Cybèle

Les sociétés primitives vénéraient la femme en temps que symbole de la fécondité et de la procréation. Presque toutes les religions prennent leur point de départ dans une déesse Mère; qu'elle se nomme Isthar, Astarté, Géa, Rhéa ou Cybèle, peu importe. Certaines civilisations, on peut le supposer, ont été un véritable règne des femmes. Nous aurons plus loin l'occasion de revenir sur ces deux points, mais nous pouvons dès à présent examiner brièvement l'importance de la femme dans les oeuvres d'art

Alain Jacquet (1939-2008), Gérard Fromanger (* 1939), Sergio Birga (*1940), Claude Picart (* 1940), Equipo Crónica (collectif, 1964-1981), Rafael Solbès (1940-1981), Manolo Valdès (* 1942), Bernard Morteyrol (* 1942), Frédéric Brandon (* 1943), Cybèle Varela (* 1943), Christian Babou (1946-2005), Ivan Messac (* 1948), Christian Bouillé (1948-2005), Jacques Thomann (* 1951), Alain Pedrono (* 1951-1999) → Artistes qui seront développés C'est le cas dans tous les domaines artistiques pratiquement

On lui fait aussi épouser le Tartare et le Pont, ou la Mer, qui lui firent produire les monstres que renferment tous les éléments. La Terre est parfois prise pour la Nature. Elle avait plusieurs noms, Titée ou Titéia, Ops, Tellus, Vesta, et même Cybèle. L’homme, disait-on, était né de la terre imbibée d’eau et échauffée par les rayons du soleil ; ainsi, sa nature participe de tous les éléments, et, quand il meurt, sa vénérable mère l’ensevelit et le garde dans son sein. Dans la mythologie, il est

On lui fait aussi épouser le Tartare et le Pont, ou la Mer, qui lui firent produire les monstres que renferment tous les éléments. La Terre est parfois prise pour la Nature. Elle avait plusieurs noms, Titée ou Titéia, Ops, Tellus, Vesta, et même Cybèle. L’homme, disait-on, était né de la terre imbibée d’eau et échauffée par les rayons du soleil ; ainsi, sa nature participe de tous les éléments, et, quand il meurt, sa vénérable mère l’ensevelit et le garde dans son sein. Dans la mythologie

il entendait autour Répondre à son appel la Nature vivante ; Où les arbres muets, berçant l’oiseau qui chante, La terre berçant l’homme, et tout l’Océan bleu Et tous les animaux aimaient, aimaient en Dieu ! Je regrette les temps de la grande Cybèle Qu’on disait parcourir, gigantesquement belle, Sur un grand char d’airain, les splendides cités ; Son double sein versait dans les immensités Le pur ruissellement de la vie infinie. L’Homme suçait, heureux, sa mamelle bénie, Comme un petit enfant

a inséré beaucoup de références à Dieu avec des passages de la Bible « Les hommes vont à pied sous leurs armes luisantes » (v. 5 « Bohémiens en voyage »), vers qui correspond à la traverser du désert par Moïse ; à la mythologie avec la présence de Cybèle, Charon, Antiope. Certaines de ses œuvres semblent plus réalistes que d’autres car nous y trouvons des noms de véritables artistes (Delacroix, Goya) ou leurs œuvres. J’ai été très surprise quand j’ai lu son poème intitulé « Les Phares » car la

difficultés et des valeurs des bohémiens et du poète, avec l’opposition des troisièmes et quatrième vers, soit, celle du spleen et de l’idéal. Le premier tercet rend hommage aux bohémiens en faisant référence à la déesse de la nature et de la nature, Cybèle soit référence au sacré. En outre le grillon à l’image de la nature rend homme à leur marche. Cet hommage se poursuit dans le deuxième tercet, mais il inclue également la notion que « L'empire familier des ténèbres futures » est ouvert aux bohémiens

leurs armes luisantes Le long des chariots où les leurs sont blottis, Promenant sur le ciel des yeux appesantis Par le morne regret des chimères absentes. Du fond de son réduit sablonneux, le grillon, Les regardant passer, redouble sa chanson; Cybèle, qui les aime, augmente ses verdures, Fait couler le rocher et fleurir le désert Devant ces voyageurs, pour lesquels est ouvert L'empire familier des ténèbres futures. Paragraphe argumentatif : Par le titre de ce poème j’ai tout de suite

armes luisantes Le long des chariots où les leurs sont blottis, Promenant sur le ciel des yeux appesantis Par le morne regret des chimères absentes. Du fond de son réduit sablonneux, le grillon, Les regardant passer, redouble sa chanson ; Cybèle, qui les aime, augmente ses verdures, Fait couler le rocher et fleurir le désert Devant ces voyageurs, pour lesquels est ouvert L’empire  familier  des  ténèbres  futures. VI LES PHARES Dans ce poème, Baudelaire parle de divers peintres et

solaire et lumineux, il est le :"Multiple artisan à la longue main", ainsi que le dieu dispensateur de richesses, il est souvent accompagné d'un corbeau.  Belenos : Dieu guérisseur, en l'honneur de qui se donnait une grande fête chaque printemps  Cybéle: Mére des dieux, déesse de la fertilité.(Romains) Séquana: Déesse de la Seine. Amora : Déesse parallèle, elle monte parfois au nez des autres dieux (rires). INVENTIONS Les charrues avec un soc en fer pour mieux labourer la terre.