Culte impérial

privilégiés et honorés par l’empereur. Ainsi ils ont des signes distinctifs tels que la toge (robe) ou encore les Tria nomina (trois noms). De plus, l’empereur exige des citoyens très peu de devoirs : le recensement, le paiement des impôts, le culte impérial sur lui mais pas de devoirs militaires (les citoyens sont volontaires). Enfin, il leur octroie aussi des droits comme le droit de propriété et de mariage. X

(symboles des premiers chrétiens (p.56) B/Une religion persécutée 1)Des chrétiens suspects Les romains tolèrent les religions autres que la leurs mais à condition qu’ils célèbrent le culte impérial (empereur). A partir de cette rupture les chrétiens ne bénéficient plus la distance du culte impérial. Ils vont être considérés comme des mauvais citoyens. De part leurs obligations religieuses ces chrétiens ne fréquentent pas le cirque, théâtre. Ils sont donc perçu comme des mauvais citoyens

ou de passer sur le territoire romain pour en être affecté. Il ne suffit pas qu’une décision soit légale, il faut qu’elle soit conforme à la une finalité, l’intérêt général. Le cas contraire, n’importe quel citoyen peut estimer qu’une décision impériale est illégitime ou encore il existe un groupe de citoyen, une association, un corps politique, qui peut décider si oui ou non, la décision de l’empereur est illégitime, c’est le sénat. ● Le citoyen se doit corps et âme : Il ne s’agit

travers le culte impérial (et religieux) - La succession : elle s’appuie à la fois sur la conception d’hérédité et doit également laissé le choix au Sénat. - Privatus : l’Auguste est un citoyen et est soumis au respect des lois et devra demander l’autorisation au Sénat pour avoir une dispense. Il peut créer de nouvelles administrations, on voit alors d’un côté l’administration impériale et l’administration traditionnelle. B) L’administration * L’administration impériale : *

greco-romaine et dans un état de rébellion potentielle. 3) L’octroi de la citoyenneté est justifié pour deux raisons selon l’empereur. D’une part il s’agit d’augmenter le nombre de fidèles du culte impérial. En effet Caracalla affirme ainsi rallier « des dizaines de milliers de fidèles » (l.3). Comme le culte impérial sert à manifester l’attachement à l’ordre romain, l’empereur espère donc surtout affermir le contrôle de Rome sur les provinces. D’autre part et en reprenant des arguments déjà employés par

« Héros et personnages ». La perspective que nous avons finalement choisie est « Le processus d'héroïsation » dans le « Culte de la personnalité ». Nos deux disciplines étant le Français et l'Histoire, nous avons opté pour une problématique comportant deux volets, à savoir : « En quoi le culte de la personnalité a-t-il influencé les arts ? » et « A travers quels personnages le culte de la personnalité s'est-il étoffé au fil des siècles ? ». Pour répondre à cette double interrogation, nous nous sommes

3)Le culte impérial, signe de la soumission à l’autorité romaine, même s’il y a une tolérance pour le culte ancien. On notera que la religion ancienne, païenne, demeure. Lyon n’est pas une exception ; dans le reste de la Gaule, on constate un syncrétisme avec les pratiques druidiques. Si les juifs et les chrétiens sont persécutés au même moment, ce n’est donc pas parce qu’ils ont leurs propres croyances, mais parce qu’ils refusent de rendre hommage au paganisme et de célébrer le culte impérial. Cela

signifie également pouvoir se marier légalement. Le peuple est donc divisé, c’est une situation critique et l’empire est menacé En 212, Caracalla, un empereur romain né en 188 à Lyon va instaurer « l’édit de Caracalla » ; une constitution impériale qui a valeur de loi. Son principe est d’accorder la citoyenneté à tout les habitants de l’empire romain, ce qui est un véritable tournant ! En effet, contrairement aux anciens régimes dans lesquels citoyenneté se transmettait de père en fils : par

partie de l’ordre équestre dans la région de Rieti en Sabine. Une éducation digne d'un futur empereur L'empereur Claude accorda une place importante à la dynastie des Flaviens. De ce fait, à partir de 3 ans, Titus est élevé dans la cour impériale avec Britannicus, le fils de l'empereur. Il bénéficie donc d'une éducation raffiné dans un milieu de luxe , là-bas il apprend le latin et le grec. L'auxiliaire de son père Durant le règne de son père, Vespasien (empereur de 69 à 79), Titus

procès. L’empereur est choisi par celui qui le précède (exemple Octave a été adopté par Jules Césaret a pris le nom d’Auguste une fois qu’il est devenu empereur). A partir d’Auguste, la succession se fait par hérédité (enfants ou adoption). Le culte impérial :