Culture japonaise

la fiabilité et à la maintenabilité. L'émergence de la qualité comme facteur stratégique de la croissance, voire simplement de la survie des entreprises, s'inscrit dans un mouvement qui a débuté dans les années 30. Les succès de l'industrie japonaise, à partir des années 80, ont rapidement imposé la constitution des cercles de qualité. Mais cette recherche affirmée de la qualité « totale » a incité, en retour, le consommateur à ne plus acheter pour le seul plaisir d'acheter, à choisir ses produits

1999. 2. L’ouvrage A) Résumé L’histoire nous parle d’une jeune femme qui n’est autre que l’auteur, Amélie Nothomb. Celle-ci raconte son vécu auprès des japonais ainsi que l’expérience qu’elle a gagné en travaillant dans une entreprise japonaise, Yumimamoto. Très vite, elle se lie d’amitié avec sa supérieur, Mlle Mori. Sa gentillesse aide Amélie à tenir le coup dans la boîte car M.Saito lui fait vivre un véritable enfer. Un jour, ce dernier affecta une tâche à Amélie, qui consistait à

siècle (cadre économique, mutations sociales, civilisation matérielle, évolution des sciences et des techniques, révolution informatique). Il inclut le fonctionnement du marché mondial des biens culturels et la question de la “mondialisation de la culture”. 2 - Les grands modèles idéologiques et la On étudie les traits majeurs des modèles soviétique et américain, en se centrant sur confrontation Est-Ouest jusqu’aux années 1970 les années 1950-1960, et les lignes de force de la politique internationale

individu et toute société, passe désormais par notre appartenance à la civilisation. S.H. décrit la civilisation comme l’entité culturelle la plus large dans laquelle un individu se reconnaît. Elles sont au nombre de huit : occidentale, confucéenne, japonaise, islamique, hindouiste, slave-orthodoxe, latino-américaine et africaine (avec un bémol sur la certitude que l’Afrique soit une civilisation). Les caractéristiques de ces civilisations contrastent de différences fondamentales. Par exemple, « les

négociation commerciale nord – américaine………………………………………….6 2.1.1 Les études déductives…………………………………………………………………………………..…….…….6 2.1.2 Les études inductives…………………………………………………………………………………………...…..8 2.2 La négociation commerciale dans d’autres cultures………………………………….....10 2.2.1 Les études déductives……………………………………………………………………………………………..11 2.2.2 Les études inductives…………………………………………………………………………………………...…11 (1) Le style de négociation américain……………………………………………………………………..12 (2) Le style de négociation

d’une saveur inconnue. Dans ce roman, le hérisson, c’est Renée, concierge d’un immeuble chic du 15ème arrondissement de Paris. A première vue, elle est l’archétype de la concierge : ni aimable, ni jolie, ni cultivée mais polie. Renée dissimule sa culture et se moque des gens qui se moquent d’ elle. L’extrait étudié se situe tout au début du roman. Etude du texte Originalité de la forme narrative : * 2 narratrices : Renée et Paloma. Le roman relate la rencontre entre ces 2 personnages

occidentaux pensent à tort que le mot geisha désigne pudiquement une prostitué de luxe. Ce cliché a dévalorisé cette tradition. Ce terme signifie "Personne de l'Art" (du japonais "gei", culture et "sha", personne). C'est une profession à part entière qui est bien décrite par son nom : la geisha doit savoir, par sa culture, animer une réunion ou un dîner pour plusieurs invités et elle participe activement aux moments de plaisir que sont les banquets en apportant les éléments artistiques et esthétiques

l’histoire ainsi qu’aux différentes catégories de mangas avant de voir dans un second temps le système de création et de composition du manga. I. Histoire et genres du manga 1. Rappel historique Le manga est de nos jours très présent dans la culture japonaise. Pourtant, il s’inscrit dans une vieille tradition. En effet, dès l’époque Nara (entre 710 et 794) des rouleaux de peinture narrative, appelés alors Emaki, offraient de longues scènes peintes suivies de textes explicatifs. Parmi ces rouleaux

Charles Hampden-Turner Fons Trompenaars Au-delà du choc des cultures Dépasser les oppositions pour mieux travailler ensemble Traduit de l’anglais par Larry COHEN © Éditions d’Organisation, 2004 ISBN: 2-7081-3015-3 Chapitre 3 INDIVIDUALISME OU COLLECTIVISME : LE DILEMME Le dilemme entre individualisme et collectivisme est fondamental dans l’entreprise ou toute culture, quelle qu’elle soit. On ne peut en effet définir l’individualité sans préciser le groupe ou le contexte

décide pour « maman », puis « papa » (p.37). Le troisième mot lui pose des problèmes métaphysiques : lequel choisir ? Finalement, ce sera « aspirateur » (p.41). Le 4e sera « Juliette », le prénom de sa sœur, le 5e Nishio-san, celui de sa gouvernante japonaise (p.42) et le 6e « mort » (p.44). La citation exprime l’idée que grâce aux mots, on peut évoquer la mort de quelqu’un tout comme le faire vivre en le nommant, d’où l’importance de leur emploi et de leur choix (p.44). 6. Quelles sont les relations