Crédit De Mobilisation De Créances

des capitaux qui se compose essentiellement de trois compartiments : • le marché monétaire : au sens strict : marché du refinancement, et au sens large comprenant le marché de "l'épargne" avec les titres de créances négociables - TCN - émis sur le marché monétaire français ; • le marché du crédit : ou marché de la monnaie ; • le marché financier où se rencontrent les offres et les demandes de "l'épargne" à long terme (essentiellement le marché primaire). Les autres marchés sont : le marché des changes

provisions pour créances en souffrance 14 c) Taux de perte sur créances 15 III EFFICACITE ET PRODUCTIVITE DES IMF 17 a) Productivité des agents de crédit 18 b) Productivité du personnel 19 c) Charges d’exploitation rapportées au portefeuille de crédit 20 d) Ratio des charges de personnel et ratio des frais généraux 21 IVGESTION FINANCIERE 23 a) Taux de rendement des actifs productifs 23 b) Taux de capitalisation 24 V NIVEAU DE L’ACTIVITE DE LA MICROFINANCE 26 a) Encours total de crédit 26 b)

droit ~~ BANQUE, CRÉDIT ET BOURSE ~~ M. Assalé Samedi 10 octobre 2009 INTRODUCTION Au centre du problème de financement de l’économie se trouve l’épargne qui est définie dans la conception keynésienne comme le reliquat du revenu après consommation. C’est l’épargne qui finance les activités économiques en empruntant deux voies : une voie indirecte et une voie directe. On parle alors de financement indirect ou intermédié ou de financement direct ou désintermédié. La banque est la grande

aussi des traces de la monnaie scripturale au 9ème siècle. Il faut attendre le 18ème siècle pour son véritable développement. Au 14ème siècle, apparaît un instrument important : la lettre de change qui a joué un rôle important. C’est un instrument de crédit qui va être rapidement utilisé à l’échelle internationale pour des opérations qui impliquent des échanges avec 2 monnaies qui sont différentes. C’est l’ancêtre du chèque bancaire. Avec la lettre de change on va voir apparaître des systèmes de compensations

INTRODUCTION Pour rendre effectif le Plan de développement économique et social du pays, on aura obligatoirement besoin de la mobilisation et gestion rationnelle des ressources qui permettent à son tour de financer les charges que l’Etat doit supporter face à ses diverses missions qu’on qualifie surtout de la « fonction régalienne », et il en est de même pour sa politique des investissements. La notion de financement évoque nécessairement la question de budget, qui regroupe l’ensemble des charges

qui essayera d’éclaircir la relation financière de la banque avec sa clientèle et de dégager la contribution de cette relation client à son résultat. Chapitre I : Présentation du Groupe Banques Populaires I- Le Crédit Populaire du Maroc 1- Présentation du CPM Le Crédit Populaire du Maroc (CPM) est un groupement des banques à caractère coopératif constitué de la Banque Centrale Populaire (BCP) d'une part et de 11 Banques Populaires Régionales (BPR) dont le capital est détenu par près

1ère partie : Le risque du crédit au sien des entreprises bancaire Chapitre 1 : Les crédits bancaires Section 1 : définition.....................................................................................11 Section 2 : Typologie des crédits bancaires ................................................13 Chapitre 2 : Démarche d'analyse de la faisabilité d'un crédit. Section 1 : Les informations d'identification de l'entreprise bancaire.............18 Section 2 : Le personnel et les structures

d’éclaircir la relation financière de la banque avec sa clientèle et de dégager la contribution de cette relation client à son résultat. Chapitre I : Présentation du Groupe Banques Populaires I- Le Crédit Populaire du Maroc 1- Présentation du CPM Le Crédit Populaire du Maroc (CPM) est un groupement des banques à caractère coopératif constitué de la Banque Centrale Populaire (BCP) d'une part et de 11 Banques Populaires Régionales (BPR) dont le capital est détenu par près de

types d’augmentation du capital : 1. Par apport nouveaux : émission d’actions nouvelles en contrepartie liquide. 2. Par apport nouveaux en nature : émissions d’actions nouvelles en contrepartie d’autres biens. 3. Conversion des créances en actions. L’intérêt de l’augmentation du capital social est : ▪ Une garantie pour les prêteurs : gage pour les créanciers. ▪ Un financement permanent : pas de remboursement. ▪ Accroissement de la capacité d’endettement de

Le droit bancaire est l’ensemble de règles relatives aux opérations de banque et des personnes qui les accomplissent à titre professionnel. Il a pour objet de régir les activités qui sont exercées à titre habituel par les établissements de crédit. La banque, comme tout prestataire de services, est liée à ses clients par des contrats dont la qualification approprie est celle de contrat de louage de service. Ces contrats sont appelés contrats bancaires car ils ont pour objectif d’examiner la