Cytosine

nucléotides différents ; A et G qui sont des purines et T et C, des pyrimidines. Toutes ses bases sont liées entre elles par des liaisons hydrogènes. Un A (adénine) s'associe toujours à un T (thymine) et un G (guanine) se lie toujours avec un C (cytosine). Ces nucléotides sont composé d'un sucre désoxyribose, d'un groupement phosphate et d'une base azotée. Passons à la définition du gène ; un gène est une séquence coupée d'ADN. Ce gène spécifie une chaîne d'acide ribonucléique fonctionnel, autrement

synthèse d’une protéine. Acide nucléique : macromolécule organique constituée d'une succession de nucléotides dont la séquence correspond à un code (code génétique). Bases nucléiques : substances qui constituent les acides nucléiques (adénine-A-, cytosine-C-, guanine-G-, thymine-T- pour l’ADN ou uracile-Z- pour l’ARN). Ces bases sont complémentaires deux à deux A avec T ou U, C avec G. Cette propriété explique la structure en double hélice de l’ADN. Carte génétique : ensemble de repères disposés

par l’ADN qui contient la totalité de l’information génétique. La séquence des quatre types de nucléotides commande le nombre et la nature des acides aminés constituant la protéine. * L’ADN est un langage à 4 lettres : A (adénine),T(thymine),C(cytosine),G(guanine) * Les protéines sont déterminées par un langage à 20 lettres (20 acides aminés). Chaque triplet d’un bri correspond à un acide aminé. * La correspondance entre la séquence des nucléotides d’une molécule d’ADN et celle des acides

instructions nécessaires à nos cellules pour qu’elles produisent les protéines qui sont indispensables au fonctionnement de l’organisme. Les gènes sont composés d’éléments chimiques de natures différentes : l’adénine, la guanine, la thymine et la cytosine. C’est uniquement avec ces quatre éléments que va se composer la carte génétique de chaque individu composée de trois milliards de bases. Si une seule des lettres manque ou est remplacée par une autre dans le codage du gène, il peut devenir illisible

nucléotide est constitué de l’association d’une des quatre bases (adénine, guanine, cytosine, thymine), d’un sucre et de groupements phosphates. Chaque brin de l’hélice possède une orientation 5’-phosphate vers 3’-hydroxyle. Les deux brins sont disposés de façon opposée ou anti-parallèle. Chaque nucléotide d’un brin est apparié, via sa base, à un nucléotide complémentaire sur l’autre brin (adénine-guanine et cytosine-thymine). L’information génétique est codée par la succession des nucléotides :

molécules d’eau et d’oxygène). Ce qui entraîne également des modifications de la structure de la molécule d’ADN, lors de leur recombinaison. L’ADN (deux brins liés par des bases azotées complémentaires : adénine et thymine, guanine et cytosine ; et des liaisons hydrogènes) subit : des ruptures de chaînes, c'est-à-dire l’écartement des deux brins à cause de la pénétration de molécules d’eau ; les liaisons hydrogènes se rompent. des lésions des bases nucléiques.

peuvent aussi être dégradées en aérobiose, où elles seront oxydées en glyoxylate et urée. L’urée formée peut être hydrolysée par une uréase. 4.2.2. DÉGRADATION DES PYRIMIDINES L’uracile est fermenté : il est clivé en -alanine. En aérobiose, la cytosine et l’uracile sont oxydés en -alanine, en plusieurs étapes impliquant l’ouverture de leur cycle (via H2O). La -alanine formée peut être désaminée, ou encore oxydée en malonyl-CoA. La thymine est dégradée selon une voie analogue, le produit formé

est une molécule formée de deux brins enroulés en hélice et reliés l’un à l’autre par des liaisons faibles (liaisons hydrogènes). Chaque brin est composé d’une succession de nucléotides. Il en existe quatre : - l’Adénine ( A) - La Thymine (T) - La Cytosine (C) - La Guanine (G) Une succession de nucléotides, c’est-à-dire un fragments d’ADN, définit un gène. Un brin d ’ADN Un brin compl émentaire Une mol écule d’ADN Les modifications de la séquence de nucléotides du gène ou mutations sont à

ionisante peut se faire par rupture de chaîne, ou bien par lésion des oses. On aboutit à la scission de la liaison covalente entre le phosphore et les sucres. Les lésions moléculaires de l’ADN sont plus importantes pour les bases pyrimidiques, cytosine, thymine et uracile que pour les bases puriques, adénine et guanine. Le rôle de la radiolyse de l’eau ici aussi très bien documenté, les lésions étant souvent indirectes par l’intermédiaire du radical OH•. En cas de ruptures multiples de la double

Inhibiteurs de la RT (3/6) Les INRT: • • • • • Zidovudine (AZT), stavudine (d4T): analogue de la thymidine Didanosine (ddI): analogue de l’adénosine Abacavir (ABC): analogue de la guanosine Zalcitabine (ddC), lamivudine (3TC): analogue de la cytosine Pharmacocinétique – Bonne absorption orale – Demi-vie 1h (AZT) à 4h (3TC) et faible liaison aux protéines du plasma. – Elimination essentiellement rénale, sous forme inchangée sauf AZT et stavudine qui subissent une glucuronoconjugaison hépatique