l’éthique puritaine. Weber a également formalisé la neutralité axiologique, c’est-à-dire la suspension des convictions personnelles. I. La portée économique des valeurs puritaines A. Des valeurs puritaines

 ISLAM ET MONDE OCCIDENTAL ( 1ère partie ) Dakar, le 06 Septembre 1994 Dans la revue « Ligue Mondiale Islamique » numéro 349 de Mars/Avril 1994, le Prince Charles d’Angleterre – au cours d’une conférence à l’Université de Harvard- s’exprime sur les rapports entre l’Islam(où l’on spécule beaucoup trop sur l’Amour de l’individu pour cette religion)et le Monde Occidental(où l’on ne cache pas son aversion pour l’Islam) : deux mondes qui s’affrontent pour une chose qu’ils n’arrivent

erreurs graves, alors la situation de mon pays s'en trouverait significativement dégradée. ». Ce caractère ingrat de l'action politique pourrait s'appliquer également à la question qui nous préoccupe ce matin. Les relations entre l'Occident et le Monde arabo-musulman sont tellement désastreuses au niveau global que même si l'on faisait la meilleure politique d'immigration, certains aspects du problème continueraient à nous échapper. Cependant, il y a au moins deux excellentes raisons pour agir dans

possibles à ce défi, il importe d’appréhender le problème ainsi posé dans sa plus grande généralité. Il réside très probablement dans le fait que les fondements de notre conception héritée de la démocratie se révèlent de plus en plus inadaptés à l’état du monde globalisé. Ces fondements utilitaristes sont organisés à partir de la question : «A quoi ça [me] sert ?» Dès lors, la démocratie est vue comme le fruit d’une libre association entre des individus mutuellement indifférents, cherchant tous à maximiser

l’immigration ? Au Sénégal, les religions et croyances occupent une position décisive dans la culture quotidienne des habitants, une place presque figée qui de temps en temps est « balayée » par le vent de quelques croyances venant des marabouts, par quelques coutumes païennes. Tout cela conforte évidemment la place de la femme au Sénégal et les croyances existantes. Au fur et à mesure des pages, l’auteure tacle les abus des diverses religions et croyances et surtout les influences qu’elles peuvent