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soumises aux dispositions législatives et règlementaires correspondantes. En France l'article L311-1 du code monétaire et financier donne la définition suivante : « Les opérations de banque comprennent la réception de fonds du public, les opérations de crédit, ainsi que la mise à la disposition de la clientèle ou la gestion de moyens de paiement » Il existe plusieurs types de banques en fonction des activités qu'elles entreprennent : banques de dépôt, banque d'affaire, banques spécialisées dans

appelées les « agrégats monétaires ». Mais cette démarche délibérément empirique exige malgré tout quelques définitions générales préalables provisoires permettant simplement de l’amorcer. I. Définition provisoire de la monnaie et de la monnaie de crédit 1.1 La monnaie Depuis Aristote, la monnaie est définie par les trois fonctions qu’elle est supposée exercer : la monnaie comme intermédiaire des échanges, la monnaie comme réserve de valeurs et, enfin, la monnaie comme unité de compte. Le fait qu’elle

fonctionnement, l’efficacité et la sécurité des marchés. Pour les économies en développement, l’ouverture financière serait plutôt favorable puisqu’elle facilite l’entrée des établissements financiers étrangers au marché local, accentuant de fait la concurrence, améliorant l’efficacité, soulevant en même temps la question de la qualité de l'infrastructure financière. Les marchés ouverts et les technologies peuvent accélérer la croissance. L'ouverture est accompagnée de certains inconvénients, notamment

des réponses adaptées. 1 . Droit des affaires Il repose sur le principe du libéralisme et surtout de la liberté du commerce et de l'industrie. Il cherche à préserver cette liberté en faisant en sorte que sur les marchés, le jeu de la libre concurrence et de la liberté d'entreprendre soient protégé. Principe : tous les commerçants sont sur le même pied d'égalité. - la confiance : objectif général du droit des affaires. C'est un sentiment indispensable au développement des affaires. La bonne

intervient dans un environnement toujours plus concurrentiel : depuis 2011, 100% de son chiffre d’affaires est réalisé sur des marchés ouverts à la concurrence. Cela impose une évolution stratégique particulière de la part de ses dirigeants : le groupe s’est engagé depuis quelques temps dans une modernisation accélérée, tant sur ces marchés en concurrence que dans l’exercice de ses missions de service public. Nous avons choisi d’établir un diagnostic stratégique de La Poste car c’est d’un des plus

importante réforme de son système bancaire qui a abouti à la quasi-libération des conditions d’interventions des banques, à la levée de l’encadrement de crédit, au décloisonnement des structures et à la promulgation en juillet 1993, d’une nouvelle loi bancaire destinée à promouvoir une concurrence saine et loyale entre les établissements de crédit. La nouvelle loi bancaire N 34/03 en 2006 a renforcé le statut de BAM et a instauré de nouvelles règles prudentielles. Des profonds changements se sont

il y avait une sorte de confusion. Le rapport de 1999 relatif à la dépense publique a précisé que les règles budgétaires n'étaient pas respectées. L'esprit de cette ordonnance était de l'ordre du moyen, il permettait simplement de distribuer les crédits au ministère dépensier, il n'y avait pas de logique de résultat. C'est un texte inadapté au contexte économique et financier de l'époque. La cour des comptes avait souligner les problèmes de cette ordonnance qui était une source de gaspillage

insuffisant que ce soit au niveau du cadre juridique, contractuel, technique ou du contrôle.  * LES TEXTES DE BASE Le code des assurances intègre les textes ci-après: * Le dahir du 30 octobre 1920 sur les sociétés ou caisses d’assurances mutuelles * Le dahir du 21 juillet 1923 relatif à la police chasse; * L’Arrêté viziriél du 28 novembre 1934 relatif au contrat d’assurance; * Le dahir du 8 juillet 1937 relatif aux indemnités et aux contrats d’assurances automobiles sur route;

formalisme est très utile pour assurer la sécurité du crédit dans les opérations commerciales. Le crédit constitue le noyau de toutes les relations commerciales ; un vendeur doit accorder des délais de paiement à ses acheteurs, et ces derniers font le plus souvent des achats qui dépassent leur trésorerie. Le crédit nécessite donc l’établissement de relations de confiance et de sécurité entre les commerçants. Pour cela, le crédit doit être entouré d’un formalisme plus rigoureux que celui