Cytokinine

production d'antibiotiques, par parasitisme, ou par appauvrissement du milieu en éléments nutritifs) - enfin, la troisième catégorie regroupe des micro organismes stimulant la croissance du végétal , en émettant des phyto hormones (gibbérellines, cytokinines, acide indolacétique...), des vitamines et certains acides aminés. 3.4.2 Avec certains champignons du sol Nous venons juste d'évoquer certains champignons de la rhizosphère pouvant stimuler la plante de manière indirecte ; nous allons maintenant

l’ensemble des organismes : Macromolécule (acides aminés, ADN, phosphatidylcholine), intervention dans l’énergie cellulaire (ATP), maintien du pouvoir réducteur (NAD/NADH et NADP/NADPH). Composés azotés spécifiques des végétaux : -Hormones végétales (cytokinines, auxine) -Chlorophylle -Lignine qui dérive de la phénylalanine. -Flavonoïdes (antioxydants) qui dérivent de la phénylalanine. Une carence entraine une chlorose généralisée et l’affaiblissement de la plante. Sans azote, la première protéine affectée

psychologique importante et le contrôle exercé par l’employé sur la situation restreinte. En excès, le cortisol favorise l’irruption d’infections en inhibant la production des agents impliqués dans les réactions de défense contre les agressions (cytokinines et certains globules blancs comme les leucocytes et lymphocytes T). En effet, se trouve en première de notre système immunitaire les macrophages. Ces cellules éliminent tous les

On passe ensuite à la phase de multiplication ou de prolifération. 3 La phase de multiplication du tissu vivant Les bourgeons obtenus lors de l’initiation, sont cultivés sur un milieu approprié contenant une hormone végétale appelée cytokinine. Elle favorise leur développement en de petites tiges de feuilles qui donnent, de nouveaux bourgeons à la base de chacune d’entre elles. Ces bourgeons se transforment en autant de petites tiges qui à leur tour, initieront de nouveaux bourgeons.

croissance et leur développement joue sur les équilibres hormonaux avec les « gènes du développement », on agit sur les gènes ou sur le contrôle de leur fonctionnement. Dans certains cas, les OGM engendrent une synthèse très importante d’auxines et de cytokinines. L’apport nutritif azoté sous forme d’engrais peut être diminué en introduisant dans les végétaux le gène de la nitrogénase issu des bactéries et des cyanobactéries afin d’utiliser l’azote de l’air. Les conséquences sont une optimisation des prélèvements

vasculaire transporte aussi bien vers le haut que vers le bas les assimilats et les substances de réserve, ainsi que les régulateurs de croissance endogènes et autres substances influant sur la croissance, la floraison ou la fructification. Les cytokinines, qui favorisent la division cellulaire, sont le plus souvent produites par la pointe des racines puis sont acheminées vers le haut. Une influence du système racinaire sur la division cellulaire n’est donc pas inattendue. Par ailleurs, il se peut

La floraison (différentes étapes, vernalisation, photopériodisme et phytochrome, morphogénèse florale). La formation des graines. La formation et maturation des fruits. Les principales phytohormones : auxine, gibbérellines, acide abscissique, cytokinines, éthylène, quelques données sur les brassinostéroïdes (Structure et métabolisme, transport et effets physiologiques, perception et transduction des signaux hormonaux) Graines, plantes, fleurs et fruits, autant de ressources végétales largement exploitées

growth factor BER Réparation par excision de bases BP Binding protein CAM Molécule d’adhésion cellulaire CAM Crassulacean acid metabolism CAP Catabolism activating protein CASPASE Cysteine aspartate specific protease Cdk Cyclin dependant kinase CK Cytokinine CMH Complexe majeur d’histocompatibilité Coat protein COP CPE Séquence cytoplasmique de polyadénylation CPEB CPE binding protein CR Récepteur du complement CRH Corticolibérine XIV DAG DAMP DBD DBO DC DCO DDCP DHPR DSCF ECG ETR FAD FGF FISH FSH

| | | |Expériences « hormones végétales et croissance » (auxine, cytokinines) : | | | |http://www2.ulg.ac.be/cedevit/french/hormones.htm

suggéré que l’effet de la mycorhization s’exerce sur l’équilibre hormonal racine-partie aérienne. Leur hypothèse est basée sur le fait que durant un stress hydrique ou osmotique, des changements dans les équilibres hormonaux endogènes ont lieu. Les cytokinines des racines diminuent et la quantité d’acide abscissique dans les feuilles augmente. Ils concluent que l’association mycorhizienne intervient davantage au niveau de la régulation stomatique qu’au niveau de la conductivité hydraulique des racines