Cyberdépendance Dopamine

aujourd’hui source de discussion passionnée chez le corps médical. On peut tout de même citer : * Les achats compulsifs qui touche environs 6% de la population générale * Le jeu pathologique entre 1% et 3% de la population adulte * La cyberdépendance, 1% des internautes réguliers sont dépendants, soit près de 150000 personnes * L’addiction au sexe * L’addiction au travail * L’addiction au sport On peut par contre s’interroger sur le rôle de l’Etat, qui alerté depuis les années

comportement. D'après les recherches faites sur le sujet, il y aurait une explication physiologique à ce problème de dépendance : des études ont démontré qu'une séance de jeux vidéo libère de la dopamine dans le cerveau, ce qui pourrait être une explication physiologique au problème de la dépendance. En effet, la dopamine étant inhibée par une molécule qu'elle avait elle-même fait synthétiser, il faut sans cesse jouer plus pour éprouver la sensation de plaisir que prodiguaient les premières séances de jeu

en 1988, une équipe italienne a montré que toutes les substances psychoactives qui déclenchent une pharmacodépendance chez l’Homme, comme l’amphétamine, la cocaïne, la morphine ou l’alcool, ont en commun la propriété de libérer une substance, la dopamine, dans une zone du cerveau de rongeur, le noyau accumbens (Di Chiara et Imperato, 1988). Qui plus est, en 1954, deux américains, Olds et Milner, avaient montré que la stimulation électrique d’une zone profonde du cerveau du rat, l’aire tegmentale

laquelle entraîne le plus de morts sur la planète ? a) L’abus de médicaments. b) L’abus d’alcool. c) L’abus de drogues. d) L’abus de la cigarette. e) L’abus d’Internet. 8 Une solution réaliste pour combattre la cyberdépendance serait : a) De vendre son ordinateur. b) D’écouter davantage la télévision. c) De réduire graduellement le temps passé sur Internet. d) De bloquer l’accès à certains sites. e) Aucune de ces solutions. 9 Quel est

travaux de Rush. Cependant, on ne parlait que du produit en lui-même et non des facteurs propres au consommateur. C’est en 1988 que Di Chiara et Imperato démontrèrent que tous les produits déclenchant une dépendance entrainent une augmentation de dopamine libérée dans la structure sous-corticale. Cela engendrera donc une stimulation du « circuit de récompense ». Du point de vue neurologique : Pour aborder ce thème, on se tourne vers Jean-Pol Tassin (2006), neurobiologiste et chercheur au Collège

mais aussi de motiver de nouveaux actes, telle que la recherche de nourriture. Quand la récompense est certaine mais son attribution aléatoire, l’animal cherche de manière soutenue, tout comme un joueur de machine à sous. Ici, la production de dopamine se déclenche à la fois quand l’animal anticipe sa récompense et lorsqu’il l’obtient réellement. Notons que ces études ont été conduites sur l’animal. Pour le moment il n’existe pas de littérature scientifique solide concernant les effets de la