Créances Clients

comptable et financier Cycle ventes/clients Réalisé par: Narjiss AGOUJIL Lamia DOUKKALI Soukayna HADDAJ Hafid LHOUTAINE Daniel MOUTHE ABASSANEN Encadré par: Mr. Mohamed Achraf Na Nafzaoui Année universitaire : 2010/2011 ENCG-K Année universitaire 2010/2011 1 Cycle ventes /clients PLAN Introduction Axe I- généralités sur le cycle Ventes/Clients IIIL’importance du cycle Ventes/Clients pour l’entreprise La description du cycle ventes /clients III- Les principales données significatives

La gestion du risque client Le suivi des clients peut s’avérer complexe devant la multiplication des créances et de leur échelonnement. Pour obtenir une vue synoptique des créances échues (dont l’échéance est passée) et à échoir par client, l’entreprise utilise une balance âgée. Malgré cela, elle peut être amenée à faire face à des retards de paiement de la part de ses clients. Elle peut alors mettre en place un encours pour conditionner l’acceptation des commandes des clients ou faire appel à l’affacturage

réalisées. Les opérations d’inventaire sont : * Les stocks : avec la méthode de l’inventaire intermittent. * Les amortissements : C° des avantages éco. * Les dépréciations/provisions : * Les pertes de valeur d’éléments actifs (créances douteuses) * Les risques & charges. * La régularisation des comptes de gestion * Les régularisations diverses. 1) Le matériel de bureau & le matériel de transport : Calcul de l’amortissement linéaire pour enregistrer

COMPTABILITE GENERALE ETAPE 21 : LES PROVISIONS POUR DEPRECIATION www.tifawt.com Elles constatent les moins-values potentielles des immobilisations, des stocks, des créances ou des titres : pertes de valeurs réversibles, non liées au temps. Exemple : baisse du cours d’un titre en dessous de son prix d’achat ; tant que le titre n’est pas vendu, la perte est potentielle (provision), si le cours est au-dessus du prix d’achat, la plus-value potentielle n’est pas comptabilisée : principe de prudence

de crédit, toute personnes hors du titulaire pourra les faire .le client pourra cependant exiger de sa banque de savoir qui a opéré des versements à son profit. La vigilance du banquier sera plus grand lorsqu’il sera question d’opérations de débits et ce par le contrôle des signatures 2 -L’inscription des opérations en compte Règles générales et conditions de l’inscription des opérations en compte : l’inscription des créances : l’inscription en compte des opérations de débit et de crédit se

crédit à un client, ce dernier dispose d'un dépôt à vue dans cette banque, égal au montant de la somme prêtée. De son côté, la banque acquiert en contrepartie une créance sur le client. Le principe du crédit consiste donc à transformer des créances sur les agents non bancaires en moyens de paiement immédiatement utilisables. Il y a là création de monnaie : Pourtant, la banque n'a pas ponctionné dans ses réserves pour prêter le montant au client: elle a simplement inscrit une créance dans son bilan

|Litige publicité mensongère | | | 5. |Client |Montant HT de la |Dépréciation |Dépréciation existante|Ajustement |Montant irrécouvrable | | |créance |nécessaire | | | | | |

Institut Supérieur de Commerce et D’Administration des Entreprises TITRISATION DES CREANCES HYPOTHECAIRES : CADRE LEGAL ET COMPTABLE ET PROPOSITION D’UNE METHODOLOGIE D’AUDIT D’UN FPCT Titrisation des créances hypothécaires : Cadre légal et comptable et proposition d’une méthodologie d’audit d’un FPCT SOMMAIRE Introduction générale ………………………………………….. PREMIERE PARTIE : CADRE LEGAL DE LA TITRISATION DES CREANCES HYPOTHECAIRES 12 Introduction de la première partie …………………………….. CHAPITRE

de simplifier ces relations en créant un lien d'affectation réciproque et permanent entre les créances qui peuvent naître entre les deux parties, et ce, afin de les éteindre mutuellement dans un solde provisoire autonome dont l'exigibilité au profit de l'une ou de l'autre des parties est repoussée à la clôture du compte.L'image du creuset retenue par Thaller pour décrire un mécanisme de fusions de créances réciproques entrées en compte,donne depuis des décennies une vue simplifiée mais assez exacte

un encaissement ultérieur à savoir : - les stocks ; - les créances. Corrélativement, le crédit consenti à l’entreprise par ses fournisseurs constitue une ressource financière. Les besoins immédiats de trésorerie (pour faire face à une dette qui arrive à l’échéance) peuvent être couverts par l’octroi par la banque d’un découvert, par des concours bancaires courants ou par toute autre forme de mobilisation de créances (escompte, Dailly, affacturage). L’amélioration passagère de la trésorerie