Cyberespace

Faire la guerre, faire la paix : formes de conflits et modes de résolutionIntroduction : · Panorama des conflits actuelsDéfinition guerre : La guerre est un acte violent dont l’objectif est de contraindre l’adversaire d’exécuter notre volonté. C’est un instrument qui permet d’arriver à une finalité politique . Ainsi la guerre est une forme particulière de conflit, à la fois violente et institutionnalisée, inscrite et contenue dans le

systèmes informatiques. L'ingénierie sociale est généralement très efficace, car les utilisateurs sont souvent le maillon faible de la sécurité informatique. Le hameçonnage (phishing), par exemple, est récemment devenu une infraction majeure dans le cyberespace. Il désigne la tentative de s'approprier frauduleusement des données sensibles (mots de passe par exemple) en se faisant passer pour une personne ou une entreprise digne de confiance (un établissement financier par exemple) dans une communication

lesquelles les différents acteurs coordonnent les approvisionnements par l'échange d'information par Internet III. PRINCIPE La E-supply chain est l'utilisation de la technologie de l'information, des moyens électroniques, ou du cyberespace pour réunir les fournisseurs et les acheteurs très dispersés, afin de renforcer la coordination et le partage des connaissances, et pour gérer mieux les canaux de la chaîne de valeur en amont et en aval. Elle combine les concepts de commerce électronique

copyright, voici le copyleft (des documents librement copiables modifiables, réutilisables). Un exemple : Wikipedia. En 1996, le manifeste de John Perry Barlow, fondateur de l 'Electronic Frontier Foundation rédigea la « déclaration d'indépendance du cyberespace » qui réclame pour Internet le droit de s'exonérer des règles en vigueur dans les états. Le but était de créer une séparation notoire avec le monde « réel ». D'une part par le principe que la connaissance soit apatride, ne connaisse pas de frontières

seul les États-Unis l’ont ratifiée jusqu’ici. Elle y est d’ailleurs en vigueur depuis janvier 2007.Cette convention est née du besoin d’avoir une politique pénale internationale commune destinée à protéger la société des crimes commis dans le cyberespace. Son champ d’application s’étend à la plus grande partie du trafic informatique mondial. Elle cherche d’abord à harmoniser les législations nationales quant à la définition des crimes.Elle espère ensuite établir les moyens d’enquête et les moyens

réseau d’accès internet, c’est à dire au monde, dans les régions les plus défavorisées. Dès lors, il appartient aux pays riches et technologiquement avancés d’aider les plus défavorisés afin de limiter autant que possible les inégalités dans le cyberespace. Cela pose divers problèmes qui sont plus d’ordre social que financier : comment préparer une population dont la communication est basée sur une tradition orale à ce concept de communication technologique universelle ? De l’enjeu de l’internet

centrales. Elles n’arrivent plus à bouger le marché au niveau du cyberespace. Les niveaux d’intervention des banques centrales sont de plus en plus faibles. Leur potentiel d’intervention est minime, ces mouvements de fonds sont incontrôlables. Le pouvoir des banques centrales s’est progressivement amoindri comparativement aux 20 dernières années. Les régulateurs publics ont un potentiel d’action moindre par rapport aux acteurs du cyberespace. Ex. La cybermonnaie passe par des circuits hors système

partir de là à engager ses lecteurs dans la mise en oeuvre du projet des "arbres de connaissances" et de la dynamique des cités intelligentes, potentialités ouvertes aux "collecticiels" dans l'ère nouvelle du savoir. Ce projet anthropologique du cyberespace est à plusieurs égards critiquable, et nous n'ajouterons pas ici nos critiques personnelles à celles qui lui ont déjà été adressées, le plus souvent avec de bonnes raisons et de solides arguments. Nous nous en tiendrons à deux observations plus

les critères d’I. Illich c’est l’inverse que l’on observe. Il est évident que les low-techs ne sauraient permettre tout ce que réalisent les high-techs. L’idée de voyage interplanétaire devrait évidemment être abandonnée dans un tel monde. Le cyberespace abouti et total imaginé au cours des années 1980 et réactualisé aujourd’hui par la généralisation du télé-travail aurait aussi ses limites. Mais ce dernier ne reflète-t-il pas un monde où les interactions directes, c’est-à-dire sans outils de médiation

contourner les barrages et de s’alimenter directement aux sources d’informations. Or, les pouvoirs publics ont tout mis au point pour barrer la route aux dissidents. Depuis 2002, le contrôle d’Internet se renforce, et une véritable « police du cyberespace » a été mise en place. Ses activités visent à traquer les sites « subversifs » pour pouvoir en bloquer l’accès, à intercepter les requêtes vers certains sites ou courriers à contenus « politiques ou critiques », à rechercher le maximum d’adresses