Cécile Volanges Description

soi-même, on déteste les autres ; on pleure, on gémit, on crie, on sent les approches du désespoir. » Denis Diderot, La Religieuse Tel est le terrible destin auquel est vouée Cécile Volanges. Pour elle, les plaisirs du monde ne durent que quelques mois, avant qu’elle ne regagne pour jamais sa cellule. Madame de Volanges, sa mère, en est bien consciente, et oppose des réserves inquiètes au choix de postulante désiré par sa fille. Elle en fait part à Madame de Rosemonde dans la lettre 170 : « Quelque

propage une morale nouvelle à base de sensibilité et de sensualisme, dégagée tout à fait des impératifs et dogmes religieux. Son non-conformisme devient aussitôt suspect d'immoralité. La vie privée devient un sujet littéraire fréquent, ainsi que la description assez désenchantée du cadre de vie contemporain. Ces œuvres gardent un souci moralisateur, au moins apparent : si elles détaillent volontiers avec humour les "Égarements du coeur et de l'esprit ", et si elles abondent en scènes lestes, elles y adjoignent

présente d’elle un portrait indirect par son style maîtrisé, drôle, ironique et dominateur quand elle écrit à Valmont pour lui demander de l’aider à se venger de Gercourt. Elle apparaît comme une femme de tête, « rouée » maîtresse d’elle-même. Mme de Volanges complète ce portrait lettre 32 en précisant dans une phrase à double sens pour le lecteur : « Madame de Merteuil, en effet très estimable, n'a peut-être d'autre défaut que trop de confiance en ses forces; c'est un guide adroit qui se plaît à conduire

est toute entière qualifiée d’« appétissante ». Bien que Maupassant, dès le début de la description, la qualifie par l’euphémisme « femme galante », ses traits physiques sont énoncés de sorte à rappeler la profession qu’elle exerce. Ce champ lexical de la nourriture va permettre de percevoir un personnage, un corps de femme prêt à être consommé. Boule de suif est le seul personnage à bénéficier d’une description aussi détaillée. Son physique est mis en avant au profit d’un portrait intellectuel presque

implicite. Ainsi, il existe un décalage permanent entre la lettre de l’énoncé et son sens. Si ce décalage peut être déceler par l’autre, c’est parce qu’ils ont tous les deux les mêmes codes. On notera par exemple que les personnages de Danceny et de Cécile sont sans cesse tournés au ridicule par les libertins. L’ironie à leur égard est permanente et ils sont sans cesse traités comme de simples enfants. Cela s’illustre parfaitement dans la lettre 51 où la Marquise s’amuse de Danceny qu’elle présente

étudiant l’aspect où ce sont les lieux qui apportent leurs indications qu’une réponse sera donnée.C’est à travers le portrait physique ou mentale et les descriptions faites par le narrateur qu’on découvre réellement le personnage. Le point de vue interne, le monologue intérieur permettent de saisir l’intimité du personnage sans le secours de la description du décor dans lequel il évolue. Ici le lecteur peut prendre l’exemple de la première apparition de Jean Valjean dans Les Misérables : l’auteur insiste

stratgènes ( théorie), après on a Cécile et Tourvel ( partique). Ce Roman est un éventaille assé complet de la société de la Régences. C'est le dernier ouvrage Français avant le romantisme: les même mots d'amoru sont utilisés pour tout les personnages. Analyse du Vicompte de Valmont C'est l'être qui aggit. Par opposition à la Marquise car elle parle énormement d'elle même et elle réflechit beaucoup. Au début, on parle de lui par lettre. C'est Madame de Volanges qui parle de lui en premier dans

affranchis de l’Eglise, dans leurs entreprises libertines. On va étudier une des premières lettres du roman, la lettre 4. Elle est la première écrite par le VdV qui répond à la M. de Merteuil, elle lui demandait de revenir à Paris pour dépraver la jeune Volanges et ainsi se venger de M. de Gercourt présenté comme leur ennemi commun. Valmont refuse l’offre qu’il juge indigne de lui car trop facile, il préfère se consacrer à la séduction de la Présidente de Tourvel, une jeune femme prude, pieuse et fidèle

s’inscrivent dans le mouvement des Lumières. Paru en 1782, il est divisé en quatre parties, et composé de 175 lettres. Scandaleux, par sa description du libertinage, il reste longtemps interdit. Il raconte les manipulations libertines de la marquise de Merteuil et du vicomte de Valmont vis-à-vis des jeunes aristocrates, la présidente de Tourvel et Cécile de Volange. (accroche avec informations sur l’oeuvre) Le passage étudié est extrait de la lettre LXXXI située dans la deuxième partie du livre. La

s’inscrivent dans le mouvement des Lumières. Paru en 1782, il est divisé en quatre parties, et composé de 175 lettres. Scandaleux, par sa description du libertinage, il reste longtemps interdit. Il raconte les manipulations libertines de la marquise de Merteuil et du vicomte de Valmont vis-à-vis des jeunes aristocrates, la présidente de Tourvel et Cécile de Volange. (accroche avec informations sur l’oeuvre) Le passage étudié est extrait de la lettre LXXXI située dans la deuxième partie du livre.