Cynisme

Il fit son « apprentissage » littéraire sous la direction de Flaubert, ami de la famille, qui lui imposa les exigences de l’esthétique. Il publia Boule de Suif (1880) qui le fit connaître. Ses recueils évoquent tour à tour la Normandie, le cynisme des milieux parisiens, la cruauté des êtres humains et la guerre de 1870 qui la beaucoup marquée. A partir de 1881, sa santé se dégrade et il commence à délirer. Il est interné à la clinique de Passy où il y meurt en 1893 en laissant de nombreuses

punir de l'affront commis à leur égard : en effet, Dom Juan a enlevé Done Elvire d'un couvent afin de l'épouser, puis l'a abandonnée. Ses conquêtes lui valent certaines inimitiés et certains duels auxquels il ne se dérobe pas. Il affiche un certain cynisme dans les relations avec ses proches, notamment avec son père (Dom Louis) et remet en cause les conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin : le repas avec

possible mais éphémère. D’un côté il souhaite que l’amour et le plaisir des sens s’unissent en harmonie et éternité, d’un autre côté il croit qu’ils ne peuvent pas être confondus. En réalité, l’amour idéal est alors impossible, un fait qui contribue au cynisme d’Octave.

punir de l'affront commis à leur égard : en effet, Dom Juan a enlevé Done Elvire d'un couvent afin de l'épouser, puis l'a abandonnée. Ses conquêtes lui valent certaines inimitiés et certains duels auxquels il ne se dérobe pas. Il affiche un certain cynisme dans les relations avec ses proches, notamment avec son père (Dom Louis) et remet en cause les conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin : le repas avec

nous conduire à la rejeter et à y renoncer. Considérer que la conscience est non seulement productrice d’illusions, mais également victime d’une illusion – celle de sa souveraineté dans la pensée du sujet – cela pourrait nous amener au cynisme et au désespoir. Au cynisme d’abord car remettre en cause le statut de la conscience, ce serait priver l’homme d’un de ses caractères essentiels, ce serait le ramener à l’animalité, et en faire un être privé de liberté, dominé par ses instincts. Au désespoir ensuite

général Broulard utilisera cette carte pour ordonner une enquête sur les agissements du général Mireau et offrir ainsi son poste au colonel Dax, croyant que celui-ci a agi par pure ambition. Dax refuse de façon véhémente cet avancement, écœuré par le cynisme du général, et s'empresse de retourner auprès de ses hommes.

considère comme le véritable père de cette discipline, et ceux qui ont suivi son sillage (Platon, Aristote, les écoles socratiques). La discipline poursuit son déveloeppement à l'époque hellénistique, en particulier avec le stoïcisme, l'épicurisme, le cynisme et le scepticisme, sagesses qui se prolongent dans l'Antiquité romaine. Dès l'Antiquité tardive et le Haut Moyen-Âge, le néoplatonisme et la philosophie chrétienne établissent un pont entre la philosophie et la religion, et c'est en lien étroit avec

fainéante », « croisade apocalyptique »  paradoxes - général des Entrayes : jeu de mot (entrailles)  Horreur de la guerre (allégorie) > omniprésente - incompréhension - « fraternisation » par la peur - ironie : « nous étions jolis »  antiphrase - cynisme par différence de perception - comparaison avec guerre VS plaisir - champ lexical du feu - enfer - universalité face à la mort Problématique : Quelle représentation de la guerre Céline nous livre-t-il par rapport à un narrateur antihéros

crimes. Mesurant mal les conséquences de ce pacte, Dorian Gray célèbre les joies du temps présent. Libéré de tout obstacle, il goûte les plaisirs faciles. Très rapidement, il est gagné par la débauche et la dépravation et ne prône que jouissance, cynisme, et perversion. Incapable d'éprouver le moindre remords, il ne craint pas de devenir un assassin. Si les années passent, le visage éblouissant de Dorian Gray, lui, ne subit aucune altération. C'est son portrait, protégé de tout regard, qui accumule

personnages qui atteignent une certaine réussite, ils sont tirés du Père Goriot de Balzacpour le premier (roman réaliste), du Bonheur des Dames de Zola pour le second (naturaliste) et enfin de Bel-Ami de Maupassant (naturaliste). Dans ces trois textes, le cynisme, l'égocentrisme et lamégalomanie accompagne ce désir de réussite. Dans le premier texte du corpus, Balzac met en scène le désir de réussite de Rastignac comme un désir destructeur, ravageur et même immorale. Contrairementaux textes de Zola et