Cytosol

contrôle de la cellule, il porte l’information génétique. Sans noyau une cellule ne peut se diviser. Le cytosol est plein d’organites dont le travail va être le reflet du travail de la cellule. On peut trouver des mitochondries (formation d’ATP), des ribosomes (synthèse de protéines), REG, appareil de Golgi, des microtubules et microfilaments construisant le squelette de la cellule. Dans le cytosol, on a aussi des inclusions qui peuvent être des réserves de nutriments, des stocks de déchets, des produits

cellulaire externe. La paroi donne à la bactérie sa forme et la protège contre l’éclatement sous l’effet de la très forte pression osmotique du cytosol. Le peptidoglycane assure la rigidité de la paroi. Il existe toutefois des bactéries sans paroi : ce sont les mycoplasmes. Intracellulaire[modifier]Les bactéries étaient vues comme de simples sacs de cytosol, mais de nombreux niveaux de complexité structurelle ont été découverts depuis, comme la découverte du cytosquelette procaryote[24],[25], et la

taille bien adaptée aux molécules d’hormones et de vitamines - modélisation de sites catalytiques artificiels par greffage de groupes réactionnels. b. Le glycogène Le glycogène est un polymère de glucose que les animaux mettent en réserve dans le cytosol des hépatocytes (glycémie : distribution à l’organisme) et dans les muscles (contraction musculaire). Sa structure est celle de l’amylopectine avec les différences suivantes : - les branchements ont lieu tous les 8 à 12 résidus et même de 3 à 5 au

l’activité enzymatique. Récepteur-enzymes à activité guanylyl cyclase produisant du GMPc, ex : récepteur à l’ANP (atrial natriurétique peptide) Récepteur à activité tyrosine kinase, ex : récepteur de l’insuline. - dans le noyau cellulaire ou migrent du cytosol vers le noyau de la cellule : ce sont des récepteurs nucléaires : ex : récepteurs des hormones thyroïdiennes, des hormones stéroïdiennes. Ils se fixent après activation par leur ligand sur l’ADN et induisent des modifications de la transcription de

total de 32 ATP produit. Il ne faut pas oublier non plus les deux NADH produit lors de la glycolyse anaérobie et qui ne sont pas consommés ici (contrairement à ce qui se passe dans la fermentation). Chez les eucaryotes, ils sont produits dans le cytosol et leur entrée dans la mitochondrie consomme 1 ATP, il n'en produise que 4, soit un total final de 36 ATP, ce qui représente 37% de l'énergie stockée dans une molécule de glucose récupérée, ce qui est très nettement supérieur au rendement des fermentations

digestive , principalement par la muqueuse intestinale au niveau du duodénum et du haut jéjunum, puis dégradé dans les hépatocytes en acétaldéhyde, acétate et acétylCoA suivant 3 voies métaboliques : La voie de l’alcool déshydrogénase(AdH) dans le cytosol, qui est la voie principale et exclusive dans le cadre d’une consommation modérée. Lorsqu’elle augmente, la voie du MEOS (Microsomal Enzymatic Oxidation System) est induite dans la mitochondrie. Son activité augmente parallèlement à la consommation

stockage du glucose dans les tissus est le glycogène  b. Le glucose sanguin est du glucose libre  c. Le glycogène musculaire permet de produire du glucose libéré dans la circulation  d. La synthèse et la dégradation du glycogène ont lieu dans le cytosol  e. Le foie peut stocker de l’ordre de 500 g de glycogène chez un adulte après un repas 8. Métabolisme glucidique  a. Le transporteur GLUT2 n’est présent que sur les hépatocytes  b. Le transporteur GLUT4 est présent dans la membrane plasmique de

Contrairement à elle, la myosine doit être phosphorylée. La phosphorylation de la myosine met en jeu une enzyme la MLCK (Myosine Light Chain kinase). Sa déphosphorylation met en jeu une phosphatase MLCP. Au repos, la concentration calcique du cytosol est basse, l’activité de la MLCP est bien supérieure à celle de la MLCK. La myosine n’est donc pas phosphorylée et l’interaction actine myosine n’est pas possible et le muscle est relâché. L’augmentation de la concentration cytosolique en calcium

TD comm cell 2020-2021.pubE������� 1 : Le virus SV40 est un virus à ADN qui infecte les singes de type Rhésus et peut provoquer l’appari)on de tumeurs. Il est u)lisé en recherche et en biotechnologie pour la créa)on de lignées cellulaires immortalisées c’est-à-dire capables de se mul)plier en culture indéfiniment. Son pouvoir immortalisant est lié à l’expression de plusieurs protéines dont l’une est appe- lée Protéine « Grand T ». Afin de comprendre le mode d’ac)on de Grand T, des expériences

intracellulaires. Il possède 3 domaines fonctionnels:        - domaine d'activation du gène (ou de régulation transcriptionnelle),        - domaine de liaison à l'ADN        - domaine de liaison au ligand Il est présent sous forme inactive dans le cytosol, lié à un complexe protéique comprenant la "heat-shock protein" HSP 90 (protéine de choc thermique) et l’immunophiline. La fraction libre du corticoïde (10 à 20%) est responsable de l'activité pharmacologique : le corticoïde traverse la membrane